MEYLAN

 

(Canton de Meylan)

Absorbe entre 1790 et 1794 la Bâtie-Meylan, Bouquéron et Saint-Mury.

Formes anciennes : Olona au VIIIe siècle, Mediolanum au XIe siècle.

Gentilé : Meylanais.

Héraldique : taillé au premier d’or au dauphin d’azur, au second d’azur à un atome d’argent, au chef de sinople accompagné de trois taus d’argent.

 

Carte IGN au 1/25000ème 3234 E

 

Superficie : 1232 hectares.

 

Population (2015) : 17289 habitants.

 

Hagiographie :

 

Victor, martyr en 308 à Marseille, à l’emplacement de la basilique qui porte son nom.

Catherine, d’Alexandrie, qui eut la vision de l’enfant Jésus la choisissant pour fiancée. Martyre en 305 sous Maximin Daïa. Patronne des filles à marier.

Ours, soldat de la légion thébaine, martyr à Soleure à la fin du IIIe siècle.  

Eynard, ami de Saint Bruno, fondateur de la Grande Chartreuse au XIe siècle. Il s’installa dans l’ermitage de Faissia sous le mont qui porte son nom.

Maurice, chef d’une unité de la légion Thébaine, massacré avec ses compagnons en 386 à Agaune, devenue Saint Maurice en Valais.

Nicolas, de Myre, martyr vers 350. Très populaire au Moyen Âge où, selon sa légende, il aurait ressuscité trois enfants qu’un boucher avait égorgés et placés dans un saloir. Patron des enfants sages.

Sébastien, martyr à Rome en 288. Patron des archers, il est représenté le corps criblé de flèches.

Julien Eymard, né et mort à la Mure en 1868, fondateur des prêtres du Saint Sacrement.

Jean Bosco, prêtre italien, mort en 1886 à Turin, déclaré saint en 1934. Patron des éditeurs.

 

Préhistoire : A. BOCQUET signale des éclats de silex trouvés sur le site des Béalières (infra).   

 

Protohistoire : sur un site non précisé, H. MULLER a découvert un bracelet à crotale (au Musée Dauphinois n° 67.12.25), un bracelet losangique, un bracelet avec une perle biconique, un boulon et une agrafe de la Tène.

Aux Béalières on a découvert deux oboles massaliotes et des monnaies gauloises en argent des Salasses.

Tradition d’oppidum (Olonna ?) à l’est du ruisseau de Jaillère.

 

Epoque gallo-romaine : Meylan était situé sur le tracé de la voie des Alpes Graies de la rive droite de l’Isère. Elle traversait la commune en passant vraisemblablement à la Ville. Divers vestiges sont connus :

 

Ø  dans une propriété qui appartenait à Aimé Dubois, député de l’Isère, on a découvert au XIXe siècle un cippe avec inscription funéraire, qui provenait du couvent Sainte Cécile de Grenoble selon G. ALLARD : « D(is) M(anibus) / L(uci) PRIMI / VALERI / ET POTTIAE / CARILLAE / PRIMI / VASSILIVS / ET VALERIA / PARENTIB(us) » : « aux dieux manes de Lucius Primus Valerius et de Potia Carilla, Primus Vassilius et Prima Valeria à leurs parents » (au Musée Dauphinois n° 34.57.13).

Ø  Au même endroit on a trouvé une série de petits balsamaires lacrymatoires (M. D. 67.3.221 et 222), deux gobelets (M. D. 67.3.218 et 219) et un bol en verre soufflé des IIe et IIIe siècles (M. D. 67.3.220).

Ø  J. BRUNO situe à Meylan l’emplacement d’une grande ferme gallo-romaine avec un domaine d’environ 350 hectares soit le territoire des cinq communes de Meylan, Corenc, la Tronche, Montbonnot Saint Martin et Saint Ismier. Il est possible qu’elle n’ait pas été d’un seul tenant et qu’il y eut au moins deux aberrances, celle d’Arvilliers sur Corenc et celle des Lombards à l’entrée de la gorge du Manival sur Saint Ismier. La villa centrale se serait située au lieudit la Ville. On notera également les toponymes : les Villards, le Grand Champ et Grands Prés.

Ø  A peu de distance de la Ville on aurait, de fait, découvert des restes d’habitat gallo-romain.

Ø  En un lieu non précisé, on aurait découvert des sépultures à incinération des Ier et IIe siècles.

Ø  A l’ouest du village, au lieudit Côte Malacare on a repéré des fours gallo- romains.

Ø  En 1980, dans la ZIRST de Meylan, on a repéré des traces de constructions qui ont livré des monnaies et des céramiques du Ier au Ve siècles.

Ø  En 1988, au lieudit les Béalières (aujourd’hui rue des amphores), on a dégagé deux bâtiments du Bas-Empire, le premier avec des monnaies des IIe et IVe siècles, trois sonnailles, une clé laconienne, une grosse chaîne, un anneau et une statuette de panthère en bronze, le second avec des pesons de tisserand et des monnaies du IIe au très Bas-Empire (tout ce matériel est conservé au Musée Dauphinois, sans numéro d’inventaire indiqué). Il s’agit d’une grange étable et d’un bâtiment artisanal qui pourraient dépendre de la pars rustica d’une importante villa ou d’une agglomération (Olonna ?). La grande abondance de pesons et de tuiles incite à conclure à la présence d’un artisanat textile et céramique du Ier siècle avant notre ère au Ve siècle, si ce n’est pas sur le lieu même, du moins à proximité immédiate. On ne sait si l’ensemble exhumé appartenait à la pars urbana d’un domaine ou à une petite agglomération.

Ø  Sur ce site, 55 monnaies ont été exhumées surtout du IIIe siècle.

Ø  La BMG de Grenoble conserve un masque en terre cuite avec inscription APRIO.

Ø  Chemin de l’église, socle de borne pouvant être antique (milliaire ?).

 

Haut Moyen Âge : Meylan (Olonna) est cité dans le testament d’Abbon de 739.

Site funéraire post mérovingien dit de la Favette.

 

En 1973, lors de la construction d’une villa, on a exhumé cinq sépultures d’époque carolingienne.

A l’emplacement du château du Corbeau, motte castrale possible.

 

Edifices religieux :

 

Eglise Saint Victor : elle est mentionnée dans le cartulaire C de Saint Hugues : ecclesia Sancti Victoris, dans la charte du XIVe siècle : ecclesia de Meolano et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia Sanctorum Victoris et Ursis Meolina. L’édifice actuel date de 1803 mais le chœur est encore en partie celui de l’église primitive. C’est le type même de chœur en fer à cheval avec une voûte d’arête modifiée au XVe siècle. Les colonnes, à base attique, portent aux angles du socle différentes sculptures assez curieuses et les chapiteaux sont décorés de feuilles d’acanthe. Les contreforts datent vraisemblablement du XIIe siècle. Un chapiteau roman, qui servait de bénitier dans le mur sud de la nef pourrait provenir du prieuré Saint Martin de Miséré. Il a été enlevé en 1974 et est conservé au Musée Dauphinois (n° 74.1.1).

L’église conserve diverses œuvres d’art :

 

Ø  un tableau de la crucifixion du XVIIe siècle,

Ø  un tableau de l’Adoration des bergers du XVIIe siècle,

Ø  un tableau de la Déposition du XVIIe siècle,

Ø  une statue de Vierge à l’Enfant du XVIIIe siècle,

Ø  un chasublier du XVIIIe siècle,

Ø  un tableau de la Nativité du XVIIIe siècle.

Tous inscrits à l’inventaire supplémentaire des objets mobiliers des monuments historiques en 1987.

Ø  un tableau de Saint Augustin du XVIIIe siècle, classé monument historique au titre des objets mobiliers en 1988.

 

Eglise Saint Maurice : elle est également signalée dans le cartulaire de Saint Hugues : ecclesia Sancti Mauritii. En 1497 elle apparait unie à la cure de l’église de Meylan. Au XVIIe siècle elle avait déjà totalement disparu. Elle semble avoir donné son nom au lieudit Saint Mury.

 

Ermitage ou prieuré de Fayssia : situé à 1100 mètres d’altitude vers le Sappey ce prieuré est connu dès 1244 : prioratus Sancti Eynardi de Faysia où un acte règlemente les relations et redevances entre le prieuré et l’évêché de Grenoble. Le pouillé de 1497 le mentionne : prioratus Sancti Aynardi.  Très pauvre, Il fut ensuite rattaché au prieuré de Saint Michel du Connexe. En 1548, il est déclaré abandonné et ruiné. En 1615, les Récollets de Grenoble reprennent le site. La dernière mention date de 1670. Il Possédait une chapelle dont la cloche de 1670 a été replacée dans le clocher de l’église de Biviers.

 

Chapelle Sancte Catherine, citée dans le pouillé de 1497.

 

Aumônerie de Rochasson : c’est un bel édifice renaissance avec de nombreuses fenêtres à meneaux.

 

Couvent des Capucins : ancienne demeure du comte de Meffrey, connue sous le nom de « château ». Dans la grande salle qui fut au XVIe siècle le salon, on dit que Catherine de Médicis dansa. La cour d’honneur était à cette époque à l’emplacement actuel de la chapelle. Le château fut acquis en 1855 par les Capucins de Savoie.

 

Ancien grand séminaire de 1925, aujourd’hui centre théologique de Meylan.

 

Eglise Notre Dame de la Plaine Fleurie.

 

Chapelle Saint Jean de Bosco de 1932.

 

Prieuré Saint Pierre-Julien-Eymard actuel.

Vierge du Clos des Capucins.

Croix des Rameaux.  

 

Châteaux :

 

Maison forte de la Bâtie d’en Haut dite Château Corbeau : le château, sans doute construit sur une motte (supra), est connu dès le XIIe siècle, époque il appartenait aux Châteauneuf. Il est mentionné au XIIIe siècle comme suit : Bastida sita supra Montem Bonoudi in parrochia de Meolano. Il est resté connu sous le nom de la dernière famille qui le possédait, les de Corbeau juste avant la révolution. Il en subsiste quelques vestiges.

 

Château de Mefrey : cité en 1301, il n’en subsiste que le lieudit Mollard Meffrey.

 

Maison forte de Saint Mury : elle est citée dès 1344. C’est aujourd’hui un château du XIXe siècle avec parc à l’anglaise.

 

Château du Bourcet : son origine semble remonter au XVe siècle. Au XIXe siècle il appartenait au général du Bourcet.

 

Château du Bachais : construit sous le règne de Henri IV par Lesdiguières pour servir de rendez vous de chasse. Il devint plus tard la résidence de Marie Vignon. Il a été entièrement restauré au XIXe siècle. Le parc a été inscrit à l’inventaire général en 2003.

 

Château de Maupertuis : il en subsiste les tours dites de Saint Mury qui marquaient l’entrée domaine de M. d’Amblérieu, trésorier de France et receveur général des deniers du roi en Dauphiné. Le parc a été inscrit à l’inventaire général en 2003.

 

Manoir de la Bâtie des XVIIIe et XIXe siècles.

 

Château de Rochasson : édifice moderne, sans grande unité de style. A proximité bâtiment de l’ancienne aumônerie (supra).

 

Château de Rochebelle : demeure du XIXe siècle avec deux tourelles aux extrémités du corps principal de logis, située dans un beau parc.

 

Ancien château de la Roseraie détruit en 1970.

 

Fort du Bourcet : il doit son nom au général de Bourcet, auteur de la carte géographique du haut Dauphiné. Il fut édifié après 1874 pour concourir à la défense de Grenoble.

 

Hameaux et lieux anciens :

 

De Bachesio, XIVe siècle, le Bachais.

Apud Beysseres, XIVe siècle, chemin des Buisses.

In Brucheto, XIVe siècle, Bruchet.

Ap Campum Lassum, XIVe siècle, Champlas.

Carletum, XIIIe siècle, Charlet.

Carreria de Bachessio voc de Puttengroyng, XIVe siècle, chemin de Petengroin.

Closum Boysonis, XIVe siècle, le Clos Buisson.

Condaminas, XIIe siècle, les Contamines.

Emanfredorum (molar), XIVe siècle, les Capucins.  

Gerentorum, XIVe siècle, Gérantières ?

In Geyriis de Prayllino, XIVe siècle, les Glaires.

Mans Girardi, XIIe siècle, Girard ?

Granjagium, XVe siècle, le Grangeage.

Molendina, XVe siècle, la Béalière.

Molendina ap Charletum, XIIIe siècle, le moulin de Charlet.

Molaretum, XIVe siècle, les Monaries.

Nemus Chopolion, XIVe siècle, Chapoley.

Podium Maurini, XIVe siècle, les Morroux.

El Noyarey, XIVe siècle, Champ Noyaret.

In loc qui vocat Portils, XIIe siècle, l’Ile de Porte au XIXe siècle, l’Ile d’Amour aujourd’hui.

Rachesciorum, XIVe siècle, Rochassière.

Ruca villa, XIVe siècle, lieu disparu.

Sayetis, XIVe siècle, les Sayettes.

Velleteres, XIVe siècle, les Villauds.

Villa, XIIIe siècle, la Ville.

 

Autres indications :

 

Mistralie mentionnée dans un acte du 10 août 1315.

Dans le vieux Meylan, nombreuses demeures du XVe au XVIIIe siècles.

Borne de corvée du XVIIIe siècle route du Haut Meylan.

Fontaine chemin de l’Eglise de 1827.

10 autres fontaines créées vers 1873.

Four banal de Charlaix.

G. VALLIER mentionné un cadran solaire avec inscription cunctis dubia.

L’Atelier Tournesol en a recensé un autre.   

La ZAC des Buclos a été classée « Patrimoine du XXe siècle » en 2003.

Fontaine Ardente de Rochasson

Commune du Parc Naturel Régional de Chartreuse.

Espace Naturel Sensible de la boucle de la Taillat.

Partie du site classé en 2005 du massif du Saint Eynard.

Parcs du château du Bachais et de Maupertuis inscrits au pré inventaire des jardins remarquables.

Au parc des étangs, tulipier de 35 mètres de hauteur, vieux de plus d’un siècle, classé arbre remarquable.

ZNIEFF de la zone fonctionnelle de l’Isère à l’aval de Meylan.

ZNIEFF des versants méridionaux de la Chartreuse.

ZNIEFF du versant méridional du Saint-Eynard.

ZNIEFF de la pelouse sèche du fort du Bourcet.

ZNIEFF des boisements du mas de l’Ile et boucle de la Taillat.

ZNIEFF de la zone fonctionnelle de l’Isère entre Cervins et Grenoble.

 

Bibliographie :

 

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