ALLEVARD

 

Canton du Haut-Grésivaudan ex canton d’Allevard et ex chef-lieu du canton.

Formes anciennes : Aravaldo au VIIIe siècle, Alavare au XIe siècle.

Gentilé : Allevardins ou Allevardais.

Héraldique :  d’argent à trois bandes de gueules au chef d’argent chargé de trois cloches d’azur (blason issu des armes de François de Barral, seigneur du pays au XVIIe siècle).  

 

Superficie : 2600 hectares.

 

Population (2005) : 4124 habitants.

 

Carte IGN au 1/25000ème 3333 Est

 

Hagiographie :

 

Marcel, prêtre de Lyon, évangélisateur de la Saône au IIIe siècle.

Marie-Madeleine, pêcheresse convertie par Jésus. Selon la légende du XIIe siècle, elle aurait fini sa vie dans une grotte de la Sainte Baume. Elle est vénérée à Vézelay.

Michel, l’Archange, chef de la milice céleste dans l’Ancien Testament. Patron de la France et des hauteurs.

Sébastien, martyr à Rome en 288. Patron des archers, il est représenté le corps criblé de flèches.

Georges, prince de Cappadoce, martyr à Lydda en 303. Son culte remonte à 368 et fut embelli par la légende du dragon. Patron de l’Angleterre dès 800 et patron des cavaliers.

Nicolas de Myre. Très populaire au moyen âge pour avoir selon la légende, ressuscité trois enfants qu’un boucher avait égorgés et mis dans un saloir. Patron des enfants sages.

Crépin et Crépinien, frères, martyrisés en 287. Patrons des cordonniers depuis 1645.

Catherine d’Alexandrie qui eut la vision de l’Enfant Jésus la choisissant pour fiancée. Martyre en 305 sous Maximin Daïa. Patronne des filles à marier.

Eloi, conseiller de Dagobert en 633 et fondateur de monastères. Evêque de Noyon et de Tournai + 659. Patron des bijoutiers.

Guinefort, saint italien de Pavie. Patron des chiens lévriers. Vénéré en Dombes.

 

Protohistoire : en 1896 au Mas du Pré Passé, on a découvert fortuitement deux haches de l’époque du Bronze (XIIIe ou XIIe siècle avant notre ère), si représentatives qu’elles ont donné naissance au type d’Allevard dans la nomenclature officielle française de l’âge du Bronze (au Musée Dauphinois n° 67.3.50 et 51).

 

Epoque gallo-romaine : au lieudit Pré Saint Jean, lors de fouilles pour élever un mur dans le parc du château en 1840, on a découvert une statuette d’un Adonis ou d’un Apollon en bronze, complète à l’exception du pied droit (disparue).

Dans l’ancien quartier de Jérusalem, des monnaies romaines (peut-être de Trajan), non décrites, auraient été découvertes.

Il existe une voie romaine secondaire qui, venant de Goncelin, traverse Allevard et se dirige sur l’agglomération secondaire de Détrier (Savoie). Sur Allevard, la Grande Vie rappelle probablement cette voie.

Les eaux d’Allevard étaient-elles connues et exploitées à l’époque gallo-romaine ?

Pour P. H. BILLY et A. PLANK, le nom de la commune proviendrait du patronyme germanique Araward (domaine d’). J. C. BOUVIER y voit plutôt Adalwarus et J. FILLEAU, Araward.

 

Haut Moyen Âge : Allevard est cité en 739 dans le testament d’Abbon : in Aravaldo.

Motte castrale du Bas Fer.

Motte castrale de la Tour.

 

Edifices religieux :

 

Ancienne église Saint Marcel : de style roman tardif, elle s’élevait jusqu’au XIXe siècle à proximité de l’emplacement de l’actuelle église. Elle est citée dès 1080 dans une donation à Cluny puis dans le cartulaire C de Saint Hugues : ecclesia Sancti Marceli de burgo Alavare et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia Sancti Marcelli de Alavardo, dépendance du prieuré de Saint Pierre. Il en subsiste la porte d’entrée en chêne massif, de style roman tirant sur le gothique, conservée au musée « Jadis Allevard ».

 

Ancienne église Saint Maurice : elle n’est citée que dans le cartulaire C : ecclesia Sancti Mauritii.

 

Ancienne chapelle : elle est également citée dans le même cartulaire : capella in eadem parrochia. Son vocable n’est pas connu. Il en subsiste le lieudit la Chapelle.

 

Commanderie : au XIIe siècle, les templiers auraient possédé à Allevard une commanderie dépendant de la maison d’Echirolles. Aux templiers succédèrent les hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem et c’est de cette époque que daterait le nom du quartier de Jérusalem. En 1745, les revenus du domaine du Temple étaient de 150 livres.

 

Maladrerie : elle est citée en 1276 : maladeria de Alavardo et dans une reconnaissance de 1291 pour une pièce de terre « joignant le chemin public et la terre de la maladrerie d’Allevard ». Elle est également mentionnée dans le pouillé de l’église cathédrale de Grenoble de 1497 : leproseria d’Alavardi.

 

Hôpital : il est mentionné en 1234 puis cité à la fin du XIIIe siècle dans le compte de la décime : hospitale Hierosolimitanum de Alavardo et dans le pouillé de 1497 : hospitalia de Alavardi.

 

Le pouillé de 1497 cite plusieurs chapelles :

 

Ø  capella Beate Marie,

Ø  capella Beate Marie Magdalenes,

Ø  capella Beati Michaelis de Purgatorio,

Ø  capella Sancti Sebastiani,

Ø  capella Beate Marie de Consolacione,

Ø  capella Sancti Georgii,

Ø  capella Sancte Trinitatis,

Ø  capella Sancte Nicolay,

Ø  capella Sanctorum Crispini et Crispiniani,

Ø  capella Sancte Catherine.

 

Eglise Saint Marcel : elle fut édifiée en 1863 dans le style gothique ogival en remplacement de l’église primitive. Elle conserve une cloche du XVIIIe siècle et un autel de 1863 dédié à Saint Eloi.

 

Temple protestant de 1854.

 

Lieudit Saint Guinifort cité en 1082 : mansus Sancti Guiniforti.

Croix de la Chaux.

Lieudit la Croix Blanche.

 

Châteaux :

 

Tour du Treuil : c’est une énorme construction de 25 mètres de hauteur sur 6 niveaux et de 14 mètres de coté avec des murs à la base de 2 mètres d’épaisseur. Son origine n’est pas connue. Elle est citée dans un texte de 1282 qui indique qu’elle dépendait alors du château de la Bâtie d’Arvillard. C’était alors une maison forte : fortalicium sum et domun fortem.  En 1451, elle appartenait à Catherine de Talart qui prêta hommage au roi de France.

Elle conserve encore des poutres énormes traversant d’une seule volée les 10 mètres de portée, pouvant remonter aux XIVe ou XVe siècles.

 

Bâtie d’Arvillard : maison forte connue dès 1291 : castrum bastide alti villaris au-dessus du hameau des Clots.

 

Maison forte de Canali citée au XIIIe siècle.

Maison forte de la Gorge mentionnée dès 1256.

 

Château delphinal dit Château Bas-de-Fer ou Château Ferrier : il était situé au dessus du bourg à l’emplacement semble-t-il d’une motte castrale. L’enquête delphinale de 1339 en donne la description suivante : « situé sur une éminence au dessus du bourg, il est entouré d’une enceinte de murailles de 120 mètres de longueur. Le bourg lui-même est clos de murs d’un développement de 186 mètres avec quatre portes en pierre de taille ». L’enquête papale de la même année indique que le super castro et mandamento Alavardi faisait 800 feux dont 300 pour Allevard. En 1683 le château était déjà ruiné.

 

Tour delphinale de la Mistralie : maison forte intra muros, attestée en 1367, qui comprenait, outre un donjon de 3 étages et son pigeonnier, un corps de logis et une grange.

 

Maison forte de Guillaume Barral, citée en 1393 comme joignant les fossés de la Ville. La famille Barral était une maison d’ancienne chevalerie dont Boson de Barral est connu en 1230. Elle tomba en 153 dans la maison de Charra. Ses armes étaient d’or à trois barreaux de sable liés de sic pièces et bondonnées d’argent.

 

Maison forte du Flumet : elle était située à l’est de la porte Charamil, à l’emplacement actuel du square Barral.

 

Maison forte de la Chenal qui a laissé son nom à une rue.

 

Maison forte de la tour d’Allevard : elle était située au lieudit Panissière et semble avoir succédé à une motte castrale. Il en subsiste quelques traces, dont la base d’une tour de 11 mètres sur 11.

 

G. ALLARD mentionne en outre les maisons fortes de Guillaume Ysmidon, d’Eustache Bigot, de Pierre Bigot, d’Estienne d’Arvilars, de Jean de Goncelin et de Richard de Montel.

 

Ancien château des Morard : il était situé à l’emplacement actuel du parc Joseph Barral. Racheté au XVIIe siècle par les comtes de Barral, il fut démoli peu avant la révolution.

 

Château Barral : construit au XVIIe siècle par le comte de Barral, c’est un grand bâtiment de forme régulière, surmonté d’un bâtiment plus petit appelé « la lanterne ».

Paulin de Barral, libertin ayant servi de modèle du personnage de Valmont dans les « liaisons dangereuses » de son cousin, Choderlos de Laclos.

 

Hameaux, mas et lieudits anciens :

 

Aliers, XVe siècle, l’Allier.

Altis Pontis, XIVe siècle, le Haut Pont.

Bayardum, XIVe siècle, le Bayard.

Al Bezey, XIIIe siècle, le Bessey.

Campus Rotondus, XVIe siècle, Champrond.

Closum, XIVe siècle, le Clot.

Comba Forneri, XVIe siècle, Grange Fournier.

Castellari, XIIIe siècle, le Châtelard.

Castellentus, XIIIe siècle, le Châtelet.

Clausum, XIIIe siècle, le Clos.

Corbanum, XIVe siècle, le Corbat.

Crevacot, XIIe siècle, Crève-Cœur.

Les Davis, XIVe siècle, les Davids.

Fons de Merloz, XVe siècle, Merle.

Fontanetes, XVIe siècle, les Fontanettes.

Glapinef, XIVe siècle, Glapineux.

Gorgia, XIVe siècle, la Gorge.

Lachal, XIVe siècle, la Chaume.

In Loseriis, XIVe siècle, les Lauzières.

Mina ferrea inpomeriis, XIVe siècle, Pommier.

Molar de Cucheto, XIVe siècle, les Cuchets.

Molar de la Ra, XIIe siècle, la Raz.

Molare Boudini, XIVe siècle, le Molard Boudin.

Molarium, XIVe siècle, le Molard.

Molia, XIVe siècle, les Mouilles.

Montem Hevrardum, Mons Evrard, XIVe siècle, Montrouvard.

In Muralla, XVIe siècle, les Murailles.

Paniceriar, XVIe siècle, les Panissières.

Perreyer, XVe siècle, la Perrière.

Plan Berout, XIVe siècle, Planberoud.

Plantata, XVe siècle, la Planta.

Raffor, XIVe siècle, le Rafour.

El Replat, XIVe siècle, le Replat.

Ronzeria, XIVe siècle, la Ronzière.

Mans Sancti Guiniforti, XIe siècle, Sigunifort.

Toveria, XIIIe siècle, la Touvière.

 

Autres indications :

 

Géologie :

-      Les sources et le système hydro thermo minéral d’Allevard est un site d’intérêt hydrothermal classé 2 * à l’inventaire du patrimoine géologique de 2014,

-      Les mines de fer d’Allevard à la Rochette et le sentier du Fer aux lieudits les Ayettes et Montrouvard sont un site géologique de 5,33 hectares, classé 3* à l’inventaire du patrimoine géologique. 

 

Charte de franchises de 1315.

 

Mines de fer : les installations métallurgiques d’Allevard comptent parmi les plus anciennes de France. Il en est fait mention dans un acte de 1247 et il existe une charte minière datant du 29 mars 1395 qui a régi l’exploitation des mines de fer d’Allevard jusqu’à l’application de la loi de 1810 sur les mines. Mais, selon A. BOCQUET, la métallurgie du fer à Allevard remonterait à la protohistoire (supra).

En 1339 sont mentionnées les mines de fer de Pommier, Sailletan, Corbat, Commer, du Gros-Chêne et de l’Eteillier et en 1379, la mine du Merlet.

Martinet attesté en 1450.

Le 18 juillet 1472, on alberge à Claude Lambert les mines d’or, d’argent, de cuivre et de fer d’Allevard.

Un haut fourneau est cité en 1596.

Les forges d’Allevard en activité de 1675 à 1974.

Mine de fer de Planchaney de 28 hectares, concédée en 1817.

Mine de fer du Rossignon, de 24 hectares, concédée en 1817.

Mine de fer de la Ravoire de 134 hectares, concédée de 1817 à 1927. 

Mine de fer du Plan du Fol de 315 hectares, concédée en 1827.

Mine de fer de Prétermont de 285 hectares, concédée en 1827.

Mine de fer Occiput de 76 hectares, concédée de 1827 à 1927.

 

G. ALLARD mentionne la présence d’un péage.

 

Mausolée de la famille Crouy Chanel : au cimetière, caveau funéraire de la famille Crouy Chanel descendant d’André II, roi de Hongrie, chassé de son pays au XIIIe siècle qui avait acquis des biens dans la vallée d’Allevard.

 

Thermes d’Allevard : l’eau d’Allevard est une eau sulfureuse aux vertus thérapeutiques reconnues depuis 1836. En 1858 elle est déclarée d’utilité publique par décret impérial. Les premiers bains remontent à 1837 (1800 bains) et les premiers thermes à 1870. Les thermes Chardon actuels sont de 1961. Ils sont classés « Patrimoine du XXe siècle » depuis 2003.

 

Ancien hôtel des Bains de style néo-classique.

Musée local.

L’Atelier Tournesol a recensé un cadran solaire.

 

ZNIEFF du massif de Belledonne.

ZNIEFF des contreforts occidentaux de la chaine de Belledonne.

ZNIEFF de la forêt de Saint Hugon et de la vallée de Bens.

ZNIEFF du versant ouest de la vallée des Villards.

ZNIEFF du Collet d’Allevard.

ZNIEFF de la forêt du Replat (2 ha).

ZNIEFF du bassin du Flumet.

ZNIEFF du lac de Bens.

ZNIEFF des tourbières du vallon du Veyton.

Arrêté de biotope de la tourbière de Pré Rond du 12 mai 2016 (2 ha).

Arrêté de biotope des tourbières de l’envers de Super Collet du 12 mai 2016 (2 ha).

 

Bibliographie :

 

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Regeste complémentaire n° 1119, 1999 et 2049

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