LE-PONT-DE-CLAIX
Commune créée par la loi du 25 juin 1873, par
amputation de territoires sur Claix, Champagnier et Echirolles.
Canton du même nom, ex canton de Vif.
Gentilé : Pontois.
Héraldique : d’azur au pont courbe d’or
posé sur un pont droit du même sur une rivière d’argent mouvant de la pointe,
lesdits ponts brochant sur trois éclairs aussi d’argent en bande, en pal et en
barre, pointant sur la surface de la rivière et, en chef, sur trois tourteaux
de gueules cerclés chacun d’un engrenage aussi d’or, mal ordonnés (moderne).
Carte IGN au 1/ 25 000ème : 3235 E
Superficie : 560 hectares.
Population : 10818 habitants.
Hagiographie : Etienne, premier martyr chrétien
lapidé en 35 sous les murs de Jérusalem. Patron des paveurs, il est représenté
avec une pierre.
Protohistoire : on a découvert le 19 octobre
1919 au lieudit le Saut du Moine, dans un ancien gué sur le Drac, à
quatre mètres de profondeur une épée en bronze de 55 cm de longueur, pièce
exceptionnelle. Datée traditionnellement du Bronze final, on pense aujourd’hui
qu’elle pourrait remonter au XIVe siècle avant notre ère. Elle est conservée au
Musée Départemental des Hautes Alpes à Gap.
Epoque gallo-romaine : seul de tous
les auteurs, C. JULLIAN, assimile l’Isara
de Munatius Plancus serait en fait le Drac et que le pont qu’il avait
construit, situé selon toute vraisemblance à Grenoble, aurait été édifié sur le
Drac à Pont de Claix.
Marcellina (infra) pourrait provenir du patronyme Marcellus
(domaine de).
La voie romaine de Grenoble à Fréjus,
mentionnée par Lucius Munatius Plancus dans ses correspondances avec Cicéron de
l’an 43 avant notre ère prenait son origine à Grenoble d’où, par la Porte
Romaine, elle gagnait le coteau de Saint Jacques d’Echirolles. C’est dans ce secteur
que devaient se séparer deux voies importantes : cette de Fréjus par le
Trièves et celle de Rome par l’Oisans. Franchissait-elle le Drac à hauteur de
l’actuel pont de Claix ? Arrivait-elle de Saint-Jacques par la voie de Marcelline
avec franchissement du Drac au gué du Saut du Moine ?
Edifices
religieux :
Chapelle édifiée en 1856 à hauteur du Clos
Rochas mais, trop petite, elle fut supprimée dès la construction de
l’église.
Eglise Saint Etienne : elle a été
édifiée en 1863-1864, le clocher étant financé par des dons de la famille
Breton. Elle possède une petite cloche de 1886 et une grosse cloche de 1892. La
dernière messe a été célébrée le 25 juin 2011.
Eglise de la Résurrection de 1960.
Salle de culte musulman des Olympiades.
Mosquée Attawhid.
Châteaux :
Maison forte de Marcelline : elle est
mentionnée dans plusieurs textes : costa
Marcelina au XIe siècle, fortalicium Marsellin au XIVe siècle, Marcelleine au XVe siècle.
La charte XLIX du cartulaire B de Saint Hugues
(1080-1132) d’un domaine bien identifié plaide pour une origine plus lointaine,
au moins mérovingienne et peut être même gallo-romaine (supra). Marcelline
appartient à cette époque aux enfants de Burnonis de Saumers, Hector et Didier
qui ont fait hommage à l’évêque Saint Hugues.
En 1339 elle est qualifiée de fortalicium relevant encore du chapitre
de la cathédrale de Grenoble. Marcelline figure ensuite dans divers actes du XVe
siècle, notamment en 1405 et en 1472. Vers le milieu du XVe siècle, le domaine
était possédé par noble François de Beaulieu. Ses enfants le recueillirent dans
sa succession et l’on sait par deux actes liés des 21 octobre 1497 et 3 mars
1498 que ceux-ci le vendirent à Jean Perroud, notaire à Grenoble.
Marcelline comprenait alors une maison forte,
qualifiée de tour, une cour, un jardin, des granges, des terres arables, des
prairies, des vignes, des bois, des fermes et l’Isla de la Dona.
Le domaine s’étendait alors « des moulins
de Gringallet jusqu’au sommet des arches du Drac ». Les moulins de Gringallet
étaient situés au nord, sur l’actuel territoire d’Echirolles et les
« arches » au sud qui étaient les digues établies par les consuls de
Grenoble pour mettre la ville à l’abri des inondations.
A la mort de Jean Perroud, Marcelline passe à
son neveu, Jacques Perroud. Celui-ci lègue le domaine à Jean Baronnat le 15
avril 1549. Celui-ci l’albergea le 7 août 1569 à Melchior Doriac, avocat au
Parlement de Dauphiné. Il devait rester plus de deux siècles dans cette famille
jusqu’à la Révolution. Vint alors Etienne Bon, procureur au bailliage de
Grésivaudan. A sa mort, en 1804, le domaine fut partagé entre ses trois enfants
et scindé en Marcelline d’en Haut, Marcelline d’en Bas et Marcelline du
Drac.
L’édifice conservait, jusqu’à sa malencontreuse
destruction récente, la forme de l’ancienne maison forte. C’était une grosse
bâtisse carrée de deux étages, couverte d’une toiture dauphinoise à quatre pans
et cantonnée sur sa façade sud-ouest d’une tour carrée de même hauteur que la
maison mais qui fut probablement rabaissée à la Révolution. La dépendance
rectangulaire d’un étage qui prolongeait la demeure historique à l’est était pour
sa part postérieure à la maison forte primitive.
Château de Grand Gallet.
Le
pont de Claix :
Un premier pont est cité au début du XIIIe siècle.
Comme tous les ponts an amont il fut renversé dans la nuit du 14 au 15
septembre 1219 à l’occasion de la débâcle du lac d’Oisans.
Un nouveau pont dut être réédifié peu après car
un acte du 7 mai 1270 en fait mention. Une transaction du 7 avril 1277 en
apporte confirmation mais son existence dut être assez brève car un autre acte
du 14 juin 1307 fait allusion au pont détruit naguère. Un port suppléa alors le
pont. Le bac de Claix appartenant depuis 1593 à François de Bonne étant d’un
fonctionnement précaire il fut alors question de le remplacer par un pont en
pierre « commode et solide ». Un arrêt du Conseil d’Etat en date du
10 novembre 1607 autorisa la levée des fonds nécessaires à la construction,
étant convenu qu’un péage serait établi sur le pont pour dédommager
Lesdiguières. Après diverses formalités, l’adjudication du pont fut passée au
profit de Louis Bruisset le 29 mai 1608 pour 18 000 livres. Bruisset se
mit à l’œuvre mais au commencement du mois d’août il se noya en dressant l’échafaudage
du pont. L’entreprise fut alors subrogée le 19 août pour le même prix à Jehan
Albert, maître maçon et Pierre Salomon, maître charpentier qui avaient déjà à
leur actif le pont de Cognet sur le Drac et la réfection du pont de Brion sur
l’Ebron. Ceux-ci reprirent les travaux au point où les avait laissés Bruisset
mais ils ne tardèrent pas à réclamer un dédommagement supplémentaire. Pour ne
pas surcharger les communes déjà contributives on étendit le périmètre allant
jusqu’au Diois et au Gapençais pour une somme complémentaire de 12 600
livres portant ainsi la dépense globale à 30 600 livres.
L’arche du pont fut terminée au mois d’octobre
1610 et il fut complètement terminé et livré à la circulation en 1611.
Un ingénieur des Ponts et Chaussées de Grenoble
a mesuré très exactement : l’ouverture : 45,65 m, la flèche :
15,70 m et des sondages faits en 1861 ont montré que la voûte a une épaisseur
maximum de 1,70 m. Le pont a 161 coussins de tête, tous inégaux dont
l’épaisseur moyenne est de 10 pouces (0,27 m). Le pont a coûté en définitive
40 312 livres, 9 sous, 6 deniers. Plusieurs calculs donneraient une valeur
de 727 650 euros actuels.
En 1624 on y éleva sur la culée de la rive
gauche une porte qu’on fermait en abattant une herse et, au-dessus de la porte
et de chaque côté il y avait une inscription, inspirée des inscriptions
dédicatoires latines accompagnée d’une inscription latine.
L’inscription tournée vers Grenoble était la
suivante :
« HENRY LE GRAND, TRES CHRETIEN,
ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE,
DAUPHIN DE VIENNOIS,
PERE DE LA PATRIE, TOUJOURS AUGUSTE,
VICTORIEUX, TRIOMPHANT,
APRES AVOIR VAINCU SES ENNEMIS
ET LA PAIX RETABLIE, TANT PAR MER
QUE PAR TERRE EN TOUTE L’EUROPE
PAR L’AVIS ET LA CONDUITE DE TRES ILLUSTRE
FRANÇOIS DE BONNE, DUC DE CHAMPSAUR
SEIGNEUR DES DISGUIERES, POUR LE BIEN
ET LA COMMODITE A JETE LES FONDEMENTS
DE CE MERVEILLEUX OUVRAGE ».
Et la devise latine :
ROMANAS MOLES PUDORE SUFFUNDO.
(Je fais honte aux constructions romaines).
L’inscription tournée vers le Trièves était la
suivante :
« LOUIS XIII AUSSI TRES CHRETIEN
ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE
DAUPHIN DE VIENNOIS
POUR LE MEME AVIS ET CONDUITE
CONTRE TOUTE ESPERANCE LUI A
DONNE SA PERFECTION ET ORDONNE
QU’IL S’APPELLERAIT PONT DE BONNE
L’AN DE GRACE MDCXXIII ».
Et la devise latine :
« UNUS DISTANCIA JUNGO »
(Unique par la longueur je réunis).
Une gravure à l’eau forte de J. A. Treillard
(vers 1770-1775) qui est la première vue connue du pont qui représente la porte
mais peu après le parcellaire de Claix de 1784, pourtant très précis, ne figure
déjà plus la porte. On ignore totalement ce que sont devenues les inscriptions.
P. SEJOURNE fait état, quant à lui, d’un
« très ancien dessin » donnant une représentation de la porte et de
ses inscriptions qui était conservé en 1913 dans les archives de l’ingénieur en
chef de l’Isère.
Le four à chaux qui a servi à la construction
du pont existe toujours en partie 7 Montée Georges Tord à Claix dans une
propriété particulière.
Le pont résista à tous les assauts du Drac mais
faillit disparaître en 1814, époque où l’on envisagea de l dynamitier face à
l’envahissement du Dauphiné par les armées coalisées.
Le pont a été classé monument historique le 27
mai 1898. Divers auteurs en ont fait la huitième « Merveille du
Dauphiné ».
Salle Mandrin : il s’agit de l’ancienne
salle des Gardes dans la culée sud du Pont. La légende y fait survenir un fait
d’armes du célèbre contrebandier en 1754.
Le nouveau pont surbaissé fut édifié en 1873.
Autres
indications :
Toponymie : ruisseau des Eaux Claires, Aqua Clareria au XVe siècle.
Ile de la Dona et île de Mars.
Gringalet : molendina de Guingalet au XVe siècle.
Ancien hameau du Pont : en 1693, le
conseiller de Baume y avait maison et bâtiments près du port et Lesdiguières y
possédait une maison et des bâtiments sur le coteau. Un plan de 1747 apporte
d’utiles précisions sur l’état du hameau à cette époque : il y a alors huit
maisons, notamment celles de Charles Aubert de la Bâtie et du sieur Amar.
Vers 1784 le marquis de Périer, seigneur de
Vizille, y possède une maison, aujourd’hui disparue, avec dépendances
attenantes au port de Claix
Ancien mas à la Belledonne : il est
mentionné sur les parcellaires de Claix de 1693 et de 1784. En 1693, l’hôpital
de la Providence de Grenoble y possède une importante propriété.
Ancien Mas des Graviers du Drac : en 1693 les
propriétés de ce mas appartiennent à Lesdiguières avec maisons, granges,
bâtiments, jardin, terre, vignes, îles du Drac, digues et près et au seigneur
de Servien.
A l’est du Drac et sur ses bords sont mentionnées
les « vingt toises laissées à Sa Majesté » (aujourd’hui avenue des
Cent Vingt Toises).
Ancien Mas des Rames : il s’agissait
en 1784 de grandes terres appelées en Bayardin appartenant au
seigneur de Montchenu et à la demoiselle Dussert.
Ancien Mas de Gringalet : le plus ancien
texte qui mentionne ce mas remonte à 1407 ; il s’agit d’un procès-verbal
de visite des consuls de Grenoble et des conseillers delphinaux demandant que
l’on y plante des pieux destinés à contenir le Drac qui, dans son ancien cours,
passait à proximité. En 1497 sont évoqués les moulins de Gringalet.
En 1693, les dames de Sainte Ursule de Grenoble y ont des près ; elles en
garderont la jouissance jusqu’à la Révolution, époque où leurs possessions
seront vendues au titre des Biens Nationaux.
Ancien Mas des Iles du Drac, dit aussi Mas des
Isles en-dessous du pont de Claix ou Isles de Mars (probablement en
raison des marécages qui les composaient). La plus ancienne mention de ce mas
remonte à 1416, date d’un albergement du chapitre de Grenoble à plusieurs
habitants. Sur le parcellaire de 1784, c’est un immense territoire, limité à
l’ouest par les « Vingt Toises » et à l’est par le grand chemin royal
du Pont de Claix à Grenoble. Le seigneur de Montchenu y a alors quasiment
toutes les terres non royales.
Ancien mas du Fort Colombier : ce mas, situé
vers Champagnier est cité pour la première fois dans un texte de 1405 : il
s’agit d’une requête présentée par les officiers de la communauté de Claix
devant le conseil delphinal contre ceux du mandement de Vizille au sujet de leur
juridiction qu’ils soutiennent s’étendre jusqu’à la montagne de la Marcelline
et jusque Saint Jacques d’Echirolles tendant vers la rivière du Drac et la Loge
du Colombier. Le parcellaire de 1784 figure un Fort Colombier dont
l’histoire est muette.
Ancien mas de Marcelline : outre la maison
forte (supra), le parcellaire de 1693 montre que la partie inférieure du mas
appartenait à M. d’Expilly.
Ancien mas dessous Marcelline : en 1784 ce
mas ne comprend que des près, terres et hères appartenant à M. de Miribel et à
divers autres propriétaires.
Le Cours Saint André est nommé en 1689
« l’un des plus beaux cours du Royaume ».
Le recensement général de la population de
Claix de 1798 mentionne pour les hameaux du Pont 16 familles représentant une
population de 97 personnes.
Papeteries créées en 1821.
Moulins de Villancourt de 1868. Il a fonctionné
jusqu’en 1977.
Selon A. FAVOT, une maison des Isles de Mars
possédait, sur sa façade, une méridienne.
Ancienne maison de Paul Breton dite Villa
des Tilleuls
Villa Sombardier.
Auguste FAVOT a recensé une méridienne aux Iles
de Mars à la maison Palluel.
Parc Auguste Borel : parc remontant à
1892. Il possède une pièce d’eau, un jardin d’agrément, une allée, un mur de
clôture, un pont de jardin, un canal de jardin et une serre (pré inventaire des
jardins remarquables, 1989).
Parc Jean de la Fontaine, jardin remarquable.
Musée Histobus Dauphinois.
Réserve naturelle régionale des Iles du Drac
(arrêté du 8 juillet 2009).
ZNIEFF de la basse vallée du Drac.
ZNIEFF de la zone fonctionnelle du Drac à
l’aval de Notre-Dame-de-Commiers.
Le parc Jean de la Fontaine et le parc Auguste
Borel sont classés au titre des jardins remarquables.
Bibliographie :
Archives départementales de l’Isère : B
3120 f° 26, B 3372, B 3397 chier in folio de 48 feuilles), B 4408, B 4215, B
4281
Archives communales de Grenoble : CC 574,
CC 577
Regeste dauphinois : n° 2294, n° 31080
G. ALLARD : Dictionnaire du Dauphiné, II,
1664, publié par GARRIEL en 1864, page 384
Album du Dauphiné, 1836
V. BALLY : eaux thermales de la
Motte-les-Bains, 1844, pages 15 et 16
A. BOURNE : Vizille et ses environs, 1860
J. J. A. PILOT : le Pont de Claix, le
Dauphiné du 28 août 1864
C. LORY : description géologique du
Dauphiné, BSSI 1864, pages 143 et 333
J. MARION : cartulaires de l’église
cathédrale de Grenoble dits cartulaires de Saint Hugues, 1869, charte XLIX
pages 123 et 124
M. CENDRE : notice sur la construction du
pont (nouveau) de Claix, Annales des Ponts et Chaussées, 1879, pages 5 et 6
A. PRUDHOMME : Histoire de Grenoble, 1888,
pages 435, 439, 440 et 479
Guide pratique illustré du touriste dans les
Alpes, 1908, pages 107 et 174
P. SEJOURNE : grandes voûtes, 1913, pages
42 à 45
E. PILOT de THOREY : dictionnaire
topographique du Dauphiné publié par U. CHEVALIER en 1920, pages 9, 28, 132,
183 et 213
A. FAVOT : les cadrans solaires à Grenoble
et dans le Bas Grésivaudan, BSSI, 1920, page 425
C. JULLIAN : histoire de la Gaule,
1920-1926, réédition 1993, T 1, pages 664 et 1149
H. MULLER et A. BOUCHAYER : une épée de
bronze trouvée dans les dragages du Saut du Moine près de Pont de Claix, BSDEA
T XXI, 1921, pages 21 à 25
A. BOUCHAYER : le Drac, histoire d’un
torrent, Revue de Géographie alpine T XIII, 1925
J. B. LANFREY : chez nous, 1930, pages 93
et 94
M. BRUN : Pont-de-Claix, étude d’une
bourgade industrielle récente, Revue de Géographie Alpine T XXVIII, 1940, pages
199 à 211
E. MICANEL : essai sur la châtellenie
delphinale de Vizille, 1947 (réédité en 1999), page 96
L. D. BEZEGHER : Claix et Pont de Claix à
travers les siècles, suite chronologique, 1968
A. BOCQUET : l’Isère préhistorique et
protohistorique, 1969, pages 301 et 370
J. C. MICHEL : la préhistoire dans le
canton de Vif, bulletin des AVG n° 8, 1981, page 17
J. C. MICHEL : le pont de Claix, merveille
du Dauphiné, bulletin des AVG n° 11, 1983, pages 5 à 21
L. EYMIN : histoire de Pont de Claix,
bulletins des AVG n° 12, 1983 pages 45 à 54, n° 14, 1984, pages 41 à 44, n° 21,
1988 pages 20 à 24, n° 22, 1988, pages 34 à 36, n° 23 1989, pages 14 à 17
A. FRANCES : histoire de Pont de Claix et
noms de terroirs, bulletin des AVG n° 13, 1987, pages 37 à 42
J. C. MICHEL : vieux chemins, vieilles
pierres, bulletin des AVG n° 13, 1984, pages 45 et 46
J. C. MICHEL : l’ancien pont de Claix,
merveille du Dauphiné, Claix mon village n° 8, septembre 1984
E. COFFIN : était-ce un crime ? Pont
de Claix 13-14 frimaire An XIII, bulletin des AVG n° 14, 1984, pages 20 à 24
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A. CAYOL GERIN : les moulins de
Villancourt, bulletin des AVG n° 18, 1986, pages 51 et 52
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R. REYMOND : énigmes, curiosités,
singularités, 1987, pages 376 à 380
J. C. MICHEL : histoire des communes de
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R. REYMOND : l’insolite et images fortes
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J. C. MICHEL : un très ancien domaine,
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Patrimoine en Isère : pays de Vizille,
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R. FAVIER et alii : vues du Pont, 2001
J. C. MICHEL : histoire de Claix, 2002
J. C. MICHEL : la voie principale du
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B. TIXIER : Pont de Claix vu de
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E. TASSET : châteaux forts de l’Isère,
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J. C. MICHEL : du nouveau sur le port de
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Y. ARMAND : encore un bureau de tabac
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J. BLANCHARD : la papeterie à Pont de
Claix, revue des AVG n° 65, 2010, pages 14 à 25, n° 66, pages 21 à 28 et n° 67,
2011, pages 11 à 22
J. BLANCHARD : la famille Breton et
l’église Saint Etienne, revue des AVG n° 69, 2012, pages 45 à 53
P. ALLEGRE : carnaval de Pont de Claix,
revue des AVG n° 70, 2012, pages 57 et 58
J. C. MICHEL : deux objets
protohistoriques : l’épée de Pont de Claix et la hache de Cossey, revue
des AVG n° 71, 2013, pages 48 à 50
J. C. MICHEL : Mgr au Pont de Claix, revue
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J. REVOL : à Pont de Claix, décès
d’illustres soldats de la grande guerre et d’employés des papeterie, revue des
AVG n° 81, 2018, pages 34 et 35
J. C. MICHEL : l’atelier de chargement,
revue des AVG n° 83, juin 2019, pages 25 à 27
J. C. MICHEL : les ZNIEFF de la vallée de
la Gresse, revue des AVG n° 83, juin 2019, pages 58 à 62
J. C. MICHEL : Marcelline à Pont-de-Claix,
revue des AVG n° 87, juin 2021, pages 48 à 53
M. A. MICHEL : le parc Borel à
Pont-de-Claix du passé à l’avenir, revue des AVG n° 91, pages 40 à 49