REVEL-TOURDAN

 

Canton de Roussillon, ex canton de Beaurepaire.

Formes anciennes : Turedonum (Tourdan, époque gallo-romaine), Revellum au XIe siècle.

Gentilé : Tourvellois.

Héraldique : d’or au demi vol de sable (armoiries de la famille de Revel).  

 

Carte IGN au 1/25000ème : 3133 SB

 

Superficie : 1162 hectares.

 

Population (2015) : 1042 habitants.

 

Hagiographie : Jean Baptiste, cousin de Jésus à qui il donna le baptême dans le Jourdain. Décapité en 31. Il est représenté avec un agneau pascal.

 

Préhistoire : on a trouvé quatre haches polies en jadéite verte qui ont été déposées au Musée des Antiquités Nationales en 1890.

Des palets disques en quartzite sont également mentionnés.

H. CHATAIN aurait découvert quatre gros blocs de forme ovoïde présentant sur le sommet des sortes d’anneaux réalisés par usure qui auraient servi au travail de l’os.

 

Protohistoire : divers vestiges sont connus :

 

Ø  une hache en bronze du type des Roseaux à large tranchant en arc de cercle a été découverte (au Musée Dauphinois n° 67.12.186) ainsi qu’une hache à ailerons médians et un bracelet à cannelures, le tout du Bronze final,

Ø  en 1890, on a mis au jour à Tourdan, à l’occasion de travaux d’adduction d’eau, une caisse en bois contenant un petit vase en terre cuite renfermant environ 250 monnaies gauloises d’argent (dont 121 oboles de Marseille, 7 monnaies au buste de cheval, 56 au bouquetin, 18 au cheval galopant avec légende IAZUX et 5 anépigraphes) ainsi que des anneaux de verre, un bracelet et un anneau ; 7 monnaies sont entrées dans les collections du M. A. N. et le reste a été dispersé,

Ø  un bronze de Marseille, découvert par la suite au même endroit, est peut être étranger au trésor,

Ø  des fibules du type de Nauheim ont également été découvertes dans des sépultures,

Ø  les fouilles de 1972-1973 sur le site de l’agglomération gallo-romaine ont livré une obole massaliote et deux oboles gauloises,

Ø  en 1980, on a trouvé une monnaie gauloise au cavalier,

Ø  en 1990 on a exhumé une sépulture gauloise avec des fibules,

Ø  en 2003, lors de la construction d’une maison, on a trouvé une couche archéologique de l’époque de la Tène,

Ø  le nom de la localité (Turodunum), intègre le toponyme gaulois dunum, forteresse ; A. BOCQUET situe cet oppidum (2 à 3 hectares) à l’est de l’agglomération et A. PLANK y voit « la ville fortifiée de Turros »,

Ø  G. CHAPOTAT fait passer à Tourdan et près du Châtelard une voie protohistorique,

Ø  fin septembre 2005, à Champ Martin on a découvert des vestiges gaulois : céramique, fibule, amphore, fragment de frette de char…

 

Epoque gallo-romaine : la question de l’identification de Tourdan à l’antique TVREDONNO (ou TVRECIONICO) de la Table de Peutinger a divisé les historiens régionaux pendant plus d’un siècle. La lecture est controversée car l’écriture n’est pas nette. De fait, il y a trois lectures possibles : TVRECIONICO comme sur les Cuivres d’Anvers, ainsi que, source dépendante, sur les Cuivres d’Amsterdam (1653), TVRECIONNO, lecture faite par quelques auteurs et TVREDONO : c’est la lecture de DESCJARDIN et de HIRSCHFELD. Nonobstant les théories concernant Ornacieux et, à un degré moindre, Saint Jean de Bournay, il est difficile de ne pas situer aujourd’hui à Tourdan l’ancienne station. G. CHAPOTAT persistait néanmoins à placer la station à Ornacieux. Or on n’y connaît pratiquement pas de vestiges antiques. Au surplus la récente carte archéologique de l’Isère (38/4 de 2017) accorde une demie page à Ornacieux contre 29 à Tourdan.

R. TRUC a retrouvé certains segments de la voie de Vienne à Grenoble, notamment sur la rive droite du Dolon où, parallèlement au chemin actuel, se devine le chemin antique envahi de broussailles qui se raccorde au lit du ruisseau par un tracé oblique très caractéristique. Il aboutit à l’actuelle route départementale 51 et, au-delà de la route jusqu’à la Perrière, il est carrossable. Ce chemin figurait de façon très précise sur le cadastre de 1836. Contrairement à la majorité des avis, G. CHAPOTAT ne voyait dans ce tracé qu’un chemin gaulois. Les découvertes faites à Tourdan sont abondantes :

 

Ø  en 1838, dans un champ près de l’église, on a découvert un vaste bassin entouré de ciment rouge et un vase à l’effigie d’Auguste et d’Agrippa,

Ø  entre le prieuré et l’église, N. DROUVOT pense qu’il y avait là une construction imposante, peut être une domus  avec des thermes,

Ø  en 1842, à Tourdan, près des fondations d’un édifice romain, on a trouvé un vase en argent de 1560 grammes, décoré de deux registres : en haut, les saisons portées par des animaux et des génies et, au registre inférieur, des scènes marines. Ce vase exceptionnel et d’une valeur inestimable, acheté tout d’abord par un collectionneur viennois a été ensuite revendu au British Muséum dans les collections duquel il figure toujours,

Ø  en 1886, on a trouvé de la céramique sigillée estampillée BIRRANTVS,

Ø  à diverses époques on a exhumé des statuettes de Minerve, Mars, Vénus, Hercule, des amphores, des poteries, notamment au lieudit Saint Martin,

Ø  sur le mamelon de la Tourelière, des vestiges antiques ont été interprétés comme un temple,

Ø  les fouilles du site antique de Tourdan, conduites entre 1972 et 1980 par l’association Renaissance de Revel et Tourdan ont révélé une agglomération secondaire, couvrant 40 hectares avec un abondant matériel du Ier au IIIe  siècles. La trame bâtie s’étendait principalement à l’est de la voie romaine de Vienne à Grenoble,

Ø  l’un des bâtiments de la mansio a été dégagé sur 25 m2. Une monnaie de Trébonien Galle fournit des traces d’incendie et un terminus ante quem de 253,

Ø  en 1972, on a trouvé au lieudit le Prieuré quatre sépultures gallo-romaines en bâtières de tegulae,

Ø  vers 1972, on a découvert à l’est du prieuré une applique à décor anthropomorphe en alliage cuivreux représentant deux oreilles votives provenant d’un possible culte de l’eau thérapeutique, les oreilles étant alors des ex-voto de guérison,

Ø  en 1974, on a exhumé des céramiques et des monnaies de Tibère,

Ø  en 1976, on a dégagé la voie romaine, d’axe nord sud, large de 4,50 mètres et bordée de part et d’autre par un fossé, empierrée de gros de quartzites,

Ø  la même année, on a dégagé un tronçon d’aqueduc, au lieudit l’Embranchement, détruit sur plusieurs dizaines de mètres ; un fragment est conservé dans la sacristie de Tourdan,

Ø  en 1978, aux Roussières, un bâtiment de 31 mètres sur 26 a révélé trois états successifs de la fin du 1er siècle avant notre ère à la fin du Ier siècle de notre ère (2 aes de Vienne, 3 monnaies à l’autel de Lyon, un stylet, une lampe en bronze et des céramiques sigillées estampillées OF AQVIT),

Ø  une inscription fragmentaire a été trouvée : « C(aio) A… VER / C FIL(io) GAL(ii) / CO(e)X STIP » : autel à Caius Gallicus, fils de Verus du produit d’une quête… » (perdu),

Ø  en 1980, on a trouvé deux intailles bonus eventus et Mars ultor, des céramiques allobroges (MARTINVS, MAXIMVS, PRISCVS, SEVVO), des briques et des tubulii estampillés, neuf lampes, une fibule et 8 monnaies (denier républicain, 3 aes de Néron…), un moule monétaire de Julia Domna, divers objets de tabletterie et des chutes de bronze et de plomb,

Ø  dans les années 1980, on a découvert le fragment supérieur mouluré d’un autel funéraire en calcaire : « L(ucius) VIBIVS / C(ai) F(ili)… » : « … Lucius Vibus, fils de Caius… » et un autel anépigraphe,

Ø  en 2002, on a repéré des structures d’habitat à Tourdan et à l’est du hameau, un autre tronçon de la voie romaine,

Ø  de 2003 à 2008 sont intervenus des zonages archéologiques,

Ø  en 2003, au lieudit le lac on a repéré en prospection aérienne un bâtiment de 15 mètres sur 9 mètres avec deux pièces et au sol en 2005 trouvé des tegulae, de la céramique commune et sigillée et des fragments d’amphores,

Ø  en 2005, on a découvert, à Champ Martin les fondations d’un imposant monument (temple, mausolée, portique ?) dont il ne subsistait qu’une imposante substruction constituée de dalles en molasse liées par un béton de chaux (podium) ; la tradition situe en ce lieu un temple qui aurait été renversé par Saint Martin,

Ø  à Charpenet, en 2004 et 2008, on a découvert un site à tegulae avec de la céramique rouge et sigillée,  

Ø  à Mornaix, en 2005 et 2008 on a repéré un site à tegulae et céramiques,

Ø  en 2006, des prospections ont révélé des fermes et des annexes agraires et un possible fanum,

Ø  en 2008, au Chemin Ferraz on a trouvé des tegulae, de la céramique sigillée et claire, des tessons de verre et des fragments d’amphores,

Ø  En 2010, à Champ Martin, on a découvert un temple avec portique.

 

Haut Moyen Âge : le site archéologique de Tourdan a livré trois inscriptions paléochrétiennes :

 

Ø  la première a été trouvée en 1844 dans une maison voisine de l’église : « HIC REQVIESCIT IN PA / CE BONE MEMORIAE GVN / DIISCLVS IN SPE RESSVRRE / XIONIS MESERECORDIA / CHR(ist)I Q(ui) VIXIT IN SECOLO / ANNVS LXVIIII OBIT IN CHR(ist)O / XVI KAL(endas) FEBRVARIAS / VI P(ost) CON(sulatum) BASILI INDIC(tione) XI » : « ici repose en paix Gundisclus de bonne mémoire dans l’espoir de la résurrection et de la miséricorde du Christ qui vécut dans le siècle 69 ans. Il est mort dans le Christ le 16 des calendes de février, 6 ans après le consulat de Basile, la 11ème année de l’indiction » (17 janvier 547 ou 548). Cette inscription est aujourd’hui conservée à Vienne au cloître de Saint André le Bas,

Ø  la seconde a été trouvée en 1865 dans le jardin de la cure : « (h)IC REQVIESCIT IN PACE / BONE MEMORIAE ADICA / (q)VI VIXIT ANNVS SEX ET MI / NSES QVINQVE OBIAT IN CHR(ist)O / NONO DECIMVS (k)ALENDAS SEPTEMBR(es) VICES E(t) ITER P(ost) C(onsulatum) C / BASILI V(iri) CLARISSIMI CON / SOLES INDEXIONE TESIA / DECNA » : « ici repose en paix Adica de bonne mémoire morte dans le Christ à l’âge de six ans et cinq mois, le 19 des calendes de septembre et la 23ème année après le consulat de Basile, clarissime, indiction treizième » (14 août 564 ou 565). Cette inscription, aujourd’hui dans l’église de Tourdan, a été classée monument historique au titre des objets mobiliers en 1988,

Ø  la troisième mentionne : « HIC REQVIESCIT IN PA / CE BONE MEMORIAE MA / TRONA S(an)C(t)EMONIALES IN / SPE RESVRRECXIONES ME / SERECORDIA CHR(ist) VIXIT IN SECOLO ANN(os) XXXII » : « ici repose en paix Matrona de bonne mémoire, vierge consacrée dans l’espoir de la résurrection et de la miséricorde du Christ. Elle a vécu dans le siècle 32 ans » (milieu du VIe siècle). Cette inscription, également conservée dans l’église de Tourdan a été classée monument historique en même temps que la précédente.

 

Un cimetière chrétien existait donc là au VIe siècle, près de l’église primitive dédiée à Saint Martin qui serait passé par là en 386 en se rendant de Vienne à Milan et en évangélisant la région. Le lieudit porte encore le nom de Champ Martin. En 1974, on a retrouvé cette nécropole, confirmée par neuf sépultures et par une typique agrafe de linceul en bronze, trouvée sur l’épaule gauche d’un enfant de huit à neuf ans.

En 1972, des sondages au prieuré ont livré des sépultures parmi les vestiges de structures d’habitat antique.

En 2003, on a découvert quatre sépultures à inhumation.

En 2005 et 2008 à coté de l’édifice à podium en a découvert un édifice tardo-antique (Ve, VIIIe siècles) entouré de nombreuses sépultures à inhumations (26 découvertes).

En 2007, dans la cour d’une ferme du bourg on a découvert des céramiques mérovingiennes des Ve, VIIIe siècles.  

En 2008, au Chemin Ferraz on a trouvé de la céramique du Haut Moyen Âge.

En 2010, à Champ Martin, à proximité du temple gallo-romain, un petit bâtiment du VIe siècle, orienté est-ouest, associé à des tombes à donné à penser qu’il pouvait s’agir d’une église tôt abandonnée.

Au Xe siècle, Tourdan est le siège de la villa Tordionacus.

Motte castrale du Croton à Revel, encore très apparente, avec une basse-cour bien marquée.

Motte castrale du Saut du Chevalier en forme de plate forme sommitale élevée d’une vingtaine de mètres. Elle se compose d’un large et profond fossé annulaire et d’une plate forme de 20 mètres sur 10 mètres.

 

Edifices religieux :

 

Eglise Notre Dame de Tourdan : elle existait dès l’an 900. Elle fut remaniée au XVIe siècle par le prieur Jean d’Ancezune. Elle conserve, dans la chapelle dite de la Vierge des peintures murales du XVIe siècle et divers éléments :

-       les deux inscriptions paléochrétiennes (supra),

-       le maître autel avec quatre statues du XVIIIe siècle classé au titre des objets mobiliers des monuments historiques en 1965

-       l’autel de la Vierge du XVIIIe siècle, inscrit à l’inventaire supplémentaire des objets mobiliers des monuments historiques en 1987,

-       l’autel de Saint Arrou (Arold, Endold ?), du XVIIIe siècle (même inscription),

-       un confessionnal de 1776 (même inscription),

-       une statue de Vierge à l’Enfant du XIXe siècle (même inscription),

-       une chaise de célébrant du XVIIIe siècle (même inscription en 2017),

-       une verrière figurée des XVIe et XIXe siècles (inventaire général 1990).

L’église a été inscrite en totalité à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2011.

 

Prieuré de Tourdan : il est accolé à l’église primitive et fut établi en l’an mil comme dépendance de Saint-Pierre-de-Vienne. Les bâtiments ont été restaurés au cours des siècles, en particulier à l’époque gothique. Trois grandes salles conservent une cheminée de pierre et des plafonds à la française. Le portail, aujourd’hui entrée du jardin de la cure, date du XVIIe siècle.

L’ensemble prieural a été inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2011.

 

Chapelle castrale mentionnée en 1077.  

 

Eglise Saint Jean-Baptiste de Revel : d’origine romane, elle a été fortement remaniée. Elle possède de nombreux objets protégés au titre des monuments historiques depuis 1987 (inventaire supplémentaire des objets mobiliers) :

-       un tableau de Saint Roch du XVIIe siècle,

-       un tableau de la remise du rosaire du XVIIe siècle,

-       une toile représentant le baptême du Christ de 1699,

-       une statue de  Christ en croix du XVIIIe siècle

-       un autel de 1770,

-       un tableau de Saint Abdon et Saint Sennen du XVIIIe siècle,

-       un tableau d’ange en prière du XVIIIe siècle,

-       un tableau de l’Assomption de la Vierge du XVIIIe siècle,

-       une paire de reliquaires monstrances du XVIIIe siècle,

-       un confessionnal de 1776,

-       les lambris du chœur de 1770,

-       une statue de Vierge à l’Enfant du XVIIIe siècle,

-       un tableau de confrérie du XIXe siècle,

-       le maître autel de 1770 a été classé au titre des objets des monuments historiques en 1991.

 

Hôpital : au lieudit du même nom, emplacement d’un hôpital de l’ordre de Saint-Jean- de-Jérusalem cité en 1474 qui possédait une chapelle dédiée à Notre Dame.

 

Confrérie du Saint Esprit établie au début du XVIe siècle.  

G. ALLARD mentionne la présence d’une confrérie du Saint-Sacrement.

 

Couvent de Revel : fondé le 6 octobre 1639 sous le vocable de Notre Dame des Grâces par Jean Buffevent de Murinais, vicaire général des états du Dauphiné, il ne subsista pas longtemps.

 

Passage du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle (segment de Genève au Puy), aujourd’hui GR 65.

 

Châteaux :

 

Château féodal du Croton : vestiges du château féodal de Revel qui conserve des murs de soutènement au pied de la motte castrale.

 

Enceinte médiévale érigée entre 1320 et 1330 avec trois portes dont celles du Bourg Vieux et de Champ Romieu.

 

Maison forte de Revel ou de Buffevent : construite vers 1500 pour les seigneurs du lieu après la ruine définitive de leur château fort. Deux tours subsistent sur les quatre que comportait préalablement le corps carré. Dans le sous sol subsiste une salle d’armes, un puits hexagonal et une très belle cheminée de pierre monumentale. Subsistent également deux colonnes antiques, vestiges d’un portique.

 

Château de Barbarin : le lieu est cité dès le XIIe siècle (Barbarino) et une maison forte primitive semble remonter au XIVe siècle. D’importantes modifications sont intervenues au XVIIIe siècle, époque où l’on a édifié le château actuel qui conserve des salles avec gypsières et un plafond à la française. La terrasse est encadrée de deux pavillons.

Les façades et les toitures du château, l’escalier intérieur et la pièce ornée de peintures du premier étage ainsi que les façades et les toitures de deux pavillons de la terrasse et les sols correspondants ont été inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2011.

 

Lieux anciens :

 

Campus del lac, XIIIe siècle, le Lac.

Fons de la Charpera, XIVe siècle, Charpenay.

Lorios, XIIIe siècle, Lorine.  

Parcia, Parzei, XIIe siècle, le Parjat.

 

Architecture civile :

 

Moulin mentionné au XIVe siècle : Molendinum Revelli.

Dans le village de Revel, ruelles pavées du XVe siècle.

Maison Lefebvre d’Hauteville, ancien relais de poste.

Maison Dunièvre de la Serve.

Rue du Bourg Vieux, maison Dunievre de la Serve, maison de maître et dépendances.

Dans la même rue, restes de meurtrières et la feuillure de la porte, vestige des remparts de 1320-1330.

Porte de Champ Romieu.

Demeure du XVIIe siècle, aujourd’hui Poste.

Maison avec croix et date de 1770 sur le linteau de la porte.

Rue des Soupirs, demeures des XVIe et XVIIe siècles.

Grande Rue, ferme Seglat du XVIIe siècle.

Maison Rosset Bressand, maison de notaire, place des Terreaux.

Maison de l’Henri avec un Saint Jacques moderne saluant les pèlerins de Compostelle.

Pigeonnier de 1560, musée de l’artisanal rural.

Carrière de molasse du Colombier.

L’Atelier Tournesol a recensé deux cadrans solaires.  

 

Autres indications :

 

Frêne vieux de deux siècles au-dessus du château de Barbarin.

ZNIEFF de la carrière de Coquaz (6 hectares).  

 

Bibliographie :

 

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