MONT-DE-LANS
(Canton
Oisans-Romanche, ex canton de Bourg-d’Oisans et depuis le 1er
janvier 2017 commune des Deux Alpes par suite de la fusion avec Venosc).
Forme
ancienne : Liens au XIe siècle.
Gentillé :
Lantillons.
Cartes
IGN au 1/25000ème : 3335 Vizille est,3435 la Grave ouest et
3336 ETR
Superficie
de l’ex commune du Mont de Lans : 31 600 hectares.
Population
(2015) : 1169 habitants.
Hagiographie : Claude, évêque de Besançon au VIIe
siècle, fondateur de l’abbaye de Condat devenue Saint Claude.
Roch,
pèlerin et mendiant au début du XIVe siècle à Rome qui se vouait à soigner les
malades de la peste. Très populaire au Moyen Âge, il était invoqué contre les
épidémies et les maladies contagieuses.
Antoine,
anachorète de Thébaïde, mort en 356, dont les reliques furent ramenées à la
Motte-Saint-Didier devenue Saint-Antoine.
Abdon
et Sennen, Perses martyrs sous Dèce en 250, ensevelis ensemble au cimetière de
Pontien près des Portes de Rome. La Sainte Tombe d’Arles sur Tech aurait reçu
les reliques des deux saints ramenées de Rome.
Jacques,
apôtre, évangélisateur de l’Espagne, dont les reliques sont vénérées à
Compostelle.
Louis,
Louis IX, roi de France de 1226 à 1270, mort de la peste devant Tunis.
Etienne,
premier martyr chrétien, lapidé en 35 sous les murs de Jérusalem. Il est
représenté avec une pierre.
Salvador,
franciscain de Barcelone au milieu du XVIe siècle, auteur de miracles.
Préhistoire : la découverte de haches de
pierre polie est signalée par F. VALLENTIN
Protohistoire : divers vestiges sont
connus :
Ø
en
1860, à
Ø
une
station de l’âge du Bronze final ou de l’époque de Hallstatt a été découverte
en juillet 1927 au dessus de la Porte de Bons, près du chemin taillé
dans le roc. Elle a livré des tessons de céramique, des culots de fonderie et
du charbon de bois datant d’environ 880 ans avant notre ère,
Ø
Des
« tombes gauloises » sont mentionnées par H. MULLER dans la région de
Bons, sans autres précisions.
P.
L. ROUSSET pense que la première voie de l’Oisans, à l’époque celto ligure,
passait à Mont de Lans, venant d’Ornon et se dirigeant sur le Freney.
Epoque
gallo-romaine :
Mont-de-Lans pourrait être, selon ALLIX et d’autres la station MELLOSEDO
de la Table de Peutinger et METROSELON
de l’Anonyme de Ravenne sur la
voie romaine de Grenoble à Briançon (voir aussi MIZOEN).
Que
l’on envisage CATORISSIVM à Bourg d’Oisans ou à la Garde, on notera que
les deux itinéraires se rejoignent au pont d’Auris, au bas de la Rampe des
Commères. A la base de cette rampe, des restes de chaussée, qualifiée de
romaine, auraient été localisés au XIXe siècle. Ce chemin était encore appelé
« chemin ancien dit des Portes ». En dernier lieu, B. FRANCOIS estime
que ce tracé direct est le plus vraisemblable jusqu’à la Rivoire. Il porte
encore cette appellation entre la Rivoire et le Châtelard. Sur ce site, la voie
passe dans une sorte de dépression séparée des abîmes de la Romanche. Au point
dominant du Châtelard, VALLENTIN plaçait une mansio et FERRAND y voyait un fortin. Le nom et les quelques traces
que j’ai pu observer font plutôt penser à un ouvrage défensif médiéval. E.
THEVENOT est persuadé qu’entre Bourg d’Oisans et le Châtelard la voie se
frayait un passage dans les gorges de l’Infernet. Du reste, on a signalé
depuis FERRAND un lambeau estimé romain au bas de la gorge. Ce chemin,
abandonné sous le Ier Empire, était appelé Chemin ancien des
romains.
La Porte de Bons : la quasi-totalité des auteurs
ont considéré ce monument comme une construction romaine, voire
« éminemment romaine » (GRENIER, THEVENOT). F. VALLENTIN rapporte
même une tradition qui l’attribue à Hannibal (!) mais c’était alors de mode et,
à tout le moins, prouve que l’on attribuait la Porte à l’antiquité. Seul P. L.
ROUSSET lui attribue une origine récente (les guerres d’Italie du XVIe siècle)
mais ceci ne tient plus grâce aux recherches de B. FRANCOIS qui a relevé un
acte de 1319 qui parle du « chemin de pierre sis à la Roche Sise ». Cette
formulation est identique à celle de Rochetaillée « a rupo inciso » en 1313. Au
surplus, nombre d’auteurs modernes ont été frappés par ses similitudes avec les
saignées taillées de la Porte de Donnas dans le Val d’Aoste.
La
première mention de cette porte semble être faite dans le compte rendu d’une
visite pastorale de Mgr Le Camus le 25 juillet 1678 où, sans la citer, il
mentionne les ornières de la Porte de Bons. Puis, dans les « mémoires
historiques sur le Briançonnais » de BRUNET de L’ARGENTIERE édités en
1754 : « … on découvrit des vestiges en 1722 entre le village du Mont
de Lans et la rivière de la Romanche au dessus dudit village, à mi cote il y a
un reste de chemin et un arc fait dans le roc avec des degrés pour monter
dessus que les gens du pays appellent Porte Sarrasine. Telle
n’aurait sans doute pas été la dénomination si, comme le pense P. L. ROUSSET
l’ouvrage avait été édifié au cours du siècle précédent ce témoignage.
La
Porte de Bons est un portail rocheux ouvert dans les schistes chloriteux sur la
paroi qui domine le cours de la Romanche, à
Les
quelques quarante auteurs qui ont étudié la Porte de Bons y voient ou un
tunnel routier, ou une porte, ou encore un monument commémoratif à mi distance
entre Culabone et Briagantione (ALLIX). G. BARRUOL pense
également à un point de perception d’un droit de péage dans un passage obligé.
ROUSSILLON y voyait « un monument commémoratif d’une victoire remportée
sur les Allobroges ». H. BLET a imaginé, pour sa part, que le tronçon de
Bons, peut être inachevé, avait pu être interrompu par suite de difficultés
insurmontables. G. SENTIS sans aller aussi loin y voit un passage exclusivement
saisonnier. En dernière analyse, J. P. JOSPIN y voit un ouvrage d’époque
Augustéenne. B. FRANCOIS pense à la frontière primitive du royaume de Cottius qui
symbolisait son extension sur le territoire des Ucennii. Mais il évoque aussi un hommage rendu à Auguste pour la
victoire de Drusus sur cette farouche peuplade « presque inaccessible de
la région des roches et des neiges », permettant ainsi avec cette
ouverture de frontière la construction de la voie de l’Oisans. La moitié de
l’arcade absente aujourd’hui serait tombée en 1770 selon VALLENTIN.
Au-delà
de ces diverses opinions, on notera le souci ornemental qui a conduit les
constructeurs à ravaler à une épaisseur sensiblement égale tout le pourtour de
la porte ; les coups de ciseaux qui ont opéré ce déblaiement se marquent
encore à une hauteur de plus de
La
voie, bien tracée dans la roche en place, s’étend assez longuement au dessus et
au dessous de la porte avec des traces d’ornières assez nettes.
En
1993 et en 1993 ont eu lieu des sondages (négatifs) à l’emplacement de la Porte
et un relevé topographique du tracé de la voie.
La
Porte romaine en totalité y compris la portion de rocher dans laquelle elle est
taillée sur une hauteur totale de
La
porte comportait-elle une inscription dédicatoire ? : en 1553, Charles ESTIENNE
indiquait qu’elle portait l’inscription : « D CAESARI AVGVSTO
DEDICATA SALVATE EAM », indiquant : « les montagnes de Dauphiné en
commençant depuis Grenoble et prenant le chemin du Bourg d’Oisans font la
montagne de Lans retenant le nom du petit village dit Lans, le col de Perfant qui dure jusques à Briançon et
le mont de Genefue qui conduit en
Italie. Encore auprès dudit Briançon, il y a une roche ou montaigne percée par le milieu par laquelle César entra dans les
Gaules après avoir passé le mont Godard. Et à l’entrée de ladite roche
entaillée il y a « insculpté » (gravé). La localisation auprès de
Briançon est manifestement erronée mais l’auteur devait travailler sur des
comptes rendus de voyages car il n’a pas vérifié les centaines d’itinéraires
qu’il décrit en France. A. BOCQUET note qu’il y a un Mont Perchon au dessus du
Freney et un Mont Godard à Montchaboud. Que faut-il en penser ?
On
rappellera également qu’à l’appui de sa thèse P. L. ROUSSET cite un compte
rendu de visite pastorale de Mgr Le Camus du 25 juillet 1678 dans lequel son
secrétaire écrit : … Monseigneur l’Evêque de Grenoble s’est transporté
vers les quatre heures du matin à la paroisse du Mont de Lans par le chemin que
fit faire autrefois François Ier pour y passer le canon qu’il fit
conduire en Italie. Les ornières des chariots paraissent encore sur
quelques-uns des rochers du chemin ». Mais cela ne prouve rien car on
voit mal des soldats ciseler le rocher ! En outre, G. SENTIS remarque
qu’au XVIe siècle il aurait été plus simple de faire sauter l’arête rocheuse
avec de la poudre alors couramment employée plutôt que de l’entailler à coups
de burin. B. FRANCOIS, quant à lui, précise que le chemin reliant le hameau de
la Rivoire à Mont de Lans portait le nom de petra
scisa (pierre cise) témoignant de la présence d’une pierre taillée et qu’à
la même époque, 1313, Rochetaillée s’appelait roche cise.
Y
avait-il une seconde porte ? :
HERRICART de THURY figure dans ses « monuments celtiques » une
seconde porte, à 50 mètres de la première, déjà en mauvais état selon lui en
1802, avec la légende « portes vieilles du Mont de Lans en Isère ». Mais
B. FRANCOIS a démontré que c’était sans fondement sérieux.
Des
vestiges de la voie auraient été visibles au XIXe siècle, au-delà de la Porte
sur
On
a trouvé, sur le site d’une maison du village, une monnaie sénatoriale
d’Auguste de 23 avant notre ère (conservée au musée Chazal Lento).
Edifices religieux :
Eglise
de l’Assomption-Sainte-Marie :
elle est citée dès 1073 : Santa
Maria di Liens. Le 12 août 1076 elle est donnée au prieuré Saint Laurent
d’Oulx. Elle est également citée dans la charte du XIVe siècle des cartulaires
de Saint Hugues : ecclesia de Lenco
et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia Beate Marie de Lento, toujours dépendante d’Oulx. Le
pouillé indique également qu’il y avait une capella
Beate Marie supra tribunam. Dans son état actuel elle conserve un clocher
de style roman de 1627 agrémenté d’une flèche octogonale avec clochetons. Le
reste de l’édifice a été repris au XVIIIe siècle. Elle conserve un bénitier
ancien en pierre brute, un autre bénitier de 1838, une cloche de 1766 et une
autre de 1810, des fonts baptismaux de 1880, un maître autel en trompe l’œil du
XVIIIe siècle (inscrit à l’inventaire supplémentaire des objets mobiliers en
2005), un autel à la Vierge, un autel à Joseph et Jésus, une statue de Saint
Antoine et 8 vitraux de 1887 et 1889.
Prieuré
Notre Dame : il
fut fondé au XIe siècle par les évêques de Grenoble. Il relevait de l’ordre des
Augustins. Il en subsiste l’église, devenue paroissiale et quelques vestiges de
bâtiments au coté nord de l’église.
Un
hôpital est mentionné en 1455 : hospitalia
de Lento et décrit en mauvais état. Le pouillé de 1497 le mentionne
également : hospitale Lento.
Chapelle
Saint Antoine, citée dans le pouillé de 1497 (capella Sancti Anthonii) reconstruite au XVIIe siècle, disparue.
Le
même pouillé fait également état d’une autre chapelle : la capella Sancti Salvadoris
Chapelle
Saint Claude aux Deux-Alpes :
rustique chapelle montagnarde peinte à fresques par un artiste italien au XVIe siècle.
Chapelle
Notre Dame du Rosaire de Cuculet qui remonte au XVIe siècle.
Chapelle
Notre-Dame-de-Toute-Grâce de Bon ou du Saint-Esprit du début du XVIIe siècle,
restaurée en 1851 et en 1930.
Chapelle
Saint-Sauveur de la Rivoire de 1637.
Chapelle
Saint Jacques du Penail de 1662.
Chapelle
Notre-Dame-de-la-Visitation ou du Rosaire du XVIIe siècle, reconstruite à la
fin du XVIIIe siècle.
Chapelle
de la Faurie du XVIIIe siècle, restaurée en 1990.
Chapelle
Notre Dame des Sept Douleurs du Ponteil de 1705.
Chapelle
Saint Abdon et Saint Sennen du XVIIIe siècle, noyée sous les eaux du Chambon.
Chapelle
Saint Louis et Saint Etienne de Lachenal du XVIIIe siècle.
Chapelle
du calvaire des Serres de 1776, détruite à la révolution.
Chapelle
Notre-Dame-des-Neiges du Sappey du XVIIIe siècle.
Oratoire
Saint Roch au Ponteil.
Oratoire
de la Rivoire avec date de « 1242 » (?).
Oratoire
Notre-Dame-de-la-Romanche de 1757.
Oratoire
des Portes au Ponteil du XVIIIe siècle.
Oratoire
de Cuculet.
Oratoire
de la Rolardière.
Oratoire
des Travers.
Châteaux :
Maison
forte de Bons : il
en subsiste de notables restes, modifiés à diverses reprises et notamment à la
Renaissance par l’adjonction d’une loggia.
L’enquête
papale de 1339 mentionne pour la paroisse de Lent, 240 feux.
L’ancienne
mairie école, pourrait être une maison forte car elle présente de fortes
analogies avec celle d’Huez mais R. REYMOND n’y voit qu’un four banal.
Hameau
du Châtelard :
situé au bord de la voie romaine sur un replat, la tradition collective évoque
une maison noble. Par ailleurs, au sommet du Châtelard, traces assez informes
d’un possible lieu fortifié. ALLIX indique que ce hameau était encore un
habitat permanent en 1806 mais en voie de disparition avec un seul ménage.
Hameaux, mas et
lieudits anciens :
Alpe de Lento, XIVe siècle.
La Battolleri, XIIIe siècle, la Baronnière.
Beczetis, in Beczie XIVe siècle, le Bessey.
La
Beronera, XVIIIe
siècle, la Beroudiere.
Mans Bonclo, Boncio, XIVe siècle, Bons.
Les Brues, XIIIe siècle, le Brue.
Calma, XIVe siècle, la Chalp.
Cella subterior, XIVe siècle, la Selle.
Chalmeta, XIIIe siècle, la Chalmette.
Chavan de Chanali, XIVe siècle, la Chanal.
Cavab del Chastellar, XIIIe siècle, le Châtelard (supra).
Comares, Comayres, XIIIe siècle, les Commères.
Comberas, XIVe siècle, les Combettes.
Corious in Alpe, XVe siècle, les Courlos.
Costa, XIVe siècle, la Côte.
Crossum de Allauda, XIVe siècle, le Cros.
Cavan de Cuculet,
Cuculatus villa, XIIIe siècle,
Cuculet.
In dreyriis, XIVe siècle, les Drières.
Echirola, XIVe siècle, Echirolles.
In Fauteria, XIVe siècle, la Faurie.
Fiendos, XIVe siècle, la Fioc.
Campus Fluritus, XIVe siècle, la Côte Fleurie.
Fornelli comba, XIVe siècle, le Fournel.
Garciniera, XIVe siècle, les Garcins.
In Gorgia, XIVe siècle, la Gorge.
In Grangiis, XIIIe siècle, les Granges.
Mass Hugoneriis, XVe siècle, les Hugues.
Marcoymeria, XIVe siècle, Malconier.
Molendinum de Lento, XIVe siècle, les Moulins.
La Molera, XIIIe siècle, Molière.
Molla Sola, XIVe siècle, Millorsot.
Odemarenc, XVe siècle, les Emards.
El Pennel, XIIIe siècle, Penail.
Chavan de Peycellis, XIVe siècle, Peysseau.
Plagen, XVe siècle, le Play.
Comba de Pontelico, XIVe siècle, le Ponteil.
Mass de Porta, XIIIe siècle, les Portes.
Pulcrum Serrum, XIIIe siècle, Beauser.
Revoyriarum, XVe siècle, la Rivoire.
Bordaria de Serro, XIVe siècle, Serre du Coin.
Rollanderia, XIIIe siècle, la Rollandière.
Rovoyris villa, XIVe siècle, in Rivoyriis, XVe siècle,
la Rivoire.
Sapey, XIIIe siècle, le Sappey.
Serretum de Cruce, XVe siècle, la Croix du Serre.
Serretum Juliani, XIVe siècle, Serre Julien.
In Serris, XIVe siècle, le Sert.
Talapel, XIIIe siècle,
l’Abel.
Les Thouis, XVIIIe siècle, le Thouit.
Tochie, XIVe siècle, les Touches.
Turellis, XIVe siècle, le Toura.
Ulmum, XVe siècle, l’Homme.
Autres indications :
Moulins
mentionnés dans un acte du 9 décembre 1302.
Commune
traversée par le 45ème parallèle Nord.
La
mine d’argent de Cuculet est citée dans l’inventaire delphinal de 1339.
Meulière
médiévale de la Molière.
Gisements
d’anthracite des Pléris de 16 hectares concédés en 1818, de la Mollière de 22
hectares concédés en 1840, du Parc de 14 hectare concédé en 1841, des Mays de
23 hectares également concédé en 1841, du Mas des Combes de 27 hectares concédé
en 1844 et de la Charmette de 32 hectares, concédé en 1860.
Cadran
solaire à l’église avec inscription tempus orandi et memorandi novissima
nostra (le moment de prier et de songer à nos derniers instants).
Musée
Chasal Lento.
Glacier
du Mont-de-Lans.
Lac
du Plan.
Parc
National des Ecrins.
Site
Natura 2000 du Bourg d’Oisans et ses versants (arrêté du 26 novembre 2005).
Site
Natura 2000 des Ecrins.
ZNIEFF
de l’adret de la Romanche.
ZNIEFF
du massif de l’Oisans.
ZNIEFF
du versant rocheux sous Bons.
ZNIEFF
des gorges de l’Infernet.
ZNIEFF
des versants nord et est de la Grande-Aiguille.
ZNIEFF
des pentes et falaises de la Belle-Etoile.
ZNIEFF
du plateau de Roche-Mantel et Roche-Pourrie.
ZNIEFF
des lacs et moraines de la tête de la Toura.
ZNIEFF
du versant ubac de la vallée de la Romanche.
ZNIEFF
de la pointe nord du Mont-de-Lans.
ZNIEFF
de la plaine du Bourg-d’Oisans, partie sud.
Bibliographie :
Archives
départementales de l’Isère : B 3020 f° 17 v°
Regeste
dauphinois n° 1890, 2087, 2143, 2148, 2272, 2307, 9739, 10328, 18028, 20063,
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214, 231, 232, 255, 263, 267, 271, 279, 280, 286, 294, 298, 299, 302, 305, 329,
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