LANS-EN-VERCORS

 

(Canton Fontaine-Vercors, ex canton de Villard-de-Lans).

L’adjonction des mots « en Vercors » a été autorisée par décret en date du 5 mai 1947.

Forme ancienne : Lanz au XIe siècle.

Gentilé : Lantiers.

 

Carte IGN au 1/25000ème : 3235 OT

 

Superficie de la commune : 3867 hectares.

 

Population (2015) : 2649 habitants.

 

Hagiographie : Barthélemy, l’Apôtre, martyr au moyen Orient. Patron des bouchers, il est représenté avec un couteau.

 

Préhistoire : il y a environ 350 000 ans, le val de Lans était une vaste cuvette remplie par un lac sur lequel flottaient de petits icebergs. Vers – 280 000, à la suite d’un réchauffement, les hommes accèdent au Vercors (homo erectus ou peut être déjà homo sapiens néandertalensis) puis intervient de – 200 000 à – 120 000 une nouvelle glaciation (Riss) et un stade interglaciaire où les chasseurs reviennent chasser le grand cerf, l’auroch, le rhinocéros laiteux et l’ours des cavernes. Puis, de – 75 000 à – 13 000 intervient la dernière glaciation (Wurm). Le climat est alors très froid et la faune comprend des ours, des bisons, des lions des cavernes. Les chasseurs viennent seulement l’été. De – 13 000 à – 11 500 ils chassent le renne, le bison et le mammouth.

 

de nombreux gisements sont connus :

 

Ø  Différents sites du Val de Lans ont livré des silex travaillés datant du paléolithique supérieur (-100 000).

Ø  En octobre 1968, au lieudit Ferme Traffert des éclats néolithiques ont été découverts dans les labours.

Ø  En octobre 1969 le lieudit les Héraults a livré des éclats néolithiques.

Ø  Egalement en 1969, sur un site non précisé on a trouvé dans les labours des éclats néolithiques.

Ø  En 1970, peu avant les Geymonds, on a découvert dans des labours des lamelles et des éclats chalcolithiques.

Ø  Au printemps 1971, au lieudit Croix du Vercors on a également trouvé dans les labours des éclats néolithiques.

Ø  En 1971, entre Lans et Villard de Lans, dans un champ en pente, on a découvert une pointe Levallois atypique du paléolithique inférieur ou moyen.

Ø  La même année dans un champ en dessous de la colonie d’Asnières on a trouvé des éclats néolithiques.

Ø  En septembre 1971, vers le centre de vacances des Girards on a également trouvé des éclats néolithiques.

Ø  Toujours en 1971 des éclats néolithiques ont été découverts au lieudit Croix du Vercors et au lieudit Jailleux.

Ø  En 1972 dans un labour à 1 km au nord-est des Falcons on a trouvé des éclats néolithiques et un fragment de lamelle.

Ø  La même année des lames néolithiques ont été trouvées au lieudit la Cordellère.

Ø  Egalement en 1972 on a trouvé au lieudit Sous la Tour un gisement mésolithique qui a livré des lames, des éclats, des nucleus et une lamelle.

Ø  Toujours en 1972, au-dessus de la Côte, sous une ligne HT et au pied d’un pylône ont a trouvé des racloirs, des nucleus, des lames et des éclats néolithiques.

Ø  A l’automne 1972, dans un talus de la Côte, on a découvert des éclats et des nucleus néolithiques.

Ø  Vers 1972 aux lieudits le Mas et la Tour on a découvert des éclats néolithiques.

Ø  Au lieudit Clos de Lans, au pied du Col de l’Arc à 1500 mètres d’altitude, on a découvert fortuitement en 1987, lors du creusement d’une tranchée pour le captage d’une source d’alpage, une station de tradition azilienne. Elle a livré une importante série lithique du paléolithique supérieur.

Ø  En 1992 au Collet du Furon, on a trouvé des éclats lithiques d’époque mésolithique.

Ø  La même année au lieudit Croix de Jaume on a découvert les fragments de deux vases en céramique d’époque néolithique.

Ø  En 1994, au lieudit les Coins, une station mésolithique a été découverte à 1440 mètres d’altitude, à proximité de sources. Elle a livré 1500 objets lithiques.

Ø  A 200 mètres de là, une autre station, dite Coins II a révélé des vestiges du mésolithique sauveterrien. Il s’agit d’un probable camp de séjour de chasseurs.

Ø  En 1995, au lieudit Clot de Lans on a découvert une station du paléolithique supérieur qui a livré une industrie lithique.

Ø  La même année, au Collet du Furon, une station azilienne vers la source du Furon a livré des vestiges du mésolithique moyen : burins, lamelles, grattoirs… 

Ø  Au lieudit le Mas des éclats néolithiques sont signalés.

Ø  En 2003, lors de travaux d’adduction d’eau, une lame néolithique a été découverte.

Ø  Aux Aigauds, station du mésolithique au néolithique final.

Ø  Au Collet du Furon, à 1430 m d’altitude, emplacement d’une station de chasse du mésolithique moyen.

Nota : le « crâne minéralisé de préhominien », découvert en 1985 au col de la Croix Perrin par F. CAMOIN et daté par lui du paléolithique inférieur (entre 500 000 et 300 000 ans) n’est pas reconnu par les préhistoriens. L’occasion m’a été donnée de voir et de photographier cette pièce, assez troublante au demeurant. 

 

Protohistoire : au lieudit la Tour, un gisement de l’âge du Bronze a livré, vers 1972, de la céramique rouge.

Selon le chanoine LANFREY, Lans viendrait d’un mot signifiant « lieu de réunion », en concordance avec le Peuil, vocable également présumé celtique.

 

Epoque gallo-romaine : le nom de la commune a été sujet à des interprétations diverses. Selon P. H. BILLY et J. FILLEAU il viendrait du patronyme Lancius (domaine de).

La voie romaine de Grenoble à Die par le Vercors dite Via Publica passait probablement aux Aigaux, au Mas, à l’Olette et au Peuil.

Selon l’abbé RAVAT on aurait ramassé des « objets romains » au Peuil vers 1870.

 

Haut Moyen Âge : en 1895 l’ancien cimetière aurait livré plusieurs sarcophages « mérovingiens » avec des poteries. Il en a été de même en 1934. Mais selon M. COLARDELLE ces sépultures sont médiévales si l’on en juge par les six vases et cruches en céramique conservées au Musée Dauphinois (n° 27.2.74, 27.2.76, 27.2.80, 81, 82 et 83 (XIe à XIIIe siècles).

En 1913, au lieudit les Jailleux on a découvert, dans une couche de graviers, des sépultures indéterminées. Il en va de même au lieudit Rochasson.

A la motte castrale du Peuil, des coffres en dalles sont signalés par H. MULLER.

 

Edifices religieux :

 

Eglise Notre Dame puis Saint Barthélemy : elle est citée pour la première fois dans la charte de Lans de 1080 : ecclesia in villa Lanceum puis dans le cartulaire C de Saint Hugues :  ecclesia de Lanz et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia prioratus et cure Beate Marie de Lancio. Le portail de l’église actuelle, ainsi que le clocher pourraient remonter à l’époque romane. Le chœur, l’abside et les fenêtres à ogives présentent les caractéristiques du XIIIe siècle. L’église contenait deux chapelles dédiées à Saint Barthélemy et à la Sainte Croix citées dans le pouillé de 1497 : capella Sancti Bartholomei et capella Sancte Crucis. Dans sa visite de 1652, Mgr Le Camus demande d’en réparer la toiture et en 1685 de « raccommoder le plancher ».

Le clocher du début du XVIIe siècle a été inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1929 et la cloche de 1610 qu’il renferme a été classée monument historique au titre des objets mobiliers en 1963. Le chevet de l’église parait être d’époque gothique. A l’intérieur, maitre autel en marbre.

 

Prieuré Notre Dame : de l’ordre des Augustins, il dépendait de Saint Martin de Miséré au début du XIIIe siècle. Il est cité dans la charte du XIVe siècle des cartulaires de Saint Hugues : prior de Lanz et dans le pouillé de 1497 : prioratus de Lancio. Son église était l’église paroissiale. Il subsista jusqu’à la révolution. Il en reste de notables vestiges vers l’église.

 

Oratoire du pont des Aniers, dit Croix Vercors, avec niche et inscription : « 1735 Notre Dame de Bonne Rencontre priad Gabriel Maresola ».

 

Au Peuil, croix en fer sur socle de pierre avec inscription « souvenir de mission 1841 ».

 

Devant l’église croix bénite le 6 juin 1894 par Mgr Fava.

 

Châteaux :

 

Château delphinal du Peuil : l’enquête delphinale de 1339 en donne la description suivante : « situé sur un mollard très fort, tour carrée à un étage planchéié de 12 mètres de hauteur, de 8 mètres de coté, aula de 20 mètres sur 10 divisée en plusieurs salles avec 4 cheminées, étable et enceinte de120 mètres de circonférence et de 4 mètres de hauteur. En dépendent les paroisses de Lans, Autrans, Méaudre, revenu 200 florins. Il y a 32 nobles dont 10 avec maison forte ». Il en subsiste une plateforme de 47 mètres sur 28 mètres et quelques traces de murs. Ce château fut détruit lors des guerres de religion.

 

Maisons fortes : les 10 maisons fortes étaient celles de : Guillaume de Royn l’Ancien, Royn Junior, Albert de Royn, Pierre de la Balme, Guelis de la Balme, Guillaume de de Vercel, Guigues de Varces, Gilet de Lans, Pierre de Lans et Reynaud de Lans.

Il subsiste au hameau du Peuil une ancienne demeure avec tour et fenêtres à meneaux qui pourrait être l’une de ces maisons fortes. Il en subsiste également une de même nature à la Chenevarie et à 250 mètres de la motte fossoyée du Peuil.

 

L’enquête papale de 1339 mentionne 533 feux pour le château et mandement de Lans.

 

Au hameau des Falcons, restes d’une tour ronde de 5 mètres de diamètre et de 2,30 mètres d’élévation, sur une plateforme entourée d’un fossé. La carte de Cassini mentionnait un château en ce lieu.

 

Au hameau des Girards, ancienne demeure des Sassenage, aujourd’hui particulièrement bien restaurée en gite de prestige, dont la façade orientale conserve un linteau à accolade surmontée d’une croix et de belles fenêtres à meneaux.

 

Sur le chemin de la Grande-Fontaine au Peuil, petit château à tourelle pointue et sur sa façade occidentale, linteau à accolade.

 

Hameaux et lieudits anciens :

 

Alueros, XIIIe siècle, les Allières.

Aqua de Brunet, XIVe siècle, Combe Brunet.

Bouillet, XVIIIe siècle, Bouilly.

Chanavaria Lancii, XIVe siècle, la Chenevarie.

Chapotte, XVIIIe siècle, le Chapot.

Cordeylleriis, XIVe siècle, la Cordelière.

Costa de Lancio, XVe siècle, la Cote.

Les Falcoz, XVIIIe siècle, les Falcons.

Jallutorum, XVe siècle, les Jailleux.

Luchaor, XIe siècle, Lucatoriis, XIVe siècle, la Croix Lichou.  

Le Melliou, XVIIIe siècle, les Meilloux.

Molendinum Lancio, XIVe siècle, le Moulin.

Molendinum Oleta, XIVe siècle, l’Olette.

Podium, XVe siècle, le Peuil.

Rochassium, XIVe siècle, la Rochasse.      

Rostanieria, XIVe siècle, Routanière.

Seguretum, XVe siècle, Bois Negut.

Les Vernhes, XVIIIe siècle, les Vernes.

Ysserti, XIVe siècle, les Issards.

 

Autres indications :

 

Charte de libertés octroyée en 1338 par Albert de Sassenage.

Meulière attestée en 1656 (ADI 4 H 136).

Moulins : 6 sont connus par les textes : les deux moulins de Lolette (1559), les deux moulins du Peuil (1559), le moulin de l’Ecluse (1790) et le moulin des Griats (1834).

Seul celui du Peuil semble subsister avec sa roue à aube, impasse du Vieux Moulin.  

Aux Drevets, emplacement de deux fermes traditionnelles, l’une avec un linteau daté de 1684 et l’autre de 1725.

Auberge des Allières de 1770, ancien chalet d’alpage et aujourd’hui gîte et restaurant.

Au Peuil, cadran solaire avec inscription : « BAC(ch)U(s) A BU ET BOIRA SUR LE TON(n)NEAU CHANTERA 1781 ».

Aux Falcons, maison de maitre du XVIIIe siècle.

Autre cadran solaire de 1850 au Peuil avec inscription : « passager, qui que tu sois, arrête-toi ici et bois ».

A l’Olette emplacement de moulin.

Maisons d’enfants : le Val Fleuri (1928, aujourd’hui hôtel), le Gai Soleil (1935, aujourd’hui les Laurentides) et le Bocage (1936).

 

Le vallon du Bruyant est un site classé (1977).

Commune du Parc Naturel Régional du Vercors.

Place de l’église, petit monument surmonté d’un globe terrestre, dédié à Saint Donat.

Musée de la magie des automates.

Sites géologiques :

Scialet de la Combe-Oursière de 3550 mètres de longueur et de 327 mètres de dénivelé.

Grotte Henry avec un développement de 1900 mètres et de 87 mètres de dénivelé.

Scialet des Choucas de 1400 mètres de longueur et de 390 mètres de dénivelé.

Scialet du Tonnerre avec un développement de 1745 m et de 550 m de dénivelé.  

Source de la Bourne au hameau des Jailleux à l’altitude de 1038 m.

Espace Naturel Sensible du plateau de la Molière et du Sornin.

ZNIEFF des montagnes du Gros-Martel et de Meillarot.

ZNIEFF des hauts plateaux du Vercors.

ZNIEFF du Royans et vallée de la Bourne.

ZNIEFF des zones humides de la Haute Bourne.

ZNIEFF des gorges d’Engins.

ZNIEFF des zones humides de Lans (69 ha).

ZNIEFF des crêtes orientales du massif du Vercors.

ZNIEFF des crêtes des Trois Pucelles à la Grande-Moucherolle.

ZNIEFF des plateaux et bordures occidentales des Hauts-Plateaux du Vercors.

ZNIEFF des chainons septentrionaux du Vercors.

 

Bibliographie :

 

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