CRETS-EN-BELLEDONNE
Commune
formée le 1er janvier 2016 par réunion des deux communes de Morêtel-de-Mailles
et de Saint-Pierre-d’Allevard.
Canton
du Haut-Grésivaudan.
Carte
IGN au 1/25000ème : 3333 et 3334 E
Superficie :
3360 hectares.
Population
(2015) : 3419 habitants.
Ancienne
commune de MORETEL-DE-MAILLES
(Ex
canton de Goncelin)
Forme
ancienne : Maurestello au XIe siècle.
Gentilé :
Moretelins.
Superficie :
670 hectares.
Population
(2015) : 448 hectares.
Hagiographie :
Jean-Baptiste,
cousin de Jésus à qui il donna le baptême dans le Jourdain. Décapité en 31. Il
est représenté avec un agneau pascal.
Marie-Madeleine,
pêcheresse convertie par Jésus. Selon la légende du XIIe siècle, elle aurait
fini sa vie dans une grotte de la Sainte-Baume. Elle est honorée à Vézelay.
Jacques,
l’Apôtre, évangélisateur de l’Espagne. Martyr sous Hérode Agrippa. Il est
représenté en pèlerin et honoré à Compostelle.
Michel,
l’Archange, chef de la milice céleste dans l’Ancien Testament. Patron de
l’église romaine et des hauteurs.
Georges,
prince de Cappadoce, martyr à Lydda en 303. Son culte remonte à 368 et fut
embelli par la légende du dragon. Patron de l’Angleterre dès 800 et patron des
cavaliers.
Antoine,
anachorète de Thébaïde du IVe siècle dont les reliques furent ramenées à la
Motte-Saint-Didier, devenue Saint-Antoine.
Epoque
gallo-romaine :
passage d’une voie romaine secondaire reliant Pontcharra à Détrier par
Allevard.
Haut
Moyen Âge : au
lieudit le Fort on aurait trouvé des « tombes en pierre »
(sarcophages ?).
Au
même lieudit, présence d’une motte castrale.
Edifices religieux :
Ancienne
église Saint Michel :
près du lieudit le Fort (supra), emplacement de l’ancienne église
paroissiale citée dès 1081 et peu après dans le cartulaire C de Saint
Hugues : ecclesia de Maurestello.
Elle dépendait du prieuré de Saint Pierre d’Allevard. Elle est également citée
dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia Beati Michaelis de Morestello. Elle fut reconstruite au
lieudit les Fontaines.
Maladrerie
Sainte Marie-Madeleine :
elle est citée en 1285 et dans le pouillé de 1497 : capella Beate Marie Magdalenes. Il n’en subsiste rien.
Chapelle
castrale Saint Jean-Baptiste citée dans le même cartulaire : capella de Maurestello et dans le pouillé de 1497.
Chapelle
Saint Jacques citée dans le pouillé de 1497 : capella sancti Jacobi est fundata per dominos de Urteris.
Le
même pouillé mentionne également d’autres chapelles :
Ø capella
Sancte Crucis,
Ø capella
Sancti Georgii,
Ø capella
Sancti Anthonii
Ø capella
Sancti Johannis Baptiste.
Eglise
Saint Michel :
édifiée au XIXe siècle, en remplacement de l’église primitive.
Le
Chemin de l’Abbaye rappelle vraisemblablement une grange de l’abbaye de
Tamié.
Châteaux :
Château
delphinal du Fort :
sur l’emplacement de la motte castrale, château décrit dans l’enquête de 1339.
Le nom de « fort » date des travaux militaires dont il fut l’objet au
début du XVIe siècle. Il fut démoli peu après.
Maison
forte de Mailles :
elle est citée en 1219. C’est aujourd’hui un édifice composite. L’un des
membres de la famille de Mailles combattit à Varey en 1326. Ses armes étaient
d’argent au lion de gueules.
L’enquête
papale de 1339 indique que le mandement de Moretel comprenait trois paroisses
faisant 360 feux et avait un revenu annuel de 300 florins.
Château
de Bouthières :
maison forte du XIVe siècle qui appartenait à Guigues Bouthières, compagnon
d’armes de Bayard, dit « Brave Bouthières ».
La
famille Guiffrey apparait dès 1252 à Mailles. Elle y fera plusieurs branches
dont celle de Boutières dont les armes étaient d’or à la bande de gueules
chargée d’un griffon d’argent, becqué et onglé de sable, la devise : huc
quid obstat ? et le cri : Boutières !
Maison
forte signalée en 1391 « sous la motte du château ».
Château
de la Roche dit Bâtie de la Roche :
il consistait en une tour à trois étages à laquelle se joignait un corps de
logis à deux étages. Il en subsiste quelques murs et le porche d’entrée.
Château
de Morêtel dit Maison de Belledonne remontant au XVIe siècle et modifié aux
siècles suivants. On connait une famille de Moretel qui apparait en 1009 et
s’éteint en 1482 dont les armes étaient de sable à la bande d’argent.
G.
ALLARD mentionne la présence d’une mistralie et d’un certain nombre de maisons
fortes appartenant à Richard de Mailles, d’Aymon de Mailles, d’Auberjon de
Mailles, de Jean de Guiffrey, d’Estache Pinel, de Pierre Charbet, d’Ancelme
Philippe de Jean Joffrey, de Jean de la Chapelle, d’Alix de Morges, d’Artaud de
Beaumont, d’André de Vaulnaveys et de Guigues Mistral.
Lieux anciens :
Bayeta, XVe siècle, la Bayette.
Boyteres, XIIIe siècle, les Boutières.
Les Chaireres, XVe siècle, la Charrière.
Ad Chavanas, XIIIe siècle, les Chavannes.
La
Fores, XIVe siècle, le
Fort.
Malafossa,
XIIIe siècle,
Malafosse.
Molendinum Crarojat, XIIIe siècle, Carajat.
In Palatorum, Peletorus
mans, XIVe siècle, le
Peillot.
Mans de Rochetis, XIe siècle, les Rochettes.
De Tractu, XIVe siècle, le Trait.
Autres indications :
Mistralie
mentionnée dans un acte du 6 juillet 1322.
L’Atelier
Tournesol a recensé un cadran solaire.
La
banquette interglaciaire et les vallées perchées du Grésivaudan sont un site
géologique d’intérêt géomorphologique classé 2 étoiles à l’inventaire du
patrimoine géologique de 2014.
ZNIEFF
des contreforts occidentaux de la chaine de Belledonne.
ZNIEFF
des prairies sèches de Morêtel (6 ha).
ZNIEFF
de la pelouse de Plarchamps.
ZNIEFF
de l’étang des Fontaines (3 ha).
Bibliographie :
Archives
départementales de l’Isère : B 3120 f° 53, Probus f° 157
Regeste
Dauphinois n° 9695, 17949, 18509, 18628, 19078, 21103, 21150, 21151, 21412,
21460, 25103, 29532, 30995, 31082, 32504, 36364
G.
ALLARD : description historique de la ville de Grenoble et de la province
de Dauphiné, man. 1684 publié par H. GARIEL en 1864, page 123 et Dictionnaire
historique du Dauphiné, T II, pages 34, 64, 70, 197 et 198
C.
de MONTEYNARD : Cartulare monastorii beatorum Petri et Pauli de Domina,
1859, chartes n° 197 et 239-15
Baron
A. RAVERAT : à travers le Dauphiné, voyage pittoresque et artistique,
1861, page 307
G.
de RIVOIRE de la BATIE : Armorial de Dauphiné, 1867, pages 27, 299, 300,
373, 446 et 447
J.
MARION : cartulaires de l’église cathédrale Notre Dame de Grenoble dits
cartulaires de Saint Hugues, 1869, pages 191, 287 et 326
U.
CHEVALIER : choix de documents historiques inédits sur le Dauphiné, 1874,
pages 45, 69, 239 et 298
E. ARNAUD : histoire des protestants du Dauphiné aux XVIe,
XVIIe et XVIIIe siècles, Vol. II, 1875-1876, page 243
J.
J. A. PILOT : les maisons fortes du Dauphiné, 1883
Abbé
CROIZAT : Guigues Guiffrey, seigneur de Boutières, bulletin de l’Académie
Delphinale 1891, pages 713 à 738
J.
SESTIER : la vallée du Grésivaudan, rive gauche de l’Isère, 1900
C.
FAURE : un projet de cession du Dauphiné à l’église romaine (1338-1340),
Mélanges d’histoire et d’archéologie, T 27, 1907, pages 168 et 213
J.
ROMAN : description des sceaux des familles seigneuriales du Dauphiné,
1913, pages 188 et 189
E.
PILOT de THOREY : dictionnaire topographique de l’Isère publié par U.
CHEVALIER en 1920, pages 24, 47, 62, 68, 90, 130, 153, 154, 206, 208, 258, 262,
301, 321 et 349
M.
de MARCIEU : le brave Boutières, bulletin de l’Académie delphinale 1938,
pages 27 à 36
J.
BRUNO : le Graisivaudan, toponymie et peuplement d’une vallée des Alpes,
1977, pages 27, 75 et 227
MAZOUYES :
maladreries et lépreux de l’ancienne province du Dauphiné, 1980
M.
COLARDELLE : sépulture et traditions funéraires du Ve au XIIIe siècle
après J. C. dans les campagnes des Alpes françaises du nord, 1983, page 196
J.
C. MICHEL : Isère gallo-romaine, I, 1985, page 57
R.
L. LACHAT : la vallée aux cent châteaux, 1985, pages 94 à 99 et 147 à 151
Archéologie
chez vous n° 9, 1991, notices 80 et 81 pages 33 et 34 et n° 120, page 54
J.
C. MICHEL : notice n° 97 de la carte archéologique de la Gaule, l’Isère
38/1, 1994, page 66
Atelier
Tournesol : inventaire des cadrans solaires de l’Isère, 1996-1998
M.
FALKOURY : mémoire de Morêtel de Mailles, 1998
E.
TASSET : châteaux forts de l’Isère, 2005, page 361 à 371
Carte
archéologique de la Gaule : l’Isère 38/4, 2017, page 223
Ex
commune de SAINT-PIERRE-D’ALLEVARD
Superficie :
2710 hectares.
Population
(2015) : 2837 habitants.
Forme
ancienne : Sancti Petri de Alvarare au
XIe siècle.
Gentilé :
Saint Pierrains.
Hagiographie :
Pierre,
premier des apôtres et premier pape. Crucifié en 67 à Rome à l’emplacement de
la basilique qui porte son nom-
Marie-Madeleine,
pêcheresse convertie par Jésus. Selon la légende du XIIe siècle, elle aurait
fini sa vie dans une grotte de la Sainte-Baume. Elle est honorée à Vézelay.
Christophe
de Lycie, martyr sous Dèce en 250. Patron des voyageurs.
Jean-Baptiste,
cousin de Jésus à qui il donna le baptême dans le Jourdain. Décapité en 31. Il
est représenté avec un agneau pascal.
Georges,
prince de Cappadoce, martyr à Lydda en 303. Son culte remonte à 368 et fut
embelli par la légende du dragon. Patron de l’Angleterre dès 800 et patron des
cavaliers.
Genis
(Genesii), évêque de Clermont, fondateur de monastères au début du VIIe siècle.
Antoine,
anachorète de Thébaïde du IVe siècle dont les reliques furent ramenées à la
Motte-Saint-Didier, devenue Saint-Antoine.
Michel,
l’Archange, chef de la milice céleste dans l’Ancien Testament. Patron de
l’église romaine et des hauteurs.
Catherine,
d’Alexandrie, qui eut la vision de l’enfant Jésus la choisissant pour fiancée.
Martyre en 305 sous Maximin Daïa. Patronne des filles à marier.
Epoque
gallo-romaine : passage de la voie romaine de Détrier
(Savoie).
Une
colonne romaine est en remploi dans la face nord du clocher de l’église.
Le
lieudit Feytoux pourrait évoquer un Fanum
Jovis.
Haut
Moyen Âge : le
lieudit Charpieux pourrait être le Cripianum
du testament d’Abbon de 739.
Au
lieudit le Châtelard, emplacement présumé de motte castrale.
Motte
castrale de la Tour d’Aquin encore très apparente.
Edifices religieux :
Eglise
Saint Genis : elle
fut donnée en 1081 à Cluny. Elle existait toujours en 1488. Elle a complètement
disparu.
Eglise
Saint Pierre :
elle est connue dès 1080, époque de sa donation à Cluny. Le cartulaire C de
Saint Hugues la cite peu après : ecclesia
Sancti Petri de Alvarare. Elle était à la fois église paroissiale et
prieurale. Le clocher, à la haute souche carrée sans ouverture, séparé de
l’unique étage par un bandeau en saillie conserve une colonne romaine (supra)
et appartient, avec ses arcatures et ses bandes lombardes, au premier art
roman. Le clocher est classé monument historique depuis 1908.
L’abside
date de 1104. L’église est également citée dans le pouillé du diocèse de
Grenoble de 1497 : ecclesia Sancti
Petri Alavardi.
L’église
conserve :
Ø une cloche de 1644,
Ø une croix de procession du XVIe siècle,
Ø une croix de procession en argent avec
des parties dorées de la seconde moitié du XVIe siècle,
Ø deux chandeliers d’autel en cuivre forgé
du XVIIIe siècle,
Ø une statue de la Vierge avec les mains
et le visage polychromes et un costume doré du XVIIIe siècle,
Ø une grosse cloche de 1881.
L’église
possédait une chapelle dédiée à la Vierge, décrite dans un état de ruine
consommée en 1667 et supprimée en 1672. Elle conserve encore, au sud du chevet,
une chapelle vouée à Saint Jean-Baptiste.
Prieuré
Saint Pierre : en
1082, plusieurs membres de la famille des Aynard de Domène font don à l’abbaye
de Cluny des deux églises Saint Pierre et Saint Marcel d’Allevard, dans
l’attente que les moines y établissent un monastère. Cette donation est à
l’origine de la fondation du prieuré Saint Pierre dont un prieur est mentionné
pour la première fois dans un acte passé en faveur du prieuré de Domène.
Le
prieuré est mentionné dans la charte du XIVe siècle des cartulaires : prior Sancti Petri de Alavardo et dans
le pouillé de 1497 : ecclesia
prioratus et cure Sancti Petri de Alavardo. A cette date, le prieuré
comprend trois religieux.
Une
porte médiévale subsiste toujours. Elle est dite Entrée du pape en
souvenir du séjour de Pascal II en 1107.
Maladrerie
et chapelle Sainte Marie-Madeleine :
elle est citée dès 1239 : malatheria
Sancti Petri. Sa chapelle subsistait près de l’ancien chemin d’Allevard à
Saint Pierre, au lieudit la Maladière jusqu’à la mise en eau du lac
artificiel. Elle est également citée dans le pouillé de 1497 : leproseria Sancti Petri de Alavardo.
Le
même pouillé cité également diverses chapelles :
Ø capella
Sancti Georgii,
Ø capella
Sancti Genesii,
Ø capella
Sancti Anthonii
Ø capella
Sancti Michaelis,
Ø capella
Sancte Catherine.
A
l’angle de la rue de la Charrière, maison de 1690 surmontée du monogramme
« JHS » qui dépendait du prieuré.
Croix
de Reculet.
Lieudit
Saint Christophe.
Châteaux :
Château
de la Roche dit aussi Bâtie de la Roche : il s’agit d’une maison forte connue par l’enquête
delphinale de 1339 (Castrum Ruppis
Alavardi) qui consistait en une tour à trois étages à laquelle se
joignaient deux bâtiments à deux étages reliés par un mur abritant une aula. Une gravure de 1876 montre encore
l’édifice en élévation. Il n’en subsiste aujourd’hui plus que le portail
d’entrée.
Maison
forte d’Aquin dit Tour d’Aquin :
elle faisait partie au XIIIe siècle d’un château acquis par les dauphins du
Viennois. Elle appartint ensuite à la famille d’Aquin, nom sous lequel elle est
restée connue. Cette famille avait pour armes d’azur à quatre piles renversées
mouvantes de la pointe et appointées en chef d’argent.
Ce
qui en reste est une tour tronconique de 8 mètres de hauteur aux murs épais de
2 mètres.
Château
de Saint Pierre :
il est cité en 1234 mais sa localisation n’est pas connue.
L’enquête
papale de 1339 mentionne 318 feux pour Saint Pierre.
Maisons
fortes de Sailles et de la Tour, disparues.
Château
le Chaboud :
ancienne maison forte située sur le versant de Brame Farine qui a subi
plusieurs reconstructions.
Hameaux, mas et
lieudits anciens :
Agardis, XVe siècle, les Agards.
La Barba, XVe siècle, le Barbas.
Beugnisios, XIVe siècle, Bagin.
Boczutum, XIVe siècle, Bossu.
Camus Berout, XIIIe siècle, le Béroud.
Chaninos, XIVe siècle, le Chanier.
Chanta
lova, XIVe siècle,
Chantelouve.
Charpillios, XIVe siècle, les Charpieux.
Comba Chabout, XIIIe siècle, le Chaboud.
Comba de Criel, XVe siècle, le Crey.
Espineta,
XIVe siècle, l’Epinay.
Les Lacaseys, XIIIe siècle, la Cassey.
Mina ferrera in Seya, XIVe siècle, la Seia.
Molendina de Sallia, XIVe siècle, les Moulins de Saille.
Monteynard,
XIIIe siècle, Mont
Renard.
Montgotoudum, XIVe siècle, Montgoutoux.
Planchiis, XIVe siècle, les Planches.
Mans.
Preveral, XIIIe siècle,
la Prevotée.
Raffini
villa, XIVe siècle,
Raffin.
Regellum, XIVe siècle, la Reale.
Rivus de Barleto, XIVe siècle, Barlet.
Les
Ronssieres, XVIIe
siècle, les Ronzières.
Sailli, XIIIe siècle, Saille.
De Tatentasia, XIVe siècle, Tarentezin.
Thoz, XVe siècle, le Tuf.
Valeysios, XVe siècle, le Voley.
Villa Rupis, XIVe siècle, la Roche.
Autres indications :
Moulin
mentionné dans un acte du 24 mai 1299.
Les
mines de fer de Bounas et de la Taillat sont mentionnées dans l’enquête
delphinale de 1339. En 1885, la mine de la Taillat était encore exploitée.
La
mine de la Rivoire est citée en 1520.
Mine
de fer Paturel de 252 hectares, concédée en 1817.
Mine
de fer de la Taillat de 460 hectares également concédée en 1817 et exploitée
jusqu’en 1922.
Mine
de fer de Tavernes de 105 hectares également concédée en 1817.
Mine
de fer de la Feuillette de 13 hectares, concédée en 1833.
Mine
de fer de la Pioulla de 29 hectares, également concédée en 1833.
Le
four à griller de Champ Sappey, restauré de nos jours, est cité dès le XVIIe
siècle.
Lieudit
Grenoble.
Four
à griller de Combe Bachat du début du XIXe siècle.
Maison
bourgeoise dite Mon Exil de 1800.
L’Atelier
Tournesol a recensé un cadran solaire.
ZNIEFF
des contreforts occidentaux de la chaine de Belledonne.
ZNIEFF
du lac des Tavernes (1 ha).
ZNIEFF
de la pelouse de Plarchamps.
ZNIEFF
du bassin du Flumet.
ZNIEFF
des tourbières des 7 Lauds.
ZNIEFF
du massif de Belledonne.
ZNIEFF
du marais de Sailles.
Tourbière
du Crêt Luisard.
Lac
de Tavernes.
Lac
du Flumet.
Bibliographie :
Archives
départementales de l’Isère : B 3120 f° 92 et f° 206, B 4288, B 4443 f° 15
Regeste
dauphinois n° 2340, 2675, 5575, 6865, 11963, 12307, 13828, 14660, 14673, 15328,
16347, 16440, 16441, 16625, 18587, 19621, 29656
Regeste
dauphinois supplémentaire n° 3313
G.
ALLARD : Dictionnaire du Dauphiné, manuscrit de 1684 publié par H. GARIEL
en 1864, T 1, page 48 et T 2, pages 144, 417 et 566
C.
de MONTEYNARD : Cartulare monastorii beatorum Petri et Pauli de Domina,
1859, charte n° 196
C.
LORY : description géologique du Dauphiné, BSSI 1864, page 98
G.
de RIVOIRE de la BATIE : Armorial de Dauphiné, 1867, pages 15 et 16
J.
MARION : cartulaires de l’église cathédrale de Grenoble dits cartulaires
de Saint Hugues, 1869, testament d’Abbon (charte XXII A page 45) et cartulaire
pages 191, 271, 299, 326 et 327
A.
JOANNE : géographie du département de l’Isère, 1876, page 62
E.
PILOT de THOREY : les prieurés de l’ancien diocèse de Grenoble compris
dans les limites du Dauphiné, BSSI, 3ème série, T XII, 1884, pages
325 à 339
E.
PILOT de THOREY : notes et documents sur le prieuré de Saint-Pierre-d’Allevard,
BMG R 7906-607
J.
ROMAN : visites faites dans les prieurés de Cluny de 1280 à 1303, 1883,
pages 6 et 19
C.
FAURE : un projet de cession du Dauphiné à l’église romaine (1338-1340),
Mélanges d’archéologie et d’histoire T 27, 1907, page 213
Dom
BESSE : abbayes et prieurés de l’ancienne France, 1912, IX, 96
E.
PILOT de THOREY : dictionnaire topographique de l’Isère publié par U.
CHEVALIER en 1920, pages 2, 19, 20, 37, 15, 75, 77, 139, 194, 209, 229, 240, 272,
286, 289, 292, 303, 307, 310, 311, 324, 335, 342, 345 et 355
J.
B. LANFREY : chez nous, 1930, page 30
Dom
L. H. COTTINEAU : répertoire topo-bibliographique des abbayes et des
prieurés, T II, 1939, page 2848
J.
BRUNO : le Graisivaudan, toponymie et peuplement d’une vallée des Alpes,
1977, pages 136 et 170
P.
HAMON : églises de l’Isère, 1977
A.
et M. LEBROS : histoire des anciennes mines et sites de l’Oisans. Les
grands centres miniers de l’Isère, 1979, pages 18, 20, 21, 23 et 196
J.
C. MICHEL : Isère gallo-romaine, I, 1985, page 9
Archéologie
chez vous n° 9, 1991, notices n° 25, page 16, n° 105, page 44 et n° 131 à 133
pages 64 à 66
J.
C. MICHEL : notice n° 6 de la carte archéologique de l’Isère 38/1, 1994,
page 46
Atelier
Tournesol : inventaire des cadrans solaires de l’Isère, 1996-1998
Atlas
du patrimoine de l’Isère, 1998, pages 125, 128 et 213
E.
TASSET : châteaux forts de l’Isère, 2005, pages 503 à 508
E.
SIROT : noble et forte maison, l’habitat seigneurial dans les campagnes
médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe siècle, 2007, page 32
G.
SALAMAND : histoire anecdotique du prieuré clunisien de Saint-Pierre-d’Allevard,
2011
Carte
archéologique de la Gaule : l’Isère 38/4, 2017, page 317