DOMENE
(Canton
de Meylan, ex canton de Domène).
Forme
ancienne : Domena, Domina au XIe
siècle.
Gentilé :
Domenois.
Héraldique :
de vair au chef de gueules chargé d’un lion issant d’or.
Carte
IGN au 1/25000ème : 3234 E
Superficie :
529 hectares.
Population
(2015) : 3234 E
Hagiographie :
Georges,
prince de Cappadoce, martyr à Lydda en 303. Son culte remonte à 368. Patron de
l’Angleterre dès 800 et patron des cavaliers.
Paul,
qui eut la vision du Christ sur le chemin de Damas. Il est considéré comme le
treizième apôtre.
Pierre,
premier des apôtres et premier pape. Crucifié en 67 à Rome à l’emplacement de
la basilique qui porte son nom.
Nicolas,
de Myre, martyr vers 350. Très populaire au moyen âge pour avoir, selon sa
légende, resuscité trois enfants qu’un boucher avait égorgés et placés dans un saloir.
Patron des enfants sages.
Fidès,
Fidis, foi, fidélité. C’est la seule invocation de ce type connue en Isère.
Epoque
gallo-romaine :
passage de la voie romaine de la rive gauche du Grésivaudan. Le vieux chemin
passant par les Arnauds, les Condamines et la Masse
pourrait être un tronçon de cette voie.
Quelques
tegulae ont été découvertes en 1993
au lieudit Martinet.
Haut
Moyen Âge : à Châteauvieux
(ou Château Vert), traces de motte castrale (Castrum Vetus), berceau des Aynard au Xe siècle. La motte est
conservée en très bon état : fossé, tertres, emplacement de tour et
d’autres bâtiments.
Edifices religieux :
Eglise
Saint Georges : elle
est attestée en 1027 dans un acte de donation d’Ainard Ier et de son
épouse Fecerna à Cluny : ecclesia in
honore Sancti Georgii. Elle était située près du castrum. Le pouillé du
diocèse de Grenoble de 1497 la cite encore : ecclesia Sancti Georgii comme dépendance du prieuré.
Prieuré
Saint Paul et Saint Pierre :
au début du XIe siècle (en 1027), Rodolphe II, comte du Grésivaudan, donna à
son fils Aynard la résidence et seigneurie de Domène. Voulant arracher les
broussailles, assécher les marais et faire prospérer l’agriculture, celui
appela à lui des moines de l’ordre de Saint Benoît, célèbres comme défricheurs
et agriculteurs. Les bénédictins de Cluny reçurent alors en donation des biens
considérables, des terres, des redevances…
L’église
du prieuré de Domène, construite d’après les indications de Saint Odilon qui
gouvernait alors Cluny, fut achevée en 1058. Elle fut consacrée en présence de
quatre prélats : l’archevêque de Vienne, ceux de Tarentaise et d’Embrun et
l’évêque de Grenoble. Sa construction pourrait avoir été plus précoce : en
effet E. CHATEL a indiqué que dans l’angle sud de la façade romane, subsistait
un fragment sculpté d’une croix fleuronnée qu’elle date du second quart du XIe siècle,
soit 1027 ou peu après.
Aynard
Ier mourut en 1080 au cloître du prieuré où il s’était retiré. Son
corps fut inhumé dans le caveau de l’église, au dessous du chœur.
Le
cartulaire C de Saint Hugues le mentionne sous la forme monasterium Domena, la charte du XIVe siècle additive aux
cartulaires sous la forme prioratus
Domene.
Les
importants restes de l’édifice comprennent les deux grands murs nord et sud de
la nef et, relativement intacts, les murs du croisillon sud du transept et de
la chapelle d’Arces. A l’angle sud ouest on voit, encastré dans la maçonnerie,
un bloc de molasse sculpté d’une croix à entrelacs, de tradition carolingienne.
A l’extérieur, sur le flanc sud, un ensemble de constructions en partie
ruinées, occupe l’emplacement des bâtiments prieuraux et des dépendances de
l’exploitation agricole, sans doute remaniés ultérieurement.
La
nef de l’église fut édifiée en deux campagnes : d’abord un édifice
construit en deux campagnes : d’abord un édifice construit en moellons et
galets enduits couvert en charpente comme les basiliques romaines. Ensuite,
vers 1125-1250, les moines surhaussèrent la nef au moyen d’un étage en briques,
lancèrent dans la construction quatre piliers en briques, subsistant
aujourd’hui et couvrirent l’ensemble de trois voûtes gothiques, aujourd’hui
écroulées.
A
l’intrados de l’arcade centrale et sur chaque pieddroit une bande s’arrête à
Le
prieuré fut gouverné jusqu’en 1122 par Pierre le Vénérable, ami de Saint
Bernard qui devait ensuite devenir abbé de Cluny. La prospérité du monastère
fut considérable durant tout le moyen âge. En 1790, il fut vendu comme bien
national. La destruction du monument aurait été inévitable si la marquise de
Monteynard n’était intervenue pour racheter l’ensemble et veiller à sa conservation.
Le
prieuré a été classé monument historique en 1943.
Chapelle
d’Arces : elle a
été ajoutée vers la fin du XIVe siècle au chevet du prieuré par la puissante
famille d’Arces. De style gothique, elle comporte deux travées sur un plan
carré, voûtées d’ogives élégantes dont les arcs retombent sur des culs de
lampe. Celle-ci fut décorée de fresques représentant diverses scènes
religieuses. Au XVIIIe siècle, ces fresques furent piquées et recouvertes
d’enduit.
Dans
le mur sud ouest subsiste un enfeu qui devait autrefois contenir un tombeau et,
peut-être la statue d’un gisant. Accolés aux murs sud ouest subsistent des bâtiments
claustraux en mauvais état dont il ne reste guère qu’une salle rectangulaire.
Vers
1930, quelques peintures de style byzantin, semblant remonter au XIIe siècle,
étaient visibles dans cette salle. La chapelle a été classée monument
historique en 1943.
Chapelle
castrale : dans le
château du Mont Garcin, chapelle vouée à Saint Nicolas, citée dans le
cartulaire C de Saint Hugues : capella
Sancti Nicolai de Monte Garcinesco.
Chapelle
Saint André, citée dès 1058.
Eglise
Saint Clément :
elle est également citée en 1058. Etait-elle située à Domène ? Ce qui est
avéré est qu’au XVIIe siècle existait dans l’église prieurale une chapelle sous
le vocable de Saint Clément. Une seule autre dédicace à ce saint est connue
dans le diocèse de Grenoble à Varces (Fontanieu).
Eglise
Saint Nicolas : le
cartulaire de Saint Hugues la cite (vers 1100) sous la forme suivante : capella Sancti Nicolai de Monte Garcinesco, la
charte du XIVe siècle sous la forme Sancti
Nicolaii de Domena et le pouillé de 1497 la mentionne comme
chapelle : capella Sancti Nicolai
Maladrerie
citée depuis le XIIIe siècle qui existait encore en 1677.
Hôpital : l’hospitale de Domène est mentionné en 1290 et dans
le pouillé de 1497. Il possédait une chapelle dont le vocable n’est pas connu.
Chapelle
Saint Georges, citée en 1497 dans le même pouillé.
Mistralie
mentionnée dans le même pouillé.
G.
ALLARD mentionne la présence d’un hôpital médiéval.
Eglise
Saint Georges :
elle a été édifiée en 1892 sur l’emplacement de l’édifice primitif du XIe siècle
qui renfermait la tombe de Sainte Mathilde, comtesse d’Albon, mère du premier
dauphin. Elle conserve de cet édifice :
- une cloche de 1642
- un tableau de Saint François de Sales
prêchant du XVIIe siècle, inscrit à l’inventaire supplémentaire des objets
mobiliers des monuments historiques en 1996,
- un tableau du départ de Saint Bruno pour
la Grande Chartreuse du XVIIe siècle (même inscription),
- un tableau de Saint Bruno priant dans le
désert du XVIIe siècle (même inscription),
- un tableau du XIXe siècle représentant
la chapelle de Parizet, classé monument historique au titre des objets
mobiliers en 1997.
Eglise
réformée Baptiste.
Mosquée
Masjid.
Croix
avec inscription O CRUX AVE 1869.
Châteaux :
Château
féodal : sur le
Mont Garcin, emplacement du château cité, avec sa chapelle castrale, dans le
cartulaire de Saint Hugues (supra). En 1058, il est mentionné ainsi : villa que est juxta castrum quod vocatur
Domena. Il est ensuite cité dans
l’obit de dame Vuitburgis du 9 septembre 1091.
Le
Château Vert, reconstruit en pierre sans doute au XIe siècle ou au XIIe siècle
sur l’emplacement de la motte primitive, resta propriété des Aynard durant une
bonne partie du moyen âge mais dû être abandonné assez tôt puisque le
parcellaire de 1663 n’en fait aucune mention.
Château
Ferrier cité dès 1195.
Maison
forte de Montanivel mentionnée dans un acte du 17 mars 1321.
L’enquête
papale de 1339 sur la valeur des terres delphinales attribue 83 feux à Domène
(environ 320 foyers taxables).
Véhérie : elle est connue dès 1353. Elle
était située sur la route entre le grand ruisseau et le chemin du prieuré. Ses
tours ont été démolies en 1825 pour faire une place publique.
Château
de Beauregard :
c’était un poste avancé de la forteresse de Revel qui surplombait toute la
vallée de l’Isère. La tour, bien conservée, montre encore une entrée à arcature
de style de transition entre le roman et le gothique.
Tours
d’Ars : au dessus
du bourg, donjon carré cité dès le XIVe siècle. Il apparaît encore sur la carte
de Cassini.
Château
Perrin cité de 1303 (castrum Perini apud
molarium Montagiorel) à 1757.
Maison
forte de Domène, citée en 1353 : domum
suam forte de Domena.
Maison
forte d’Ars : elle
est attestée au XVe siècle. Ruinée au XVIIe siècle, il n’en subsiste rien.
Ancienne
maison forte des Morard, disparue.
Château
d’Ars (ou Ars) du milieu du XIXe siècle.
Hameaux et lieux
anciens :
In Ayeta, XIVe siècle,
l’Ayat.
Braceria Gleyroni, XVe siècle, le Glaizon.
Castrum Perini ap Molarium
Montaginel, XIVe siècle, Château Perrin.
Burgum,
XIIe siècle, le Bourg.
Gorgia Domena, XIVe siècle, la Gorge.
Malveysini, XIVe siècle, Malveysin.
Mans de Monte Garcino, XIIe siècle (supra).
Li Motier, XIVe siècle, le Moutier.
Veheria de Domène, XIVe siècle, la Véhérie (supra).
Autres indications :
Un
port sur l’Isère est mentionné en 1080.
Moulin
et battoir à chanvre attestés en 1085.
Charte
de franchises de 1273, accordée par Aymon III de Grenoble et Pierre Alleman,
seigneur de Revel.
2
moulins sont mentionnés dans un acte du 11 juin 1299.
Martinet
mentionné au XIVe siècle.
Dans
la rue du même nom, maison médiévale très abîmée.
Fontaine
avec inscription à la mémoire du Dr Marmonier (1813-1891), rénovateur de la
transfusion sanguine.
Villa
Clémence de 1892.
Maison
Dodo de 1900 avec des nombreuses mosaïques.
L’Atelier
Tournesol a recensé un cadran solaire.
ZNIEFF
de l’ancienne boucle de l’Isère au Bois Français.
ZNIEFF
des boisements du mas de l’Ile et boucle de la Taillat.
ZNIEFF
de la zone fonctionnelle de l’Isère entre Cervins et Grenoble.
ZNIEFF
des contreforts occidentaux de la chaine de Belledonne.
Bibliographie :
Archives
départementales de l’Isère : B 2945, B 3182, B 3266, B 3321, AG 277
Regeste
Dauphinois, n° 1640, 1694, 1695, 1713, 1831, 1869, 1940, 1955, 1956, 1960, 2008,
2009, 2057, 2058, 2083, 2231, 2233, 2234, 2235, 2236, 2237, 2241, 2242, 2244, 2245,
2247, 2248, 2317, 2327, 2346, 2386, 2387, 2393, 2394, 2478, 2487, 2505, 2518,
2244, 2249, 3034, 3035, 3173, 3178, 3179, 3184, 7010, 8829, 10232, 10782,
11204, 11205, 11829, 12229, 13289, 13784, 14064, 14419, 15341,16347, 19115,
19130, 19621, 21017, 23422, 30530
Regeste
complémentaire n° 1746, 1747, 4359
N. CHORIER : Histoire générale de Dauphiné, 1661-1672, T II,
pages 10 et 11
G.
ALLARD : Dictionnaire du Dauphiné, manuscrit de 1684 publié par H. GARIEL
en 1864, T 1, page 388 et T 2, pages 408 et 409
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108, 116 et 147 et T II page 338
P.
L. LAINE : généalogie de la maison de Monteynard dressée d’après le
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