CHAPAREILLAN

 

(Canton du Haut-Grésivaudan, ex canton du Touvet).

Formes anciennes : Parelanium au VIIIe siècle ? Sancti Marcelli au XIe siècle.

Gentilé : Chapareillanais.

Héraldique : d’or à la bande contre bretessée de sable accompagnée en chef d’un dauphin d’azur et d’une clef d’azur posée en bande.   

 

Carte IGN au 1/25000ème : 3333 OT

 

Superficie : 3000 hectares.

 

Population (2015) : 2950 habitants.

 

Hagiographie :

 

Marcel, prêtre de Lyon, évangélisateur de la Saône au IIIe siècle.

André, l’apôtre, crucifié en 64 à Patras sur une croix en X qui porte son nom. Patron de l’Ecosse et de la Russie.

Blaise, évêque de Sébaste en Arménie, martyr en 316. Patron des musiciens.

Roch, mendiant et pèlerin à Rome au début du XIVe siècle. Très populaire au moyen âge où il était invoqué contre les maladies contagieuses et les épidémies.

Georges, prince de Cappadoce, martyr à Lydda en 368. Son culte remonte à 368 et fut embelli par la légende du dragon. Patron de l’Angleterre dès 800 et patron des cavaliers.

 

Préhistoire : deux sites préhistoriques sont signalés à 1550 mètres d’altitude dans le massif du Granier. Ils ont livré des silex taillés de chasseurs cueilleurs du mésolithique.

 

Protohistoire : en 2002, on a découvert au Grand Retour (infra) 2 monnaies gauloises, une à l’hippocampe et l’autre au cavalier.

 

Epoque gallo-romaine : selon la tradition, Chapareillan situé sur l’ancienne voie romaine de Grenoble au Petit Saint Bernard encore appelée Chemin de l’Empereur ou Chemin de Lestrat, dont une section pavée a été retrouvée lors de la fondation de maisons, devrait son origine et son nom à un camp de l’armée d’Aurélien : campus Aureliani. L’armée d’Aurélien aurait ainsi pu faire la jonction en cet endroit avec celle de Placidianus cantonnée à Grenoble de fin 269 à fin 272 avant de marcher contre Tetricus, à l’automne 273.

La voie des Alpes Graies présente un tracé assez bien connu sur Chapareillan : elle passait notamment à l’ouest du chef lieu, au Villard, au hameau de l’Etraz (via strata) et elle quittait le territoire au lieudit la Douane. Divers vestiges sont connus :

 

Ø  à Bellecombette, emplacement de ferme gallo-romaine avec un domaine de 40 hectares,

Ø  à la Chapelle du Bas, ferme gallo-romaine qui était située non loin de la voie, entre la Ville (siège probable de la villa) et le Villard qui demeure encore comme hameau,

Ø  selon une tradition locale, l’ancien prieuré de Saint André, détruit le 24 novembre 1248 par l’écroulement de la face nord du Granier, aurait été édifié sur l’emplacement d’un poste romain,

Ø  à la Gorgerette, au début du XXe siècle on a vu les restes d’une villa romaine avec des céramiques sigillées,

Ø  selon un renseignement oral recueilli en janvier 1986, un viticulteur aurait découvert dans sa propriété les restes d’une construction gallo-romaine avec des tuiles et des monnaies en bronze,

Ø  En 1986, sur le coteau du Grand Retour, on a découvert parmi plusieurs objets archéologiques des fragments de tôle en bronze. Parmi ces fragments, quatre appartiennent à une petite tête pouvant représenter une divinité guerrière, sans doute du Ier siècle avant notre ère. Parmi les autres éléments il y avait des tegulae, des imbrices, des clous, des fragments de plomb fondu, du verre, de la céramique, une clochette en bronze et 65 monnaies romaines du Ier au Ve siècles (as de la République, Auguste, Trajan, Antonin le Pieux… jusqu’à la dynastie théodosienne (dépôt au Musée Dauphinois). On pourrait penser à un sanctuaire,

Ø  en 1991, au dessus du château de Bellecombe, un site romain a été repéré,

Ø  en 2002, au Grand Retour, on a découvert un nouveau lot de 25 monnaies (dont deux gauloises) : Hadrien, Marc Aurèle, Aurélien, Maxence, Constantin, Valens, Valentinien, Arcadius,

Ø  toujours au même site on a encore découvert 5 monnaies de Constance II et 3 de la dynastie constantinienne ?

Ø  sur les pentes du Granier on a découvert des tegulae en pleine forêt ?

Ø  on notera un lieudit Grande Terre.    

 

Haut Moyen Âge : l’inscription paléochrétienne de LVPECINVS, parfois attribuée à Chapareillan, relève en fait de la commune de Barraux.

Chapareillan est-il le Parelanium du testament d’Abbon de 739 ?

 

Edifices religieux :

 

Ancienne église Saint Marcel : peut être d’origine paléochrétienne, cette église est citée dans le cartulaire C de Saint Hugues : ecclesia Sancti Marcelli super Banatis et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : curatus de Sancto Marcello. Elle fut détruite en 1645 et remplacée par un nouvel édifice qui a disparu lui aussi. Cette église était située à l’ouest du Fort Barraux, sur le bord du rocher, au dessus du Boissieu et au dessous du hameau de Saint Georges dont la paroisse lui était jointe.

 

Prieuré Saint André : une paroisse (Saint Georges) en dépendait. Il fut détruit par l’éboulement du Granier (supra). La catastrophe, survenue dans la nuit du 24 au 25 novembre 1248, provoquée par l’éboulement de 500 millions de m3 sur 30 km2 aurait fait, dit-on, 5000 morts et enseveli une partie de la vallée, dont l’agglomération de Saint André et une dizaine de hameaux ne laissant subsister que l’église de Myans (Savoie), objet depuis lors d’un pèlerinage. Toutefois, le nombre de victimes doit sans doute être réduit ; en effet les comptes d’une dîme ecclésiastique pour 1011 indiquent une population de 3000 âmes.

 

Prieuré d’Augustins de Bellecombe.

 

Ancien monastère Sainte Marie : probablement fondé vers l’an Mil, il disparut également dans l’effondrement du Granier.

 

Eglise Saint Blaise de Bellecombe : elle est citée dès le XIe siècle. Le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 la mentionne : ecclesia Sancti Blaisii de Bellecombe. Elle fut réparée en 1860. De nouvelles restaurations en 1852 ne laissèrent subsister d’ancien que le clocher. Le cimetière attenant conserve une porte en fer forgé édifiée vers 1700 sur les ordres de Mgr le Camus. L’église a été inscrite au titre des sites en 1947.

 

Chapelle castrale citée dans l’enquête delphinale de 1339.

 

Commanderie de Bellecombe de l’ordre de Saint Antoine.

 

Ancien hôpital dont il ne subsiste que le lieudit l’hôpital.

 

Au Mas de Ladret, emplacement possible d’une ancienne maladrerie.

 

Ancienne chapelle de la famille d’Arces dont subsisteraient les fondations.

 

Ancienne église Notre-Dame-de-la-Ville : édifiée au XVe siècle, elle fut remaniée à diverses époques. Elle est citée dans le pouillée de 1497 : ecclesia Beate Marie de Chapparenrilhaico. Elle avait succédé à une église du XIe siècle. Elle renferme le tombeau de Claude de Clermont de 1522 et celui de sa femme Domenge Bacquelin de 1539. Elle a été désaffectée en 1903.

 

Le même pouillé cite la capella Sancti Georgii comme annexée à la cure.

 

Il cite également une Confratrie Sancti Spiritus.

 

Chapelle Saint Roch de 1746 au Cernon.

 

Eglise Saint Blaise et Notre Dame de Cernon de 1890 dans le style néo gothique.

 

Oratoire Notre Dame de la Salette.

Oratoire entre Bellecombe et Saint Marcel.

Niche rupestre avec une Vierge.  

 

20 croix ont été recensées :

Croix du Berche, du Rat, de Sany, de Nivolet...

 

Châteaux :

 

Château delphinal de Bellecombe : il aurait été construit vers 1130 par Jean de Bellecombe mais son origine pourrait être plus ancienne. La famille de Bellecombe s’éteint en 1206 et leur château passe alors entre les mains des Briançon de Tarentaise. Leurs armes étaient d’or à la bande de sable et leur cri : Bellecombe !

Humbert Ier échange le 10 mai 1289 ce château contre celui de Varces pour s’assurer de la frontière savoyarde. Le château présentait un aspect imposant de forteresse pourvue de murs épais et de tours énormes. La disposition affectait une forme quadrangulaire et se composait d’un donjon carré flanqué de deux tours, une chapelle et des murs de défense pourvus d’archères.

L’enquête papale de 1339 indique que le mandement de Bellecombe comprenait deux paroisses, Bellecombe et Chapareillan, faisant 152 feux, la forêt d’Abis évaluée à 10 000 florins et la forêt des Esparres à 15 000 florins.

Il en subsiste d’importants vestiges protégés au titre des sites inscrits depuis 1947.

 

Château de Pisançon dit la Grande Maison : ancienne demeure épiscopale édifiée au XIIIe siècle et modifiée au XVIIe siècle.

 

Bâtie de Belles Marches : elle est antérieure à 1303. Il n’en subsiste que quelques traces au lieudit la Bâtie. Elle aurait été édifiée par les Savoyards et démolie quelques temps plus tard sur ordre du Dauphin.

 

Au lieudit Pré des Mortes, emplacement d’une maison forte citée en 1339.

Maison forte des Chaunet mentionnée au XIVe siècle (non localisée).  

 

Maison forte de la Servette.

 

Maison seigneuriale à la Ville.

 

Château d’Hauterives : édifié au XVe siècle sur l’ancienne domaine de la grange cistercienne de Servette, dépendance au XIIe siècle de l’abbaye de Tamié. Il se compose d’une tour carrée à laquelle est accolée une aile plus importante.

 

G. ALLARD mentionne la présence d’une mistralie à Bellecombe.   

 

Maison Poulat : elle remonte au XVIIe siècle et conserve des vestiges de tour, des fenêtres à meneaux et un linteau en accolade.

 

Hameaux, mas et lieudits anciens :

 

Abissu, XIVe siècle, les Abymes.

Bellacombetta, XIVe siècle, Bellecombette.

Lac de Bez, XIVe siècle, Bey.

Mans Barlez, XIIIe siècle, Barlet.

Mans de Borjali, XIVe siècle, le Vorget.

Mans de Bovarecie, XIVe siècle, la Bouverie.

Cernorus villa, XIIIe siècle, Cernon. 

Mans del Fol, XIXe siècle, Follet.

Mans Sancti Stephani, XVe siècle, Saint Etienne, lieu disparu.

In Cuata, XIVe siècle, la Coaz.

Clevan, XVIIIe siècle, Clessart.

Corna, XIVe siècle, la Corne.

Espariis, XIVe siècle, les Eparres.

L’Extra, XIVe siècle, Letra.

Molendinum, XVe siècle, les Moulins.

Petra Achier, XIVe siècle, la Pierre de Chiay.

Pinetum, Seu de Lespiney, XIVe siècle, Espinetum, XVe siècle, l’Epinette.

La Palu, XIVe siècle, la Palud.

Pons de Cernone, XIVe siècle, le Pont du Cernon.

Roseriis, XIVe siècle, les Rosières.

Les Rotes, XIVe siècle, les Routes.  

 

Autres indications :

 

Géologie : 2 sites sont inscrits à l’inventaire du patrimoine géologique de 2014 :

-      Le cône alluvial de Chapareillan et carrière de l’Arénier, classé 2 étoiles,

-      L’écroulement de la face nord du Granier, site d’intérêt géomorphologique de 66,3 hectares, classé 3 étoiles.

Le système spéléologique du Garnier, en partie sur la commune, possède un développement de 55 725 m pour 655 m de dénivelé.

Le réseau géologique de l’Alpe, en partie sur la commune présente un développement de 72, 3 km pour un dénivelé de 655 m.

 

Mistralie de Bellecombe mentionnée dans un acte du 12 mai 1295 et dans un autre du 17 octobre 1316.

Le 2 mai 1334 est signé le traité de Chapareillan qui met fin aux conflits entre les comtes de Savoie et les dauphins.

Le Pont Royal, dont le nom remonte à Henri IV, est cité dès 1374 : Pontis de Glandone.

 

Le pont de Cernon est également cité en 1374 : Pons de Cernone.

Au hameau de la Ville, maisons anciennes possédant des éléments architecturaux des XVe et XVIe siècles.

Au lieudit les Hérémitants, maisons anciennes dont l’une avec une inscription de 1589.

Tuilerie attestée à la fin du XVIIIe siècle.

Moulin de Fragnié mentionné au XVIIIe siècle.   

Ancien poste des Douanes qui marquait avant 1860 la frontière entre la France et la Savoie.

Borne de la frontière franco savoyarde, au col de l’Alpette.

Borne frontière au pont sur le Glandon haute de 3,50 m et datée de 1822.

Bornes frontières de 1822 sur le versant est du col du Granier et aux Abymes.

Au lac Froment, borne frontière de 1822 avec fleur de lys d’un coté et croix de Savoie de l’autre.

Borne de limite communale avec Barraux.

Habert de l’Alpette dit de Barraux.

G. VALLIER mentionne un cadran solaire avec inscription hora fugit (l’heure fuit).

Commune du Parc Naturel Régional de Chartreuse.

Réserve naturelle nationale des Hauts de Chartreuse (décret du 1er octobre 1997.

Site Natura 2000 des Hauts de Chartreuse (arrêté du 31 mai 2010).  

ZNIEFF du lac Froment et du lac du Bey.

ZNIEFF des prairies humides des Corniols (224 ha).

ZNIEFF de la forêt alluviale de Chapareillan.

ZNIEFF de la zone fonctionnelle de l’Isère entre Cervins et Grenoble.

ZNIEFF du massif de la Chartreuse.

 

Arrêté de biotope de la forêt alluviale de Chapareillan du 17 octobre 1994 (70 ha).

Arrêté de biotope du Bey et lac Froment du 12 septembre 2006 (8 ha).

 

Bibliographie :

 

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Regeste complémentaire n° 354, 395, 493, 1627, 1779, 2121

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