SAINT-PAUL-DE-VARCES
Canton de Pont-de-Claix, ex canton de Vif.
Formes anciennes : Sancti Pauli au XIe siècle, Incassio
au XIVe siècle.
Ancoin ou Paul d’Ancoin sous la Révolution.
Gentilé : Saint-Pognards.
Carte IGN au 1/25 000ème : 3235 E
Superficie : 560 hectares.
Population (2015) : 2191 habitants.
Hagiographie :
Paul, de Tarse, qui eut la vision du Christ sur
le chemin de Damas en 34. Décapité en 67 à l’emplacement de la basilique Saint
Paul hors les murs de Rome. Il est considéré comme le treizième apôtre dit
« des Gentils » (non juifs) et il est représenté chauve avec une
épée.
Jean-Baptiste, cousin de Jésus à qui il donna
le baptême dans le Jourdain. Décapité en 31. Il est représenté avec un agneau
pascal.
Catherine, d’Alexandrie, qui eut la vision de
l’enfant Jésus la choisissant pour fiancée. Martyre en 305 sous Maximin Daïa.
C’est la patronne des filles à marier.
Préhistoire et protohistoire :
Pour la connaissance du passé de notre contrée,
le gisement de la nécropole de Saint Paul de Varces est un site préhistorique
majeur est fondamental car il prouve la pénétration de la vallée de Saint Paul
dès la préhistoire, tant comme vallée de passage que comme vallée refuge. On a
même dit que c’était « le site préhistorique le plus important et le plus
représentatif de la région grenobloise ».
En septembre 1960 fut en effet découvert un
exceptionnel gisement au lieudit les Râcles au pied du versant nord de
la montagne d’Uriol, à l’aplomb de l’anfractuosité naturelle nommée Porte
Coche. C’est le seuil d’une petite grotte sépulcrale qui, en s’effondrant
fortuitement le 11 septembre 1960 fut à l’origine de la découverte de la
nécropole. A
Les premiers de ces corps avaient sans doute
été inhumés au chalcolithique au seuil de la grotte. Quelques siècles plus
tard, des populations proto celtes ou largement influencées par cette
civilisation utilisèrent à nouveau les mêmes lieux.
Sept à huit mètres plus bas, un second groupe
sépulcral devait livrer trois corps sans aucun ornement.
Quinze mètres plus haut que la première
nécropole, une tombe collective de 27 individus, dont les os avaient été broyés
avant l’inhumation suivant une coutume assez répandue à l’époque
chalcolithique, miraculeusement inviolée postérieurement à son établissement,
devait livrer un matériel important et très homogène.
Enfin, à
Sans doute d’autres points sépulcraux,
irrémédiablement détruits par la carrière, existaient-ils dans cette falaise,
utilisant à dessein les abris et cavités naturelles.
L’abondance des productions trouvées aux Râcles
laisse supposer une certaine prospérité des populations enterrées en ce lieu.
Il s’agit là d’une nécropole complexe, étagée
sur un versant rocheux au hasard des possibilités d’utilisation offertes par la
disposition des blocs. Cette destination s’est curieusement perpétuée des
siècles durant, malgré de profondes transformations des rites funéraires ;
au chalcolithique les ossuaires collectifs ont occupé les espaces offerts par
la disposition naturelle des rochers, en s’étageant le long de la pente sur une
trentaine de mètres de hauteur.
A l’âge du bronze, la nécropole antérieurement
utilisée devait être encore assez visible pour que les nouveaux venus en
reconnaissent le caractère et y perpétuent la tradition du lieu réservé aux
morts, exactement au même endroit.
Et la richesse comme la variété des mobiliers
funéraires recueillis indiquent bien qu’il s’agit d’un mode de sépulture
nullement occasionnel ou dégradé mais aussi élevé socialement que les tombes
mégalithiques ou tumulaires.
L’absence quasi-totale de vestiges postérieurs
à l’âge du Bronze peut s’expliquer soit par la désaffection progressive du site
pour d’autres emplacements plus propices que nous ne connaissons
malheureusement pas, soit par l’interruption des inhumations au profit de
l’incinération dont on sait qu’elle devint à peu près systématique vers 1200
avant notre ère.
Le site des Râcles fut-il donc strictement un
site cultuel funéraire ? D’où venaient alors les individus enterrés en ce
lieu et qui étaient-ils ?
Tout porte à croire qu’il s’agissait
d’immigrants groupés, venant du sud, qui se seraient installés sur place en
s’adaptant aux conditions de vie et aux habitudes locales.
Mais la vraie question est : où
demeuraient-ils ? Il y a là une alternative conjecturelle : soit l’on
considère la vallée de Saint Paul comme vallée refuge et il faut alors admettre
que les sites d’habitat devaient être installés non loin de la nécropole, soit
l’on considère la vallée comme lieu de passage et il faut alors penser à un
habitat de hauteur.
J’ai personnellement le sentiment que les
habitants de Saint Loup avaient remarqué ces failles dans le rocher et
qu’ils en avaient fait un lieu éminemment vénéré. Ceci peut être corroboré par
le fait que Saint Loup n’a pas livré la moindre sépulture et par une
analogie certaine entre diverses pièces récupérées sur les deux sites.
Dans les deux cas, les influences sont
méridionales et montrent les rapports culturels sinon ethniques qui semblent
lier les Alpes et le Midi dès les origines de la métallurgie du cuivre puis du
bronze.
Alors, sauf à imaginer une densité élevée de
population, on ne peut manquer d’établir une relation entre la nécropole et
l’oppidum de Saint Loup, si proche par la brèche de Porte Coche.
Quoiqu’il en soit, la perduration de
l’utilisation des Râcles comme nécropole durant de nombreux siècles montre la
symbolique qui était attachée à ce lieu à la fois protégé et discret et, sans
doute, sa haute valeur cultuelle.
Le
matériel recueilli :
Dans le groupe sépulcral n° 1 du chalcolithique
(toutes les références sont celles du Musée Dauphinois) :
-
un
gobelet caliciforme (D. 69.2.27),
-
un
ciseau poli (D. 69.2.8),
-
une
perle en os (D. 69.2.29),
-
8
perles en os de même nature (D. 69.2.10 à 69.2.17).
Dans le groupe sépulcral n° 1 de l’âge du
bronze moyen :
-
une
coupe en céramique bistre à fond rond et à ouverture rétrécie (D 67.4.12),
-
une
autre coupe en céramique brune (D. 69.2.18),
-
une
épingle en bronze à tête conique (D. 67.4.8),
-
un
bracelet en bronze ovalaire (D. 69.2.20),
-
un
autre bracelet en bronze (D. 69.2.21),
-
7
autres bracelets en bronze (D. 69.2.22 à 69.28),
-
6
anneaux spirales (D. 69.2. 29 à 34),
-
8
tubes spirales, probablement montés en collier (D. 69.2. 35 à 42),
-
Un
éclat de silex (D. 69.2.19)
Dans le groupe sépulcral n° 3 du
chalcolithique :
-
6
lames de silex (D. 69.2.46 à 69.2.51)
-
Une
pioche en bois de cerf (D. 69.2.44)
-
Un
poinçon en os (D. 69.2.45)
Et, isolés, trouvée en 1960 dans l’éboulis de
la carrière une rouelle en bronze à 4 rayons (D. 69.2.43) et un bracelet en
lignite, sans rapport avec la nécropole (D. 67.4.15), ces deux pièces étant
datées du Hallstatt moyen ou final.
Epoque gallo-romaine : en 1835, sur un
site non précisé, on a trouvé un tremissis
de Valentinien III en or : D / DN (P)LA VALENTIANVS PF AVG ; R /
croix dans une couronne à l’exergue COMOB (ancienne collection PILOT)
Sur le versant est du Col Vert, en 1914,
H. MULLER a trouvé une monnaie du IIe siècle (non décrite).
On notera un lieudit le Grand Champ,
souvent survivance d’un domaine gallo-romain.
Edifices
religieux :
Ancienne église Saint Paul : elle est citée
dès la fin du XIe siècle dans le cartulaire C de Saint Hugues : ecclesia Sancti Pauli. En 1179, elle
relevait de l’abbaye de Saint Chaffre par l’intermédiaire du prieuré Saint
Michel du Connexe. Elle est également citée dans la charte du XIVe siècle
additive aux cartulaires : capellanus Sancti Pauli de Incacio, du nom du hameau d’Encoin qui deviendra éphémèrement celui de la commune sous la
Révolution.
Lors de
la visite pastorale de Laurent Ier Alleman du 12 juillet 1488,
l’église est indiquée en bon état. Il est mentionné qu’elle comportait trois
chapelles vouées à Saint Jean Baptiste, à la Sainte Croix et à Sainte
Catherine. Dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 elle est nommée ecclesia Sancti Pauli de Incassion,
toujours dépendance du Connexe. L’emplacement de cette église, qui aurait été
détruite par un éboulement de la montagne, n’est pas connu.
Un hôpital a-t-il existé à Saint Paul ? :
l’hospitalis Chaberti est cité au XIIIe
siècle.
PILOT de THOREY a relevé au XIVe siècle
l’existence d’un hameau, aujourd’hui disparu, voué à Saint Nicolas : villa Sancti Nicolay de Combis.
Seconde église Saint Paul : au lieudit Chambord,
emplacement possible de la seconde église paroissiale citée en 1531. Un reste
de fenêtre ogivale se voit encore dans la propriété qui l’a remplacée.
Eglise Saint Paul : elle a été
construite en 1840. Le clocher a un toit en forme de dôme qui est la copie de
celui de Pont en Royans.
Elle conserve un confessionnal en bois de 1747,
classé monument historique au titre des objets mobiliers en 1942.
Elle possède également deux cloches de 1823 et
1865, un autel de noyer, don de la châtelaine de Varces et deux vitraux dédiés
à Saint Pierre et Saint Paul.
Croix de mission de 1897.
Châteaux :
Au lieudit la Chabertière, emplacement
d’une maison forte disparue, propriété d’Alleman Chabert en 1339 : fortalicum Chaberti.
Trois autres maisons fortes, aujourd’hui
disparues et non localisables, sont citées dans l’enquête delphino-pontificale
de 1339 :
-
la
maison forte de Lanthelme de Varces,
-
la
maison forte d’Hugues du Gua,
-
la
maison forte d’Odon et Gillet Alleman.
L’enquête pontificale de 1339 attribue 180 feux
à la localité.
Hameaux
anciens :
Ancien hameau de Seyssel mentionné en
1339 : Saysselorum villa.
Les Bérards, hameau cité au XIVe siècle : Beroarderias villa.
Les Blanchières, citées au XIVe siècle : Blancheriis villa.
Les Faures, Fabrorum
villa au XIVe siècle.
Les Grisailles, Gressalis villa au XIVe siècle.
Gros Morand, Gromorenum villa au XIVe siècle.
Les Guillets, villa de Guilletis au XIVe siècle.
Ongrie, villa
regis Hugarie au XIVe siècle.
Maubourg, villa
de Malborez au XIVe siècle.
Les Mallets, Maletorum villa au XIVe siècle.
Meinget, Mignot
villa au XIVe siècle.
Les Pierres, villa de Petra au XIVe siècle.
Le Poulat, villa
de Pauletis au XIVe siècle.
Les Rivoires, Romassium villa au XIVe siècle.
La Sambue, villa
de Sambuy au XIVe siècle.
Collaboeuf nommé au XVe siècle Corroabouchii et Crolabochiis villa.
Malancourt nommé au XVe siècle Male Coste.
L’Eschaillier, Echalerium au XVIe siècle.
La Roche, Rochassium
au XVIe siècle.
Ansi que des lieudits disparus :
-
pratum Illactum au XIVe siècle :
l’Ilôt ?
-
villa de Moletis au XIVe siècle :
les Molettes ?
-
villa de Morestellis au XIVe siècle :
Morestel ?
-
Sayssellorum villa en 1339 : les
Seyssels ?
Edifices
civils :
Maison Rochas au Sorbier de 1689.
Aux Combes, ferme ancienne avec traces
d’anciens meneaux et plaque de cheminée de 1746.
Ferme ancienne de Collaboeuf.
Ancienne ferme Renavent avec une plaque de
cheminée fleurdelisée de 1773.
Maisons bourgeoises au Sorbier et aux
Gauthiers.
Ancien presbytère (aujourd’hui Mairie).
Ancienne Mairie Ecoles de 1874.
Ancien moulin du Batou.
A la ferme Combet de Charrière Froide, A.
FAVOT mentionne un cadran solaire.
Autres
indications :
Le col de l’Arc est la seule voie de la chaine
du Vercors mentionnée sur la carte de Cassini de 1760. C’était de tous temps
une voie de passage importante entre Trièves et Vercors. Il est mentionné au XIVe
siècle sous le nom de Collis Alpis de
l’Arez.
Le col Vert a été pratiqué de haute origine
(supra). Au XIVe siècle il était nommé Collis
de Goverez ou Gover dont on a fait, par corruption, un
col « vert ».
Vers le Col Vert, emplacement d’un Pas
de Dieu, non situé précisément, qui tenait semble-t-il son nom d’un bloc de
pierre assez gros portant l’empreinte d’un pied d’environ 80 cm de long. On
racontait que Dieu, trouvant le chemin obstrué par ce bloc, l’aurait écarté en
le poussant du pied.
G. ALLARD indique qu’il y avait (à son époque)
contre un rocher une source qui, à cause de ses eaux salées, y attirait souvent
les chamois.
Sur la Crête des Crocs, la Pierre Viravi
(ou Vivari) est un curieux rocher en forme de bouchon de champagne
penché. On racontait jadis qu’il lui arrivait de de virer sept fois sur
elle-même pendant certaines messes de minuit mais d’autres légendes assuraient
qu’elle ne tournait qu’une fois tous les cents ans ou encore qu’un trésor avait
été enfoui à ses pieds par les sarrasins (!).
Cadran solaire de la maison Combet à la
Charrière Froide mentionné par A. FAVOT.
Stèle des Fusillés de 1944 à la Combe de
Louve.
Commune du Parc Naturel Régional du Vercors.
ZNIEFF des forêts et rochers de la Bourgeoise.
ZNIEFF de la montagne d’Uriol.
ZNIEFF des crêtes orientales du massif du
Vercors.
ZNIEFF des hauts plateaux du Vercors.
Bibliographie :
Archives départementales de l’Isère : B
4443 f° 95
Regeste Dauphinois n° 4719, 29519
G. ALLARD : Dictionnaire du Dauphiné,
manuscrit de 1684 publié par H. GARIEL en 1864, T 2, page 408
J. J. A. PILOT : Précis statistique des
antiquités du département de l’Isère, BSSI 3, 1843, pages 157 et 158
C. LORY : description
géologique du Dauphiné, BSSI 1864, page 143
J. MARION : cartulaires de l’église
cathédrale de Grenoble dits cartulaires de Saint Hugues, cartulaire C page 192,
charte du XIVe siècle page 278 et pouillé de 1497 page 353
C. FAURE : un projet de cession du
Dauphiné à l’église romaine (1338-1340), Mélanges d’archéologie et d’histoire,
T 27, 1907, page 215
E. PILOT de THOREY : dictionnaire
topographique de l’Isère publié par U. CHEVALIER en 1920, pages 31, 36, 61, 67,
105, 113, 121, 130, 134, 142, 143, 165, 172, 174, 179, 180, 182, 186, 187, 210,
215, 225, 232, 242, 261, 267, 299, 304, 317, 324, 331 et 366
A. FAVOT : les cadrans solaires à Grenoble
et dans le Bas Grésivaudan, BSSI, 1920, page 425
J. B. LANFREY : chez nous, 1930, page 91
GALLIA Préhistoire, 1961, pages 322 à 328
BOCQUET (A) : découverte d’une nécropole
protohistorique dans la région grenobloise à Saint-Paul-de-Varces, bulletin de
la Société Préhistorique de France, 59, 1962, pages 156 à 164
BOCQUET (A) : la nécropole protohistorique
de Saint-Paul-de-Varces, 1963
GALLIA Préhistoire, 1963, pages 283 et 284
Trésors du musée Dauphinois, 1968, n° 13, page
15, n° 19 pages 22 et 23 et n° 23, page 25
BOCQUET (A) : l’Isère préhistorique et
protohistorique, 1969, pages 327 à 331
BOCQUET (A) : catalogue des collections
préhistoriques et protohistoriques du Musée Dauphinois, 1969, n° 274, page 69,
373, page 92 et 639 à 684 pages 129 à 137
Catalogue, planches, 1970 : planche 6 n°
665, planche 11 n° 677 à 682, planche 14 n° 684, planche 24 n° 274, planche 31
n° 641, planche 35 n° 651 à 664, planche 36 n° 642 à 650, planche 48 n° 639,
640, planche 69 n° 666 et planche 70 n° 639
J. C. MICHEL : la préhistoire dans le
canton de Vif, bulletin des AVG n° 8, décembre 1981, pages 11 à 13
J. C. MICHEL : Saint Paul de Varces,
bulletin d’accueil du S. I. 1983
J. DEPRES : le col Vert, bulletin des AVG
n° 13, 1984, pages 54 à 56
F. GAUTIER : le col Vert, bulletin des AVG
n° 14, 1984, page 66
BOCQUET (A) : notices n° 24 à 53 dans
archéologie chez vous n° 4, la vallée de la Gresse, 1985, pages 8 à 10
J. C. MICHEL : l’église de Saint-Paul-de-Varces,
bulletin des AVG n° 15, juin 1985, page 46
J. C. MICHEL : Isère gallo-romaine, I,
1985, page 225
J. C. MICHEL : à propos de quelques objets
préhistoriques de Saint-Paul-de-Varces, bulletin des AVG n° 17, juin 1986,
pages 21 et 22
R. REYMOND : énigmes, curiosités,
singularités, 1987, pages 382 et 383
J. C. MICHEL : notice sur Saint-Paul-de-Varces
dans l’Histoire des communes de l’Isère, Horvath, 1988, pages 395 et 396
X. LORIOT et B. REMY : Corpus des trésors
monétaires antiques de la France, V 2, 1988, page 63, n° 8
R. REYMOND : l’insolite et images fortes
du passé, 1989, pages 333 à 335
A. FRANCES : un vieux mot dialectal
presque oublié à Saint-Paul, bulletin des AVG n° 24, 1989, page 29
A. FRANCES : quelques lieux dits de Saint-Paul,
essai d’interprétation, bulletin des AVG n° 25, 1990, pages 21 à 25
J. C. MICHEL : Saint Paul de Varces à
l’aube de l’histoire, bulletin des AVG n° 26, décembre 1990, pages 51 à 55
J. P. CALLU et X. LORIOT : l’or monnayé
II. La dispersion des aurei en Gaule romaine sous l’Empire, 1990, n° 137, page
137
J. HEINRICH : Saint-Paul et son histoire,
bulletins des AVG n° 25, 1990 pages 12 à 15, n° 27, 1991 pages 36 à 41, n° 28,
1991 pages 60 à 65, n° 29, 1992 pages 73 à 75, n° 31, 1993 pages 76 à 78, n°
32, 1993 pages 39 à 41
R. REYMOND : mystères et curiosités de
l’histoire, 1991, pages 329 et 330
A. FRANCES : vous avez dit Corlaboeuf,
c’est-à-dire ? bulletin des AVG n° 31, 1993, pages 55 à 58
J. C. MICHEL : notice n° 317 de la Carte
archéologique de la Gaule, l’Isère 38/1, 1994, page 154
J. HEINRICH : Saint-Paul-de-Varces et ses églises,
bulletin des AVG n° 35, 1995, pages 8 à 14
E. COFFIN : inondations à Saint Paul de
Varces, bulletin des AVG n° 36, 1995, page 16
A. FRANCES : à propos de quelques noms de
lieux à Saint-Paul-de-Varces, bulletin des AVG n° 35, 1995, pages 77 à 82
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J. C. MICHEL : de Trièves en Vercors, cols
et pas (II), bulletin des AVG n° 41, juin 1998, pages 21, 23 et 24 et (III) n°
42, décembre 1998, page 25
J. HEINRICH : quand le clocher de Saint-Paul
s’envola, bulletin des AVG n° 43, 1999, pages 25 et 26
J. C. MICHEL : Grenoble antique, 1999,
pages 12 et 13
E. COFFIN : de la cure de Saint Paul de
Varces à l’épiscopat, A. T. Gerin, bulletin des AVG n° 47, 2001, pages 35 à 41
J. HEINRICH : les cafés de Saint-Paul-de-Varces,
bulletins n° 47, 2001 pages 23 à 24, n° 48, 2001, pages 10 à 14 et n° 49, 2002,
pages 42 à 51
E. COFFIN : inscriptions campanaires de la
région de Vif, bulletin des AVG n° 50, 2002, pages 43 et 45
J. C. MICHEL : monnaies antiques de la
vallée de la Gresse, bulletin des AVG n° 50, 2002, page 111
J. C. MICHEL : de l’origine de nos
paroisses, revue des AVG n° 53, 2004, page 26
J. HEINRICH : comment appelle-t-on les
habitants de Saint-Paul-de-Varces, revue des AVG n° 52, 2003, page 59
J. HEINRICH : aux Combes de Saint-Paul-de-Varces,
le vieux four disparu, revue des AVG n° 53, 2004, page 60
J. HEINRICH : noms de lieux, coutumes,
contes et légendes à la Pierre Viravi, revue des AVG n° 54, décembre 2004,
pages 40 à 43
Y. FORESTIER : un bureau de vote à Saint-Paul-de-Varces
dans les années 20, revue des AVG n° 55, 2005, page 32
A. BELMONT : les moulins de la vallée de
la Gresse, quelques fragments d’histoire, revue des AVG n° 56, 2005, pages 7 à
14
E. TASSET : châteaux forts de l’Isère,
2005, pages 502 et 503
J. HEINRICH : l’usine hydroélectrique de
Saint-Paul-de-Varces, revue des AVG n° 57, 2006, pages 10 à 23
J. HEINRICH : les cloches de Saint Paul de
Varces, revue des AVG n° 58, 2006, pages 57 à 61
E. COFFIN : visite pastorale de Laurent 1er
Alleman de 1488, revue des AVG n° 59, 2007, page 37
J. HEINRICH : histoire des écoles de Saint-Paul-de-Varces,
revue des AVG n° 60, 2007, pages 54 à 66 et n° 61, 2008, pages 42 à 49
J. HEINRICH : histoires et gypseries de la
maison Rochas, revue des AVG n° 62, 2008, pages 35 à 43
E. COFFIN : notices sur plusieurs prêtres
de Saint-Paul-de-Varces, 1803-1933, revue des AVG n° 62, 2008, pages 52 à 58
J. HEINRICH : la forêt de Saint Paul de
Varces, revue des AVG n° 66, 2010 pages 59 à 62, n° 67, 2011 pages 42 à 45 et
n° 68, 2011, pages 47 à 52
J. HEINRICH : les hameaux de Saint-Paul-de-Varces,
revue des AVG n° 69, 2012 pages 54 à 59 et n° 70, 2012, pages 45 à 51
Collectif : Saint Paul de Varces, un
village, une histoire et des hommes, 2014
J. HEINRICH : le hameau des Combes, revue
des AVG n° 76, 2015, pages 55 à 59
J. HEINRICH : les vieilles maisons Saint
Poignardes, revue des AVG n° 78, 2016, pages 42 à 44
Carte archéologique de la Gaule : l’Isère
38/4, 2017, page 316
M. A. MICHEL et B. LACHAT : le Lavanchon,
revue des AVG n° 80, 2017, pages 70 à 75
PAULIN (A) : moissons et battages à Saint-Paul-de-Varces
de 1600 à nos jours, revue des AVG n° 82, 2018, pages 34 à 37
J. C. MICHEL : les ZNIEFF de la vallée de
la Gresse, revue des AVG n° 83, juin 2019, pages 58 à 62
J. C. MICHEL : Histoire de
Varces-Allières-et-Risset, 2019, pages 14, 17 à 20, 73, 80 et 140
L. BURDIN : les céréales à
Saint-Paul-de-Varces, revue des AVG n° 89, juin 2022, pages 49 à 53
J. HEINRICH : la ferme Pollicand à
Saint-Paul-de-Varces, revue des AVG n° 90, décembre 2022, pages 39 et 40
L. BURDIN : les moulins de
Saint-Paul-de-Varces, revue des AVG n° 91, juin 2023, pages 16 à 23