VALBONNAIS

 

(Canton Matheysine-Trièves, ex canton de Valbonnais).

Forme ancienne : Valle Bones au XIe siècle.

Gentilé : Valbollésiens.

 

Carte IGN au 1/25000ème : 3336 OT

 

Superficie : 2395 hectares.

 

Population (2020) : 512 habitants.

 

Hagiographie : Arey, évêque de Gap, mort en 604.

Pierre, premier des apôtres et premier pape. Crucifié en 67 à Rome à l’emplacement de la basilique qui porte son nom.

Jacques, l’apôtre évangélisateur de l’Espagne dont les reliques sont vénérées à Compostelle.

Antoine, anachorète de Thébaïde mort en 356 dont les reliques ont été ramenées à la Motte-Saint-Didier devenue Saint-Antoine.

Philippe, l’apôtre, crucifié vers 90.

 

Protohistoire : la commune était traversée par la voie ligure de la Matheysine à l’Oisans. Elle fut encore utilisée à l’époque romaine.

 

Epoque gallo-romaine : le CIL XII mentionne une inscription partielle : « … GIROA / …VM / (li)BERT(ae) / (opti)M(a)E FECIT » qui aurait été située sur la porte de la « curia » (Mairie). Cette inscription, qui se rapporte à une affranchie, ne concerne pas, en fait, Valbonnais. Une inscription semblable se trouvait autrefois dans la chapelle Saint Laurent de Rochemaure (Ardèche) où elle accompagnait un « carré magique » (non citée dans la CAG 07).

 

Haut Moyen Âge : la tradition situe au hameau de la Chieze l’emplacement d’une église primitive qui passe pour avoir été édifiée par Saint Arey en 580.

Au lieudit Champier près Jean Bois, on a découvert en 1980 une sépulture sous dalle d’époque carolingienne.

Cimetière haut médiéval des Engelas, dont une sépulture a été exhumée en octobre 1980 lors d’un labour.

Au lieudit le Pigeonnier, emplacement d’une motte castrale de 2000 m2

 

Edifices religieux :

 

Ancienne église Saint Arey : elle est citée dans le cartulaire de Saint Hugues : ecclesia Sancti Erigii de Valle Bones et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia prioratus et cure Sancti Petri Vallis Bonnesii. Le mêm pouillé mentionne la capella Sancti Erigii dans l’église sur la tribune et un certain nombre d’autres chapelles :

-      Capella Sancti Johannis,

-      Capella Beati Anthonii,

-      Capella Sancte Crucis,

-      Capella Beate Marie de Clocherio,

-      Capella Beate Marie de Lazaro

 Le 5 juillet 1292, Odon Alleman seigneur de Valbonnais et autres lieux élit sépulture dans l’église Saint Arey, précisant qu’il veut cent prêtres pour ses obsèques.

 

Prieuré Saint Pierre : la fondation du prieuré bénédictin de Valbonnais n’est pas connue mais, dès 1095, le pouillé des bénéfices de Cluny indique que ce prieuré dépendait directement de l’abbaye. En 1291, une visite d’inspection de Cluny note qu’il y a « 3 moines diffamés pour incontinence et autres énormités ; on les enverra ailleurs ». En 1303, il y avait six moines. Il est cité dans la charte du XIVe siècle des cartulaires de Saint Hugues : prior Vallis Bonesii.

En 1497, la chapelle du prieuré tenait à la fois lieu d’église prieurale et paroissiale. Détruit lors des guerres de religion, le prieuré fut reconstruit en 1663, non loin de l’emplacement primitif par Louis de Sene. Il fut désaffecté à la révolution. Un lieudit est appelé Pré des Moines.

 

Maladrerie : elle est citée dès le XIIIe siècle. C’est peut-être cet établissement qui est qualifié d’hôpital dans le testament du dauphin Guigues du 17 juillet 1264.  Le lieudit la Maladière en rappelle l’emplacement.  

 

Hôpital : il est attesté en 1361. Le pouillé de 1497 la mentionne encore : hospitalia de Vallis Bonneysii.

 

Canal des Moines créé en 1344 par Jean de Riveyra, prieur de Valbonnais, avec le concours d’Hugonin Alleman, seigneur de Valbonnais.

 

Pierre tumulaire de Jean Fabri, chanoine du XVe siècle (aujourd’hui en collection particulière).

 

Chapelle de la Nativité Notre-Dame-de-la-Roche : édifiée en 1644 dans le style propre aux édifices de la vallée.

 

Chapelle Saint Jacques des Engelas, mentionnée en 1657.

 

Chapelle de la Sainte-Croix, (re)fondée dans l’église le 12 novembre 1664.

 

Chapelle de la Vierge de Chabrand : rustique édifice du début du XVIIIe siècle avec campanile, très délabré.

 

Ancienne chapelle Saint Pierre et Saint Bernard de Bourcheny de 1756 (ruinée). 

Chapelle Saint Jean-Baptiste et Saint Antoine de Pechal de 1765.

 

Nouvelle église Saint Arey : construite en 1865 en remplacement de l’ancienne église dont elle conserve deux cloches de 1757.

 

Eglise Saint Philippe et Saint Jacques des Engelas édifiée en 1881, en remplacement de l’ancienne chapelle.

 

Chapelle Saint Barthélemy des Verneys du XIXe siècle.

Chapelle Saint Roch.

Chapelle des Verneys.

 

Oratoire de la Vierge au Bourg.

Oratoire des Engelas.

Croix de mission des Engelas.

Croix de Séguret.

Croix du Four aux Angelas.

Croix de Pechal.

Croix des Verneys.

Croix du Roussillon.

Croix du Clos Moulina.

 

Valbonnais conserve un ensemble particulièrement représentatif de croix en fer forgé, placées aux carrefours d’anciens chemins ou aux limites du village.

 

Châteaux :

 

Château delphinal : l’enquête delphinale de 1339 décrit un donjon quadrangulaire de 22 mètres sur 13 mètres et de 28 mètres de hauteur, avec une chemise extérieure constituée d’un rempart fortifié et une chapelle castrale. L’enquête papale de la même année cite également le mandement, notant qu’il comprenait deux paroisses faisant 200 feux. Il n’en subsiste rien, même pas l’emplacement.

La terre de Valbonnais fut donnée par le dauphin Charles, futur Charles VII, au bâtard d’Orléans, futur Dunois par lettres patentes du 4 novembre 1421. Par une lettre missive du 12 avril du 12 avril 1428, ordonnant au conseil delphinal de remettre sans délai au bâtard d’Orléans la place et forteresse de Valbonnais qui avait été mise un temps sous séquestre. 

 

Maison forte des Nicolos : deux tours flanquaient à l’origine les angles de la façade sud de l’édifice. Celle qui subsiste présente une bouche à feu, datant du XVe siècle.

 

Maison forte de la Roche mentionnée dans un acte du 20 décembre 1338.   

 

Maison forte des Engelas : elle est citée en 1339. Il en subsiste une petite fenêtre géminée dans une maison du hameau.

Maison forte d’Aymar Boniface, citée au XIVe siècle. Une autre maison forte est non située.

Château féodal de Bourcheny dont il ne subsiste plus rien. La terre de Valbonnais appartenait au XVIIe siècle à J. P. Moret de Bourchenu, marquis de Valbonnais, premier président de la Chambre des Comptes. SES armes étaient d’or à la croix de sable cantonnée de quatre flancs chacune de trois pointes de gueules.

 

Château de Valbonnais : construit en 1608 par Pierre de Poligny, seigneur de la Fare, neveu de de Lesdiguières. Bien que transformé au XIXe siècle, il conserve encore d’importantes caractéristiques de ses origines et quatre cadrans solaires du XVIIe siècle, refaits au XIXe siècle.

 

Maison dite de la Licorne avec tour, ancienne maison forte.

 

G. ALLARD mentionné également les maisons fortes de Jean des Aures, de Pierre des Aures, de Christophe des Aures et de Jacques de Morges.

 

Hameaux et lieux anciens :

 

Benemenchia, XVe siècle, la Manche.

Borg Chanier, XIIIe siècle, Bourcheny.

Disrenchi, XIIIe siècle, ?

Els Micholaos, XIIIe siècle, les Nicolaux.

Enversegnio, XVe siècle, l’Averser.  

In Vuernallis, XIVe siècle, les Verneys.

Mans de Manescali, XVe siècle, le Marché.

Mareychautz, XVe siècle, le Marché.

Molendina valli Sbonesti, XIVe siècle, les moulins de la Roche.

Nemus in Ayiis, XIVe siècle, les Ayes.  

Nicolanis, XIVe siècle, les Nicolaux.

Poleti, XIVe siècle, les Pollets.

Pratum villa, XIVe siècle, le Prat.

Pueychal, XIVe siècle, Peychal.

Selvon, XIVe siècle, le Sauvoux.

Villa podium Chabrand, XIVe siècle, Chabrand.

Li Ponczon, XIVe siècle, les Ponsons ?

Villa Rossillon, XIVe siècle, Roussillon.

Villa Ruyna, XIVe siècle, la Ruine.  

 

Autres indications :

 

Pont du Prêtre sur la Roizonne, déjà mentionné au XIIIe siècle. Il est ainsi nommé en raison d’un desservant du Beaumont qui aurait été assassiné en ce lieu par des brigands. Une autre version fait état d’un prêtre qui s’y serait caché sous la Terreur. Le pont actuel est du XIXe siècle.

Canal de la Roche créé en 1434 pour amener les eaux du Villard-d’Entraigues.

Cimetière médiéval tardif mis au jour lors de la construction de la gare.

Au centre du Bourg, très belle maison de plan ramassé de la fin du XVIe siècle avec cage d’escalier polygonale hors d’œuvre. A proximité, une importante maison à pignon sur rue conserve des fenêtres à meneaux. Une autre maison conserve un linteau sculpté.

Maison de Léon Rif avec une haute toiture du XVIIe siècle.

Maison du prince de Sauzet, dite Maison Champollion, de 1753.

Maison de Maître Bernard, notaire royal : bel édifice du milieu de 1757, avec un escalier à marches monoxyles.

Au hameau de la Roche, maison natale de Jacques Champollion, père de l’égyptologue.

 

Le « carré magique : le cryptogramme qu’il représente est connu dès Pompéi puis dès la seconde moitié du IIe siècle à Doura Ouropos sur les rives de l’Euphrate, à Circenster en Angleterre, et plus tardivement à Rochemaure, à Saint Michel d’Aiguilhe au Puy, à Château Chinon et à Jarnac.

 

                                                           SATOR

                                                           AREPO

                                                           TENET

                                                           OPERA

                                                           ROTAS 

 

L’interprétation littérale de ces cinq mots latins, que l’on peut lire horizontalement et verticalement, aboutit à une formule plate du genre : « le semeur Arepo tient avec soin les roues ». Mais, ce « carré magique » va au-delà de cette stricte traduction car il s’agit d’une crux dissimulata dans un contexte d’apparence mystérieuse, par des chrétiens en butte aux persécutions sous le règne de Marc Aurèle. La croix est dessinée par le mot « TENET », deux fois répété. A chaque extrémité des branches de la croix, donc quatre fois répétées, figure le Tau grec dont les premiers chrétiens avaient fait le symbole, d’eux seuls connus, de la croix. Enfin on remarque, de part et d’autre de chacun de ces taus terminaux l’alpha et l’oméga de l’Apocalypse de de Saint Jean. Le développement des lettres du carré donne :   

 

                                                                       A

                                                                       --

                                                                       P

                                                                       A

                                                                       T

                                                                       E

                                                                       R

                                                A/ PATERN  NOSTER /O

                                                                       O

                                                                       S

                                                                       T

                                                                       E

                                                                       R

                                                                       --

                                                                       O

 

J. J. CHAMPILLION FIGEAC datait l’inscription du XVe siècle. J. OHERNE, pour sa part, remarquait que, dans ces conditions, ce carré serait le seul exemplaire existant dans le monde d’une formule Rotas Opéra qui ne soit pas antérieure au IVe siècle et il la datait du IIe siècle.

Mais, ce « carré magique », de Valbonnais date vraisemblablement du XVIIIe siècle, en raison notamment des motifs de décoration qui l’enrichissent. Il a été classé monument historique au titre des objets mobiliers en 1934.

 

Inscription dite de Dupuy de Bordes du début du XIXe siècle.

Cadran solaire avec inscription Soli, Soli et sine sol nihil (au seul soleil de la terre et sans soleil le néant.

Canal du Beaumont de 1875.

Moulin de la Roche.  

Usine de ciment du Pont du Prêtre, qui exploitait les calcaires argileux pour la production de ciments hydrauliques, jadis mondialement connue. Il en subsiste des ruines suggestives.

Four à chaux de Leygat.

Four à plâtre des Nicolaux.

E. GUEYMARD mentionne un gite de nickel au-dessus du hameau de Pechand.

Fours banaux de la Roche, de Chabrand, des Verneys et des Angelas.

Bassins anciens au Bourg, à Pechal, à la Roche, aux Nicolaux et aux Angelas.  

Maison Jacquet en ciment de la première moitié du XXe siècle.

L’Atelier Tournesol a recensé quatre cadrans solaires.

Site Natura 2000 des forêts et Landes du col d’Ornon.

ZNIEFF de l’ensemble formé par le massif du Taillefer.

ZNIEFF du massif de l’Oisans.

ZNIEFF du massif du Gargas.

ZNIEFF du versant rocheux de la montagne du Roussillon.

ZNIEFF du versant montagneux du bois de l’Homme.

ZNIEFF de la montagne du Coiro.

ZNIEFF de la Bonne sous Valbonnais.

 

Bibliographie :

 

Archives départementales de l’Isère : B 3075, B 3120, B 3361, B 3972, B 4504, B 4443, 4E 440/287

Regeste Dauphinois : n° 2574, 8571, 10073, 10084, 10175, 11963, 13750, 13828, 14064, 14578, 14673, 14854, 15134, 15182, 15366, 16347, 16461, 18805, 19621, 21923, 22395, 23417, 29499, 29561

Regeste complémentaire n° 2529, 2972

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