SAINT-ROMAIN-DE-JALIONAS

 

Canton de Charvieu-Chavagneux, ex canton de Crémieu.

Forme ancienne : Sancti Romani au XIIe siècle.

Romain Libre en 1793.

Gentilé : Jalioromains.

Héraldique : d’azur à la barre rocheuse d’or en fasce mouvant des flancs et tour crénelée (moderne).   

 

Carte IGN au 1/25000ème : 3131 SB

 

Superficie : 1365 hectares.

 

Population (2015) : 3216 habitants.  

 

Hagiographie : Romain de Condat, fondateur de l’abbaye de Saint-Claude au Ve siècle.

 

Préhistoire : des pilotis d’époque néolithique auraient été retrouvés, accompagnés de planches dans les marais.

En 1971, on a découvert une allée couverte d’origine chalcolithique dite Tombeau du Général.  

En 1999, on a découvert, au bord du ruisseau Girondan, un niveau d’occupation néolithique.

En 2002, au sud des Marais de la Besseye, on a découvert un site néolithique qui a livré une hache en dolérique et du matériel lithique.

 

Protohistoire : de nombreux vestiges sont connus :

 

Ø  au lieudit les Quatre Mollards ou le Penoncel, le comte de Verna a fouillé en 1818 une tombe à char, dite depuis Tombe de Verna. La fouille, l’une des plus anciennes de France, a porté sur le tertre principal d’un groupe de quatre ou cinq. Parmi le mobilier exhumé, il y avait :

-       des éléments de parure et d’équipement militaire : gardes corps, frettes, clavettes,

-       des armes : épées, casque, pointes et talons de lances, umbos de boucliers

-       des roues du char ne subsistaient que 6 frettes de moyeux et des mors,

-       de la vaisselle en bronze très importante,

-       un service à boire avec une grande situle, 2 petites, un simpulum, une passoire, 2 gobelets, un bassin étrusque du IVe siècle avant notre ère sans doute conservé depuis deux siècles par la famille régnante,

-       un service à manger avec une écuelle plate, 3 poêlons à manche, 2 bassins et un chaudron,

-       un ensemble aux ablutions : cruche, patelle à manche, bassin à pied, fragments de bassin à bec verseur.

L’inhumation est datée entre 100 et 80 avant notre ère. C’est la tombe la plus riche connue à ce jour en nombre et en qualité d’objets. Elle concernait un personnage de très haut rang. Le mobilier, longtemps conservé dans une collection privée n’a pu être étudié et restauré qu’en 2003 et il est maintenant exposé à la maison du patrimoine d’Hières-sur-Amby. Selon le DARA qui est consacré à cette sépulture, la tombe aurait en fait été trouvée sur l’actuelle commune de Vernas,

Ø  en 1974 on a fouillé le tumulus dit des Tilleuls ou du Peillard de 14 mètres de diamètre et de 1,5 mètre de hauteur qui a révélé une incinération et quelques fragments métalliques de l’âge du Bronze,

Ø  on a découvert, en 1987, le fastueux tombeau d'un prince Celte du VIIIe ou du IXe siècle avant notre ère, sous un tumulus dit Géraud ou Tombe du Prince Celte, ou encore des trois tilleuls,  de 35 mètres de diamètre pour 2,50 mètres de hauteur. Le monument funéraire se présentait sous la forme d'une masse de sable circulaire de 45 mètres de diamètre et de 2,5 mètres de haut. Sous le tertre se trouvaient les restes du plancher et du plafond d'une petite chambre funéraire (une reconstitution a été réalisée à la Maison du Patrimoine d’Hières-sur-Amby). Dans la tombe, plusieurs objets témoignaient du rang du défunt, notamment une longue épée de bronze, un poignard, un torque, un plat en bronze, une pendeloque, de nombreux petits anneaux, un grand chaudron en bronze à deux anses, un bracelet et un collier et trois bijoux en or ainsi que d'autres parures de même métal et de la vaisselle domestique. Au pied de la dépouille, des ossements de bovidés pouvaient correspondre à des bêtes rituellement sacrifiées. La vaisselle de bronze indique le caractère ostentatoire du pouvoir en même temps qu’elle témoigne du contrôle exercé par l’aristocratie sur les échanges à longue distance : une situle est probablement issue de l’est de la Hongrie et les autres récipients possèdent de fortes analogies avec des produits fabriqués en Toscane,

Ø  la même année, on a exploré le tumulus Roger de 25 mètres de diamètre pour 0,80 mètre de hauteur et repéré, sans fouille, le tumulus Abel au sud du bois des Tâches,

Ø  plusieurs autres tumuli sont connus dont le tumulus dit Nicole de 16 mètres de diamètre et de 1,60 mètre de hauteur qui a livré en 1990, une inhumation accompagnée de deux vases en céramique et d’une épingle en bronze,

Ø  la même année, trois tertres ont été explorés au lieudit les trois Mollards (les Tâches) : ils étaient entourés de fossés circulaires. Au centre de l’un des tumuli, une tombe à incinération de l’âge du Bronze a été découverte dans un vase en céramique avec une épingle en bronze,

Ø  le tumulus dit Stéphane de 12 mètres de diamètre et de 1 mètre de hauteur a livré en 1990 un vase de l’âge du Bronze à décor digité et, à proximité, un enclos fossoyé de 17,5 m de diamètre et un grand bâtiment (5,60 m sur 5,30 m)  qui pourrait être une construction funéraire laténienne, (détruit en 1986),

Ø  au nord des marais, traces d'une construction en bois et en torchis du IXe siècle avant notre ère,

Ø  au pied de l’église, niveau d’occupation de l’âge du Bronze et du premier âge du Fer,

Ø  sur la commune, des traces d'occupation gauloise ont été découvertes en plusieurs points,

Ø  au lieudit Passieu on a observé en 1990 cinq structures en creux (fosses),

Ø  au lieudit Champagnes apparaissent trois cercles fossoyés,

Ø  au lieudit les Sambettes en 1994 ont a exhumé une jarre à cordon digité de l’époque de Hallstatt,

Ø  au lieudit le Port, on a repéré, en 2001, des traces d’occupation de l’âge du Fer et une voie protohistorique,

Ø  en 2003 au lieudit aux Champagnes, on a repéré un enclos rectangulaire et trois cercles fossoyés ?

 

Epoque gallo-romaine : passage du compendium d'Aoste à Lyon.

Une voie privée pouvant relier cette voie à la grande villa a été repérée. De riches vestiges sont connus et notamment une grande villa :

 

Ø  vers l'église, aux lieudits la Cour, Marais du Grand Plan et Vernai emplacement de l'une des plus vastes villae gallo-romaines du sud de la France, mi ferme, mi palais, qui, selon les dernières estimations, aurait pu couvrir 13 hectares de superficie et possédait un domaine de 24 km2. Celle-ci est connue depuis longtemps mais elle a seulement été fouillée à compter de 1970. La partie résidentielle s'étend sur 2 hectares et comprend plusieurs dizaines de pièces. Un mur d'enceinte a été dégagé ou repéré sur plus de 300 mètres de longueur. Il semble qu'une poterne de 2 mètres environ ait existé dans un coin de cette enceinte. La façade du corps principal de bâtiment de la pars urbana a été repérée sur 46 mètres de longueur. Elle était bordée par un portique donnant sur une cour profonde de 27 mètres. Au nord, à proximité de la route actuelle, bordant le canal du Marais, une natatio de 20 mètres de longueur sur 6 mètres de largeur et 2 mètres de profondeur et une palestre de 31,5 mètres sur 16,3 mètres appartenant à des thermes domestiques, ont été dégagées. Elles sont aujourd’hui comblées mais marquées au sol. L’hypocauste des thermes a été daté en 2015 du IIe siècle grâce à des estampilles CLARIANVS,

Ø   d'autres bâtiments ont été repérés dans l'angle déterminé par le jardin de la cure et le chevet de l'église. Un grand corps de bâtiment rectangulaire, de 17,6 mètres sur 7,80 mètres, est inscrit dans des murs qui semblent déterminer une cour de 39 mètres sur 18 mètres,

Ø  de l’autre coté de la route on a découvert un grand portail avec colonnade,

Ø  les fouilles de 1978-1979 ont permis de retrouver un niveau d'incendie avec de nombreux fragments de poterie, dont l'un portait une estampille de SEXTIVS ANNIVS ce qui situe sa fabrication entre 20 avant notre ère et 5 après notre ère,

Ø  le premier état de la villa est daté de 40 avant notre ère, l’hypothèse étant émise que son installation serait à mettre en relation avec la récente création (- 43) de Lugdunum. Très précoce pour la région, la villa se distingue de plus par l’utilisation de techniques de construction de type méditerranéen (colonnes en briques, sols en mortier…) et non par l’adaptation d techniques gauloises plus ou moins romanisées,

Ø  cet état primitif sera totalement arasé au début de notre ère pour laisser la place à une nouvelle villa palais datée d’environ l’an 40. Ce deuxième état connaîtra son apogée au IIe siècle,

Ø  le domaine semble ensuite avoir été occupé jusqu’au Ve siècle, époque où un établissement aristocratique comparable à celui de Larina succède à la villa,

Ø  au-delà de la pars urbana et de la zone thermale on a découvert une zone artisanale à l’activité basée sur la métallurgie (des loupes de fer y ont notamment été découvertes). La production de cet atelier de forgeron reste inconnue, comme c’est le cas pour un atelier de tabletterie situé à proximité,

Ø  le mobilier récupéré n’est pas considérable : oscillum sculpté d’une tritonide, intaille représentant le dieu Mars, manche de canif sculpté, bague en pâte verbe, décor de ceinture émaillé en bronze, fragments de mosaïques, de statues, débris de peintures murales, bague (au musée de la civilisation gallo romaine), marbre omniprésent…

Ø  en 1999, on a repéré à la pars rustica l’emplacement d’un moulin hydraulique.

Le site antique a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en1984 et fait partie d’un site archéologique protégé. D’autres vestiges sont connus :

 

Ø  avant 1823 on aurait découvert, dans un endroit indéterminé, on aurait découvert un casque en cuivre et un signum  à tête de Mercure (perdus),

Ø  au sud de la RN 117, dans les marais, on aurait aperçu des blocs de pierre taillés, provenant vraisemblablement de la villa,

Ø  au lieudit Burens, vers 1925 on a découvert un aqueduc et un réservoir,

Ø  contre un mur de l’église, bloc taillé avec inscription « V »,

Ø  au bord de la route départementale, peu avant le site de la villa, un cippe apparemment anépigraphe est remployé comme piédestal d’une croix,

Ø  au lieudit le Terreau, on a découvert en 1970 tuilerie gallo-romaine comprenant deux puits, cinq fosses à argile et l'emplacement d'un bâtiment à trois fours de cuisson (détruite par une carrière de sable),

Ø  au Grand Plan, on a découvert un sarcophage,

Ø  en 1986 et en 1989 à la Croix Vieille on a repéré une grande concentration de tegulae,

Ø  en 1989 on a localisé une ferme de 2000 m2 aux Bruyères,

Ø  en 1997, au lieudit le Perrier on a vu les traces d’un habitat sur 6900 m2 : tuiles, mœllons, tessons de céramique, sigillée, témoignages de forge,

Ø  la même année au lieudit le Sadou on a repéré une probable ferme avec une concentration de tuiles et de moellons sur 1500 m2,

Ø  au lieudit le Port on a vu en 2001 des fossés antiques,

Ø  la même année au lieudit Girardan on a localisé un bâtiment d’exploitation de la villa,

Ø  en 2003 au Vernai, on a observé un canal large de 4 mètres d’époque augustéenne et des traces de viticulture,

Ø  à la mairie amphore romaine africaine du IIIe siècle provenant du site (inventaire général 1995),

Ø  en 2014, la palestre de la grande villa a été en partie fouillée,

Ø  en 2020 et 2021 des fouilles ont livré deux bâtiments semi enterrés de destination inconnue.

 

Haut Moyen Âge : divers vestiges sont également connus :

 

Ø  outre la réoccupation de la villa à l’époque mérovingienne, les fouilles ont exhumé les restes (visibles sur le site) d’une chapelle paléochrétienne du Ve  siècle de 6 mètres sur 4,5 mètres, à l’origine peut être chapelle domaniale,  ancêtre de l’actuelle église,

Ø  un chapiteau en marbre blanc d’époque burgonde a été trouvé sur le site,

Ø  l’église réutilise des maçonneries gallo romaines et mérovingiennes,

Ø  non loin de l’église, des traces d’occupation mérovingienne et un bâtiment du haut Moyen Âge ont été découverts,

Ø  au lieudit pont romain, traces d’aménagement de berge (VIIe au IXe siècles),

Ø  sur le site du Vernai, emplacement d’une grande nécropole (180 tombes) du VIe au XIIIe siècles,

Ø  en 2005, on a découvert un bâtiment du Haut Moyen Âge avec une forge,

Ø  en 2010, on a découvert 12 tombes du Haut Moyen Âge au pied du clocher.

 

Edifices religieux :

 

Eglise Saint Romain : c'est un monument complexe. La mise à nu de ses murs autorise à penser que le clocher et le chœur actuels datent de l'époque carolingienne. Ce monument a vraisemblablement dû succéder à une construction de l'époque burgonde, dont un chapiteau, en marbre blanc, a été retrouvé en 1972 dans les fouilles de la villa. L'église est d'ailleurs partiellement située sur l'emplacement de la villa romaine dont elle réutilise des maçonneries gallo-romaines et mérovingiennes. Le clocher porche et la nef unique avec un chevet plat pourraient remonter au Xe siècle. Elle conserve :

Ø  une inscription du chapelin Gérard de la fin du Xe siècle, classée monument historique au titre des objets mobiliers en 2011,

Ø  une plaque funéraire d’un chapelain du Xe siècle (même protection)

Ø  des fonts baptismaux de 1763 (inventaire général 1995),

Ø  une cloche de 1870, faite à partir de la fonte de l’ancienne cloche de 1534 (d°),

Ø  une statue de l’Immaculée Conception du XIXe siècle (d°),

Ø  un ostensoir du XIXe siècle (d°),

Ø  un calice du XXe siècle (d°),

Ø  deux verrières de 1913 (d°).  

 

Prieuré Bénédictin de Jalionas, de l'ordre de Cîteaux, qui dépendait de l'abbaye de la Chassargne-en-Bresse.

 

Presbytère des XVIe et XIXe siècles (inventaire général 1995).

 

Lieudit la Croix Vieille.   

 

Châteaux :

 

Château delphinal de Saint Romain : son origine n’est pas connue. En 1315, il fut échangé par le dauphin. Le château était déjà ruiné au XVIe siècle. Il était situé contre le mur nord de l’église.

L’enquête pontificale de 1339 décrit le château et son mandement et lui attribue 60 feux outre 46 feux pour Sainte Marie de Tortas.  

 

Maison forte : éphémère maison forte, citée au XIVe siècle. Celle ci occupe l’emplacement de l’église. Elle sera abandonnée au XVIe siècle. Il n’en subsiste qu’un mur en élévation.

 

Maison forte de Jalionas : elle est citée en 1460. Il en subsiste un colombier circulaire.

 

Château de Jalionas.

Château de Vavres.

Lieudit la Tour.

 

Lieudits anciens :

 

Barzens, XIVe siècle, Barens.

Clausum, XIVe siècle, le Clos.

Forceynef, XIVe siècle, le Fourneyat.  

Paceu, XIVe siècle, Passieu.

Pons de Giraudan, XIVe siècle.

 

Autres indications :

 

En 1999, au nord-ouest de la villa gallo-romaine, deux bâtiments médiévaux des XIe et XIIe siècles ont été découverts.

Pont médiéval (XIVe, XVe siècles) sur le Girardan.

Moulin à blé du Peillard d’origine médiévale, refait en 1897 (inventaire général 1995).  

Ferme de Vavres avec un linteau de 1613.

Ferme de Sainte Marie de Tortas du XVIIe siècle (inventaire général 1995).  

A la maison dite de Barens, tête monumentale Jean Clode Gros (80 cm sur 90), membre de la légion étrangère de Sainte Hélène de 1810 inscrite à l’inventaire supplémentaire des objets mobiliers monuments historiques en 2010.

Ferme de Jalionas du XVIIIe siècle (inventaire général 1995).  

Pigeonnier de Grand Passieu de la fin du XVIIIe siècle (inventaire général 1995).

Mairie école de 1883 (inventaire général 1995).

A la mairie, sont conservés plusieurs objets meubles, recensés dans l’inventaire général de 1995 :

-       une bannière de procession de la société de secours mutuel 1894, un mécanisme d’horloge du début du XXe siècle,

-       un buste de Marianne de même époque.

Monument aux morts (inventaire général 1995).

Lavoir ancien.

Cadran solaire recensé par l’Atelier Tournesol.

 

Site Natura 2000 de l’ancien canton de Crémieu.

Espace Naturel Sensible du marais de la Bessaye.

ZNIEFF de l’Isle-Crémieu et Basses-Terres.

ZNIEFF du marais du Grand Plan et du Perrier (203 hectares).

ZNIEFF de la gravière du moulin de Peillard (7 hectares).

ZNIEFF des Taches (32 hectares).

ZNIEFF des gravières des Sambettes.

ZNIEFF du cours du Rhône de Briord à Loyette.  

Arrêté de biotope du marais du Grand Plan du 6 novembre 2009.  

 

Bibliographie :

 

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