SEYSSINET-PARISET

 

Canton de Fontaine-Seyssinet.

Formes anciennes : Saisineto au XIe siècle, Parisans au XIIIe siècle.

Gentilé : Seyssinettois.

Héraldique : au premier de gueules à une base couronnée d’or, au deuxième d’argent à une tour de gueules maçonnée de sable.

Devise : sans venin.   

 

Jusqu’en 1929, Saint-Nizier faisait partie de la communauté de Pariset qui groupait les paroisses de Seyssinet et de Saint-Nizier. En 1929, cette commune fut divisée pour donner naissance à deux communes : Seyssinet-Pariset et Saint-Nizier-du- Moucherotte.  

 

Cartes IGN au 1/25000ème : 3235 est et 3234 Grenoble est

 

Superficie : 1065 hectares.

 

Population (2015) : 12 264 habitants.

 

Hagiographie :

 

Just(e), treizième évêque de Lyon à la fin du IVe siècle, qui se serait retiré en solitude en Egypte et dont le corps fut ramené à Lyon et enseveli dans une église qui portait son nom.

Pierre, premier des apôtres et premier pape, crucifié à Rome en 67 à l’emplacement de la basilique qui porte son nom.

 

Préhistoire : au pied de la Tour sans Venin, on a mis au jour des outils d’époque néolithique (silex, lames).

La Grotte des Sarrasins, signalée par un immense porche, a livré depuis 1966 un important gisement s’étendant du deuxième millénaire avant notre ère à la période gallo-romaine. Du très important matériel retiré à l’occasion des fouilles : il y a lieu de noter une cuillère en céramique, un vase décoré qui est l’exemplaire comportant la plus grande variété de décors trouvé à ce jour dans les gisements néolithiques français (au Musée Dauphinois n° 67.4.6) et un gobelet (M. D. 67.4.6).

La grotte est un site archéologique protégé.

 

Protohistoire : divers vestiges sont connus :

 

Ø  la Grotte des Sarrasins a également livré un peu de matériel du Bronze ancien dont une boite gravée, des céramiques du Bronze moyen et du Bronze final dont une louche (M. D. 67.4.5), un gobelet à épaulement (M. D. 67.4.9) et une jatte (M. D. 67.4.13).

Ø  Au lieudit le Châtelas, au bord de la route de Saint-Nizier, une nécropole a livré en 1905 sept sépultures comportant chacune un bracelet en bronze de l’époque de Hallstatt (M. D. 67.12.65, 66, 67, 69, 96 et 318),

Ø  A proximité, rocher de 7 à 8 mètres de hauteur pour 5 mètres de diamètre avec vaste fossé amulaire, peut être en relation avec le site funéraire,

Ø  Aux Iles de Seyssinet, on a découvert un fragment de bracelet en verre de la Tène (M. D. 67.12.41).

Ø  Près du cimetière on a exhumé en mai 1919 un fragment de bracelet en ruban de l’âge du fer.

 

Epoque gallo-romaine : divers vestiges sont également signalés :

 

Ø  sur le site de la Tour-sans-Venin, on a trouvé au XVIIe siècle une inscription, aujourd’hui perdue : « ISIDI MATRI / SEX(tus) CLAVDIVS VALERIANVS / ARAM / CVM SVIS ORNAMENTIS / VT VOVERAT / D(onum) D(edit ou dedit

dedicavit) » : à Isis mère, Sextus Claudius Valerianus, en accomplissement de son vœu, fait don de cet autel avec sa décoration.

Ø  Selon H. MULLER, il y aurait eu à cet endroit un refuge du Bas-Empire comparable à ceux du Néron (Saint-Martin-le-Vinoux), de Rochefort (Varces) et de Saint Loup (Vif).

Ø  On aurait découvert sur la commune des monnaies romaines, des tessons de poteries, des tuiles et des « épées et autres armes » mais tout ceci n’est pas référencé.

Ø  PILOT indique qu’on aurait trouvé près de la Tour-sans-Venin des monnaies (non décrites).

Ø  A. de VERNISY dit avoir vu dans le mortier de la maçonnerie de la Tour-sans-Venin des morceaux de tegula.  

Ø  Au Domaine de Beauregard on aurait trouvé des tombes sous tegulae et des monnaies romaines (non décrites).

Ø  La Grotte des Sarrasins a aussi livré des fragments d’époque gallo-romaine.

Ø  Une voie romaine secondaire joignait Fontaine à Varces par Seyssinet et le Col de Cossey

Ø  On notera un lieudit le Grand Pré.

Ø  J. C. BOUVIER fait dériver le nom de Seyssinet du patronyme Saxoinus.

 

Haut Moyen Âge : divers vestiges sont connus :

 

Ø  Vers 1857, on aurait mis au jour près du château de Beauregard des tombes de tradition burgonde.

Ø  Au cours des fouilles de la Grotte des Sarrasins, on a découvert une sépulture double d’époque mérovingienne (VIIe, VIIIe siècles) identique à celle de Roissard mais ici entourée d’un cordon de blocs de calcaire et recouverte d’un amoncellement de même nature. Les deux individus, un homme et une femme, étaient placés sur une planche de hêtre.

La sépulture masculine comprenait : une plaque dorsale, un fermoir d’aumônière, une boucle, une bouterolle de fourreau, une bague (M. D. 87.17.1) et 2 silex et la sépulture féminine : une bague, une boucle d’oreille et une agrafe à double crochet.

Ø  Au lieudit la Ferme Coing on a découvert cinq sépultures d’époque indéterminée.

Ø  A la Tour-sans-Venin, emplacement vraisemblable d’une motte castrale.

Ø  Au Châtelas, motte castrale présumée de 30 mètres sur 15 mètres avec basse cour en forme de demi-lune au sud.

Ø   

Edifices religieux :

 

Chapelle puis église Notre-Dame-de-Pariset : rustique édifice roman qui était la chapelle du château. Elle est citée dans le cartulaire C de Saint Hugues : capella de Parisio, dans la charte supplémentaire aux cartulaires du XIVe siècle : capellanus de Parisius et dans le pouillé du diocèse de Grenoble de 1497 : ecclesia Beate Marie de Pariseto, dépendance du chapitre cathédral.  

Elle conserve une cloche de 1654 classée monument historique au titre des objets mobiliers en 1963.

 

Ancienne église Saint Just : elle est également citée dans le cartulaire de Saint Hugues : ecclesia Sancti Justi. MARION la situe à Pariset. Le pouillé de 1497 la montre unie à celle de Seyssins : ecclesia Seyssini et Seyssineti. En fait cette église, détruite au cours des guerres de religion, était située au lieudit le Balet ou le Couvent mais au début du XXe siècle, un champ portait encore le nom de Saint Just.

 

Le cartulaire de Saint Hugues cite aussi une capella alia (d’un autre coté) dont l’emplacement n’est pas connu.

 

Eglise Saint Pierre : son origine remonte sans doute au XIIe siècle mais elle a été très remaniée. C’est un bel édifice avec des ogives et des nervures élégantes. La voûte est assez hardie et les consoles présentent encore des sculptures historiées avec des traces de peinture. Le clocher a été refait à une époque récente. Il conserve une cloche du XVIIIe siècle.

En 1551, sont mentionnées plusieurs chapelles :

-      Saint Claude et Saint André,

-      Sainte Anne,

-      Saint Jean-Baptiste,

-      Notre-Dame-de-Pitié.

L’église possédait également une chapelle Saint Jean et Saint Louis fondée le 28 août 1628 par Jean-Baptiste Ponnat.

 

Maladrerie citée au XVe siècle : maladeria de Pariset.

 

Congrégation des Pères du Saint-Esprit : de 1885 à 1905, elle avait fondé une école au château des Combes.

 

Chapelle moderne de Notre-Dame-des-Iles.

 

Eglise évangélique protestante de Percevalière.

 

Châteaux :

 

Château delphinal de Pariset dit Tour-sans-Venin : les ruines qui subsistent sont celles d’un château fort édifié sans doute au XIIe siècle sur l’emplacement d’un château en bois (motte). La famille Benoît possédait en 1334 la terre de Pariset. Eteinte en 1410, elle avait pour armes de gueules à la crosse d’argent.

L’enquête delphinale de 1339 le décrit ainsi : « le château est situé sur une grande et forte roche ? Il contient dans son circuit 150 toises de tour. Le château est du dauphin et ressort de la châtellenie de Vif et de Parizet.

Le donjon est une tour carrée, haute, forte et belle, couverte de tuiles de bois avec 4 solis (étages). Elle a 2 toises I/2 de large, haute de 11 toises, les murs contiennent 5 pieds ½. Au pied de la tour est, une construction comprenant une chambre en bas, une supérieure et une cave contenant en largeur 1 toise ½, longueur 3 toises, hauteur 3 toises, épaisseur des murs 3 pieds.

De l’autre coté et près du donjon est une cuisine et des latrines et deux chambres supérieures couvertes de tuiles de bois, longueur 5 toises, largeur 2 toises, hauteur 3 toises ½, épaisseur des murs 3 pieds.

Une grange, une étable en bois, longueur 5 toises, largeur 3 toises.

A l’entrée du donjon, une porte basse et forte près la chapelle qui est la chapelle de la paroisse de Parizet.

Le mandement s’étend du Port de la Roche d’Essone jusqu’à Saint Marc de Lans allant droit 2 lieues et plus et s’étend ensuite à la demeure de Didier de la Balme jusqu’à la fontaine Caleri au-dessus de l’église de Cosseil, ce fait allant droit une lieue ½.

Il appartient à Didier de Parizet en fief du dauphin.

Nobles résidant dans le mandement ayant maison forte :

-      François de Parizet,

-      Didier de Parizet,

-      Didier de Brive,

-      Gilbert de Beneatore.

     Revenus du château : 200 florins d’or. »

 

 

Claude Jordan remarque en 1695 que « la terre sur laquelle la ville de Paris est bâtie a la même vertu que celle en dessus de Grenoble, ce qui a fait donner le nom de Pariset à celle qui lui est commun avec le village au pied du rocher ». Une tradition coutumière fait état d’un seigneur de Pariset qui aurait ramené de croisade un sac de terre ramassée auprès du Saint-Sépulcre et qu’il l’aurait répandue auprès de son château pour débarrasser l’endroit des reptiles venimeux qui l’infectaient.

Seul aujourd’hui subsistent le mur occidental du donjon sur 18 mètres de hauteur et des restes de l’enceinte. On notera que, dès le XVIIe siècle, cette tour figure au nombre des « sept merveilles du Dauphiné ».

 

Bâtie de Pariset : elle fut réunie au domaine delphinal au XIIIe siècle, par suite du décès de Philippe de Pariset sans postérité. Elle s’élevait à côté de l’église. Elle est encore citée au début du XVIIIe siècle : Bastie Seissinet mais dès 1790 elle avait disparu.

 

Maisons fortes d’Eyssalterris et de Renest citées en 1339.

 

L’enquête pontificale de 1339 indique que le mandement de Pariset appartenait au Dauphin, à Didier de Sassenage, à François de Pariset et à Didier de la Brive. Le château était à François de Pariset. Le dauphin possédait 45 feux sur les 111 que comprenait le mandement (60 feux à Pariset et 51 à Saint Nizier). Le mandement comprenait quatre paroisses : Pariset, Seyssins, Seyssinet et Saint- Nizier.  

 

Maison forte du Grand Pariset : construite peut être à l’emplacement d’une motte castrale, elle présente encore quelques traces, notamment un vaste fossé en demi-lune protégeant une butte portant des ruines de bâtiment, à 50 mètres d’un réservoir d’eau.

 

Maison forte de Colonges : elle existait semble-t-il dès le XIVe siècle. Elle pourrait avoir été celle de Soffradris ou de Lucara, toutes deux citées en 1339. C’est aujourd’hui une belle bâtisse aux chainages apparents et aux appuis de fenêtres visiblement très anciens.

 

Maison forte dite Château Vizant Bel Air : ancienne demeure avec une tour cylindrique de 12 mètres de hauteur couronnée de créneaux, jouxtée d’une immense grange avec des portes en plein cintre.

 

Manoir de la Balme : situé en limite de Fontaine, il parait avoir été construit à deux époques différentes mais toutes deux anciennes. Propriété de la famille qui prit le nom de la maison qui, elle-même, l’avait emprunté aux rochers qui la dominent, elle passa ensuite aux Actuyer, aux de Chaulnes et à la famille de Bourcet. En 1808, il appartenait à l’écrivain Badon.

 

Château du Châtelard : ancienne demeure qui conserve une haute tour et des fenêtres à meneaux.

 

Manoir des Eybert dit Château Bietrix : il fut édifié au XVIIe ou au XVIIIe siècle et est presque enchevêtré dans l’église. Peu avant la révolution, il appartenait à M. de Baratier. Il fut vendu sous la Révolution au titre des biens nationaux. Il est aujourd’hui transformé en logements. 

 

Château ou Bâtie de la Combe dit Clos-des-Combes : il fut construit de 1642 à 1655 par Jean Baptiste de Ponnat, seigneur de Seyssins, probablement sur un édifice antérieur puisqu’une cave voûtée porte la date de 1512. Il appartenait à cette époque à la famille de Garcin. Il passa ensuite à la branche ainée de la famille de Ponnat.

Vendu comme bien national à la Révolution et servit d’école des pères missionnaires à la fin du XIXe siècle. Il est situé en dessous du village et son nom reflète sa position particulière. Il conserve encore ses trois tours rondes et une belle entrée de style Louis XIII.

 

Manoir des seigneurs des Roux-de-Commiers : situé près du ruisseau descendant des Arcelles, il a succédé au XVIIIe siècle à la Bâtie de Pariset. Le XIXe siècle lui a donné pour ornement des tourelles. C’est un gros manoir rectangulaire au toit décoré d’élégantes lucarnes. Il est aujourd’hui aménagé en appartements.

 

Château de Beauregard : il fut bâti de 1768 à 1785 par la famille de Ponnat dans une position admirable. Il est couvert d’une haute toiture en ardoise agrémentée de petites lucarnes. Jean Jacques Rousseau y séjourna en 1768. Il possède trois étages et l’intérieur est décoré de stucs et de peintures en trompe l’œil de 1780

Le château en totalité, le parc, les serres et les fabriques sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1997.

Le grand salon et la chambre du rez-de-chaussée décorés de gypseries ont été classés monument historique la même année.

Le parc des XVIIe et XVIIIe siècles est inscrit au titre des jardins remarquables.

 

Château Berlioz du XIXe siècle.

 

Hameaux, mas et lieux anciens :

 

Planum au XIIIe siècle, la Plaine.

Ad capellam au XIIIe siècle, les Chapelles.

De Chaluto au XIIIe siècle, le Charvet.

El Fanjacz au XIIIe siècle, le Fangeat.

Eysartum, XIVe siècle, l’Essart.

In Insulis au XIIIe siècle, les Iles.

Nemus Narchis au XIIIe siècle, les Arcelles.

Pratum de Bachaei au XIIIe siècle, les Bachasses.

Villa Petra Granata au XIVe siècle, Pierre Grane.

Colungis au XIVe siècle, Colonge.

Revestum villa au XIVe siècle, le Rivier.

Comba de Volans au XIVe siècle, le Volant.

Villa de Ayssalteriis au XIVe siècle, l’Essart.

In Becheto au XIVe siècle, Bouchet.

Girauderiis au XIVe siècle, les Girauds.

Nemus de Voulans au XIVe siècle, Vouillant.

In Romaneriis au XIVe siècle, Romanet.

Villa de Bruseriis au XIVe siècle, Brusseaux.

Villa de la Cara au XIVe siècle, les Chauries.

Ancien lieudit In Insulis au XVe siècle.

Mas du Michalon du XVIIIe siècle, les Michaillons.

Ancien lieudit Chichardière.

 

Autres indications :

 

François Marc, repris par ALLARD parle du port de la Roche sur le Drac.

Cadran solaire de 1765 sans devise qu’A. FAVOT place à la maison Perrin.

Il mentionne également un autre cadran solaire aux Isles, à la maison Bertholet.

Autre cadran solaire mentionné à Parizet par G. VALLIER avec inscription : l’heure qu’on ne pense pas.

Rue Pasteur, maison de 1780.

 

ZNIEFF des hauts plateaux du Vercors.

ZNIEFF du plateau des Vouillants.

ZNIEFF de la zone fonctionnelle du Drac à l’aval de Notre-Dame-de-Commiers.

ZNIEFF de la crête des Trois Pucelles à la Grande-Moucherolle.

 

Bibliographie :

 

ADI : B 2958

Regeste dauphinois n° 9972, 10273, 11137, 12359, 12699, 12712, 13419, 18273, 18632, 19012, 19018, 19082, 19199, 19980, 20116, 20511, 21104, 21146, 22155, 22568, 25589, 26197, 26947, 28612, 28704, 29260, 29532, 29670, 29709, 32141, 32286, 32961, 33008, 33476, 33738, 35556

Regeste complémentaire n° 3074

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