TULLINS

 

(Canton de Tullins).

Forme ancienne : Tolino au XIe siècle.

Gentilé : Tullinois.

Héraldique : de gueules à deux clefs d’argent passées en sautoir les pannetons en haut (armes des Clermont Tonnerre).  

 

Carte IGN au 1/25000ème : 3233 SB

 

Superficie : 2875 hectares.

 

Population (2015) : 7655 habitants.

 

Hagiographie :

 

Laurent, archidiacre en Espagne sous Sixte II. Martyr en 258 sous Valérien. Il est représenté un gril à la main (son martyre).

Crépin et Crépinien, évangélisateurs en Gaule, martyrs en 287. Patrons des cordonniers depuis 1645.

Catherine d’Alexandrie qui eut la vision de l’enfant Jésus la choisissant pour fiancée. Martyre en 305 sous Maximin Daïa. Patronne des filles à marier.

Michel, l’Archange, chef de la milice céleste dans l’Ancien Testament. Patron de l’église romaine et des hauteurs.

Jean-Baptiste, cousin de Jésus à qui il donna le baptême dans le Jourdain. Décapité en 31. Il est représenté avec un agneau.

Jacques, l’Apôtre, évangélisateur de l’Espagne. Il est vénéré à Compostelle.

Joseph, père nourricier du Christ. Pie IX le déclara patron de l’église universelle en 1870. Patron des menuisiers et des charpentiers.

François-d’Assise, fondateur en 1205 des franciscains. Il est représenté en haillons. Patron des commerçants.

Maurice, chef d’une unité de la légion thébaine. Décimé avec ses compagnons en 256 à Agaune devenu Saint Maurice en Valais.

Jean, l’Apôtre où l’évangélisateur, disciple préféré de Jésus. Martyr sous Domitien à Romme devant la Porte Latine.

Eloi, fondateurs de monastères, évêque de Noyon et de Tournai + en 659. Patron des bijoutiers.  

 

Protohistoire : dans un ancien gué de la Fure, on a découvert en 1860 un poignard à longue lame triangulaire du Bronze final (au Musée Dauphinois n° 67.12.155).

Au hameau de Trizin, on a découvert une épingle du Bronze final (au musée de Genève).

Au lieudit le Paradis, tradition d’oppidum.

Selon A. BOCQUET la Fontaine de Bourbouillon viendrait de Borbo ou Borvo, dieu gaulois des sources. Il voit Hannibal passer à Tullins venant de l’Albenc.

 

Epoque gallo-romaine : divers vestiges sont connus :

 

Ø  PILOT mentionne la découverte de tombaux, de vases funéraires, de monnaies et d’un camée à effigie de Faustine,

Ø  à Fures, avant 1933, on aurait découvert sous les bureaux de la papeterie Guelly un « four gallo romain » (hypocauste ?) et quelques monnaies dont une de Claude II,

Ø  à l’Estinard on a découvert en 1980 un as de Nîmes (en collection particulière),

Ø  au Paradis on a découvert une urne à incinération,

Ø  sur le front d’une carrière on aurait repéré des vestiges d’aqueduc,

Ø  en 1987, rue Victor Hugo, on a découvert un site d’habitat ayant connu au moins deux états : Ier et IIe siècles et IIIe et Ive siècles, dont une pièce aux murs revêtus d’enduits peints,  

Ø  l’entrée de l’église paroissiale est encadrée par deux séries de colonnes antiques et des gros blocs provenant selon toute vraisemblance d’un édifice monumental (Poliénas ?),

Ø  dans la chapelle de l’Hôtel Dieu, un fragment de colonne romaine sert de base au baptistère,

Ø  le château delphinal pourrait occuper l’emplacement d’une villa campana,

Ø  P. H. BILLY voit dans le nom de Tullins le patronyme Tullius (domaine de) et dans celui de Saint Jean de Chépy le patronyme Capius (domaine de),

Ø  On notera un lieudit le Grand Pré.  

 

Haut Moyen Âge : dès 843, Tullins est le siège d’une villa carolingienne la villa Tolianus et le chef-lieu du pagus Tollianeusis, intégré au Xe siècle dans le Comté de Sermorens. Un acte daté de 843, 856 ou 858 porte restitution à l’église Saint Maurice de Vienne la villa Tollianum.

L’église Saint Maurice, citée pour la dernière fois en 1091, date de sa donation à Saint Pierre de Vienne, pouvait remonter à cette époque. Cette église était située rue des Pierres et son abside donnait sur l’actuelle place de la Halle.

Emplacement de motte castrale avec basse cour sur le site du château delphinal.

 

Edifices religieux :

 

Eglise Saint-Laurent-des-Près : construite vraisemblablement sur un édifice romain, elle est citée dès 1091 dans une charte de Saint Pierre de Vienne et, peu après, dans le cartulaire C de Saint Hugues : ecclesia de Tolino, dans la charte du XIVe siècle et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia prioratus et cure Sancti Laurencii de Tullino comme dépendance de l’abbaye de Saint Chef. Cette église était à la fois paroissiale et prieurale. Le 9 septembre 1108, Hugues, évêque de Grenoble la concéda avec sa paroisse et ses dépendances à l’abbaye de Saint Chef. Son clocher est unique en France car il possède deux génies sculptés grandeur nature en encorbellement l’un regardant le ciel (génie du bien) et l’autre vers le bas (génie du mal). L’édifice remonte dans son gros œuvre au XIe siècle mais a été modifié à l’époque gothique. L’église conserve plusieurs chapelles : la chapelle des Fonts, la chapelle du Sacré Cœur, la chapelle de la Sainte Vierge, la chapelle Saint Laurent du XIIIe siècle et la chapelle Saint Joseph du début du XVe siècle.

Le clocher a été classé monument historique en 1930 et le reste de l’édifice inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1965.

Sous le porche, inscription lapidaire d’une donation fait par Guille Seigneuret de Morestel aux pauvres le 30 mars 1586 classée monument historique au titre des objets mobiliers en 1911.

L’église renferme notamment :

 

Ø  2 chaises curiales du XVIIIe siècle, classées monuments historiques au titre des objets mobiliers en 1911,

Ø  Une plaque commémorative de 1586 relatant une donation aux pauvres (même classement),

Ø  Les deux sculptures grandeur nature du XIIe siècle dites les diables de Tullins (même classement en 1930),

Ø  un mécanisme d’horloge de 1756 (même classement en 1968).

 

Ancien prieuré : fondé au XIe siècle, dépendait de l’abbaye de Saint Chef. Il était accolé à l’église paroissiale. Il est cité dans la charte du XIVe siècle des cartulaires de Saint Hugues et dans le pouillé de 1497 : prioratum de Tollino. Modifié ou reconstruit vers le XVe siècle il conserve un grand nombre de fenêtres à meneaux.

 

Ancienne église paroissiale de Saint-Jean-de-Chépy : elle est mentionnée dans le cartulaire de Saint Hugues : ecclesia de Caipeia et dans le pouillé de 1497 : ecclesia Sancti Johannis de Terpia. Elle a entièrement disparu.

 

Chapelle castrale Saint Barthélemy citée en 1091. C’était la chapelle du château. Elle est également citée dans le cartulaire de Saint Hugues : capella de Tolino.

 

Ancienne église Saint Maurice : elle est également mentionnée en 1091 xomme proche de l’église Saint Laurent : Sancti Mauricii juxta ecclesia Sancti Laurentiis. C’est peut-être celle qui est encore mentionnée comme chapelle au XVe siècle (infra).

 

Maladrerie : elle est citée en 1281 dans le testament de Guigues, seigneur de Tullins : maladeria de Tollino. Elle existait toujours en 1677.

 

Ancien hôtel Dieu : il fut fondé en 1282 et reconstruit à deux reprises aux XIVe et XVe siècles. Sa chapelle était vouée à Notre Dame. Elle conservait divers objets d’art : corbeaux d’époque carolingienne sur lesquels repose une piéta gothique, retable renaissance en bois doré et cuir de Cordoue du XVIe siècle (provenant de la chapelle de Cossey à Claix), panneaux latéraux du XVIe siècle, Christ du XVIe siècle, triptyque de la Renaissance… Cette chapelle, restaurée en 1965, n’étant plus accessible depuis de nombreuses années on peut se demander si ces objets y sont toujours.

 

Le pouillé de 1497 mentionne un certain nombre de chapelles :

 

Ø  capella corporis Christi,

Ø  capella Sancte Crucis,

Ø  capella Beate Marie, fondée par Hugonin Clerici,

Ø  capella Beate Marie de Pielate fondée par noble Guigues Trolhecti,

Ø  capella Sanctorum Crispini et Crispiniani,

Ø  capella Beate Marie et Sancte Catherine,

Ø  ali capella Beate Marie,

Ø  capella Sancti Spiritus de la confrérie du même nom,

Ø  capella Sancti Michaelis,

Ø  capella Sancti Johannis Baptiste,

Ø  capella Beati Jacobi,

Ø  capella Sancti Francisci,

Ø  capella Sancti Mauricii,

Ø  capella Sancti Eligii.

 

Couvent Notre-Dame-des-Grâces : il fut fondé en 1627 pour les Bernardines. Après la révolution il abrita des Ursulines. La chapelle Notre Dame possède des clés de voûte armoriées dans la nef centrale ainsi qu’une coquille Saint Jacques au-dessus de la porte.

La porte d’entrée, ses vantaux et la façade de la chapelle située du coté de l’entrée ont été inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1963.

 

Hôpital : fondé vers 1281, le pouillé de 1497 le mentionne : hospitali de Tullini avec sa chapelle Beate Marie.

 

Ancien couvent des Minimes : fondé en 1606. Après la révolution il servit de mairie jusqu’à une date récente.

 

Ancien couvent des Ursulines : il fut fondé en 1632 dans le manoir de Cruzille, lui-même édifié sur une ancienne maison forte. La fondation du couvent fut confirmée par lettres patentes royales de juin 1721.

 

Chapelle Jésus-Marie-Joseph de Fures : construite en 1647 par Daniel Bressieux dans sa maison.  

 

Clos des Chartreux : grande bâtisse du XVIIIe siècle, ancienne propriété des Chartreux de la Sylve Bénite (aujourd’hui la mairie).

 

Eglise de Fures du XIXe siècle.

Croix de Saint Bruno.

 

Mosquée.

 

Châteaux :

 

Château delphinal : son origine semble remonter au moins à 1091 mais il était sans doute antérieur eu égard à la présence vraisemblable d’une motte. Sa chapelle est citée vers 1100 dans le cartulaire de Saint Hugues. Lors du partage du comté de Sermorens en janvier 1107, le castrum Tullinum fut attribué à l’évêché de Grenoble. Guigues VIII y installa son arsenal. Il était bien conservé jusqu’à un incendie survenu en 1740. Du premier château il ne subsiste rien hormis peut être des traces de motte. Des édifices successifs, il subsiste de notables restes de l’enceinte et une grosse tour du XVe siècle, bien conservée. Le pouillé de 1497 mentionne encore la chapelle castrale : capella Beate Marie in castro dicti loci

 

Château de Saint-Jean-de-Chépy : au XIIIe siècle, il était propriété indivise des seigneurs de Tullins et de ceux de Saint Quentin. Il fut longtemps semble t-il une résidence d’été. L’édifice actuel présente des tourelles en poivrières et des façades aux pierres blanchies.

La tour sud et les peintures murales représentant les signes du zodiaque de la pièce du 1er étage a été classée monument historique en 1977 et les façades, les toitures et l’escalier intérieur inscrits à l’inventaire supplémentaire la même année.

 

Enceinte médiévale : elle remontait au XIIIe ou au XIVe siècles et était longue de 1300 mètres et enserrait 12 hectares. Les anciens fossés sont encore discernables rue de Parménie et il subsiste des traces d’arrachement d’un ancien arc en plein cintre, seul reste de la porte de Fures du XIVe siècle.

 

Maison forte dite la Grange des Prés, citée en 1340 ; c’est peut-être le beau bâtiment proche de l’église.

 

Maison forte des de l’Isle mentionnée au XIIIe siècle (non localisée).

 

Maison forte de la Galerne citée en 1477.

 

Demeure dite Grange Baronnat de la fin du XVe siècle édifiée par Jean de Gobert, seigneur de Poliénas, avec escalier en vis.

 

Porte de Saint Quentin : ancienne porte de ville des XVe et XVIe siècles. C’est la seule subsistante des trois portes de ville.

 

Manoir de Cruzille : route de l’Albenc. Il fut vendu en 1765 aux Ursulines qui en firent un couvent.

 

Château de la Boussinière du XVIIIe siècle qui accueillit Pie VI pour une nuit en 1799 (plaque).

Château de Pont Pinet du XIXe siècle.

Château de Beauregard de 1875 avec une belle pièce d’eau.

Château de Pont Pinet de 1875.

Lieu disparu dit Château des Cordes.

 

Edifices civils : Tullins conserve nombre d’anciennes demeures dont plusieurs protégées au titre des monuments historiques :

-       au n° 1, 3, 6bis, 7, 9,12 de la rue de la halle : portes du XVIe et du XVIIe siècles, inscrites à l’inventaire supplémentaire en 1963 et 1964

-       place du Dr Valois, porte de maison du XVIIe siècle, inscrite en 1963,

-       2 rue du Couvent, porte du XVIIe siècle, inscrite à l’inventaire en 1964,

-       maison du XVIe siècle avec escalier en vis, montée de la Halle,

-       Rue de Pina, maison du XVe siècle avec fenêtres gothiques et maison renaissance bien restaurée,

-       au bas de la montée de la Halle, maison du XVe siècle avec encorbellement sur porte, arc gothique et fenêtre à meneau.

-       Rue Bayard, maison Renaissance avec une belle fenêtre à meneaux.

-       demeure de Jacques de la Coste de 1666 boulevard Michel Perret,

-       maison du XVIIIe siècle, rue Général de Gaulle,

-       immeuble de 1768 avec garde-corps en ferronnerie, 31 rue Général de Gaulle,

 

Ancien hôtel de Chastelard : des XVe et XVIe siècles, il conserve de belles fenêtres à doubles meneaux et un remarquable escalier intérieur. C’est aujourd’hui une clinique.

 

En dessous de l’église, au bord de la route, demeure d’époque Renaissance avec beaucoup de caractère qui conserve sur la façade est un cadran solaire.

 

Maison Burgaud : 17 avenue de la Gare. C’est une belle demeure urbaine des XVIIe et XVIIIe siècles dont la façade est couronnée par une génoise à quatre rangs et qui est couverte par une toiture en tuiles canal animée par de grandes cheminées en brique. Les façades et les toitures, la grille d’entrée en fer forgé, l’escalier avec sa rampe en fer forgé, la salle à manger et la bibliothèque du rez-de-chaussée, le grand salon, le salon dit « la lanterne », le cabiner de fer ou pièce à archive, la chambre à alcôve et sa cheminée Louis XV avec son trumeau dans la chambre du milieu du premier étage ont été classés monument historique en 1976.

 

Hameaux, mas et lieudits anciens :

 

In Arunto, XIe siècle, les Arons.

Blachia, XIVe siècle, les Blaches.

Chevalli, XVe siècle, la Chevalerie.

Crusillia, XIIIe siècle, Crusille.

Vadum de Dizins, XIVe siècle, Tizin.

Mas des Garempets, XVIIe siècle, les Garempels.

Golet de Lelienart, XIVe siècle, le Goulet.

In Gorgiis, XVe siècle, les Gorges.

Insula Alpina, XIIIe siècle, l’Ile.

Lienard, XIVe siècle, l’Elinard.

Locus in Chapelleriis, XIVe siècle, les Chapelles.

Maeria seu Colleteria, XVe siècle, la Mearie.

Stagnum de Mayn, XVe siècle, l’étang de May.

Monsena, XIVe siècle, Morsonna.

Mour, XVe siècle, Moulx.

Planei, XIIe siècle, Plantatas, XIIIe siècle, les Plantées.

Ponte Grosso, XIVe siècle, le Pont Gros.

Prat, XIVe siècle, les Prés.

In Romatis, XVIe siècle, les Ramais.

De Rua, XIVe siècle, les Routes.

Les Talices, XVe siècle, les Taillis.

Trossateria, XVe siècle, Troussatière.

Verno, XIVe siècle, le Vert.

Les Yres, XVe siècle, les Hieres.

 

Autres indications :

 

Chartes de franchises de février 1286 et du 11 février 1304.

Mistralie mentionnée dans un acte du 4 septembre 1318.

Maison d’André Alicherii mentionnée dans un acte du 3 juillet 1330.

Le Musée dauphinois conserve une dague du XIIIe ou du XIVe siècle provenant de Tullins (n° 34.56.46).

Un péage est mentionné dès au moins l’an 1350.  

Sur une maison vers l’ancien cimetière, cadran solaire de 1773 avec inscription hodie mihi cras tibi (aujourd’hui à moi, demain à toi).

A la Condamine, cadran solaire de 1797 avec devise : « c’est l’heure du travail ».  

Autre cadran solaire avec inscription : « c’est l’heure du travail ».

Deux autres à Fures dont l’un de Pascalis avec devise : « il se lève pour tous » et l’autre avec devise : « la dernière peut être pour toi ».

A la maison Pavier, avec devise vita fugit sicut ombra (la vie fuit comme l’ombre).  

Papeterie de 1819.

Usines de textiles le long de la Fure.

Monument aux morts de 1846 à 1871.

Grande médaille de 1895 à l’hôpital Michel Perret.  

La vieille ville a été inscrite au titre des sites en 1969.

Le parc municipal de 1870 figure à l’Inventaire général des jardins remarquables.

Etang de Mai.

Un guide touristique de 1908 mentionne la source bicarbonatée de Fures analogue aux eaux de Vichy et d’Evian.  

Espace naturel sensible des la boucle des Moiles.

ZNIEFF de l’Isère.

ZNIEFF de la boucle des Moiles.

ZNIEFF du vallon de Biol et de Montfert.

ZNIEFF du bois des Oves.

ZNIEFF du bois Bouchet.

ZNIEFF de l’île Caille.

ZNIEFF de l’étang de Mai.

ZNIEFF de la zone fonctionnelle de l’Isère à l’aval de Meylan.

ZNIEFF du marais de l’Echaillon et bords de l’Isère.

ZNIEFF du bois des Oves à la Renaudière.

ZNIEFF de la boucle des Moiles.

ZNIEFF du vallon de Biol et de Montfert.

Arrêté de biotope de Mai et boucle des Moiles du 18 mai 1994.  

 

Bibliographie :

 

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Regeste Dauphinois n° 675, 705, 1355, 1953, 2111, 2150, 2523, 2960, 3006, 3068, 10904, 13705, 13945, 16257, 16303, 17237, 17470, 18851, 19213, 19493, 19255, 20204, 20353 21106, 24909, 24945, 25399, 28648, 29325, 29346, 29971, 31609, 35244, 35248, 35250, 35343, 35346

Regeste complémentaire n° 1547, 1595, 1803, 2500, 2792, 3571, 3737, 3746, 3803, 4165, 4166, 4206, 4239, 4276 et 4388

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