A PROPOS D’UNE DECOUVERTE ANTIQUE ANCIENNE A PAQUIER (1)

 

Un historien prolifique  et à juste titre reconnu, J. J. A. PILOT, rapporte, sous des formes différentes mais convergentes qu’on aurait découvert à Paquier (2) à une époque non précisée mais, en tout état de cause avant 1836, un bronze antique mêlé à des monnaies romaines (3) : « On a trouvé une statue en bronze d’un Luperque d’environ huit pouces de haut avec plusieurs médailles (sic) du règne des Antonins à Paquier, commune de la Cluse et Paquier près de Vif » (4). Cette même information est reprise, encore plus lapidairement, par deux fois, dans la « Statistique Générale du Département de l’Isère » (5).

 

Ces mentions que l’on peut, pour le moins qualifier de laconiques ont, après visites attentives des lieux supposés de la découverte, largement aiguisé ma curiosité : elles conduisent, de fait, à poser plus largement deux interrogations d’inégale valeur, l’une de fond, l’autre de forme.

 

La première sera brièvement évoquée  faute d’éléments plus précis que ceux-ci avant relatés. La seconde, par contre, permettra de plus amples développements.

 

S’agissait-il d’un trésor ?

 

L’expression « plusieurs médailles » signifie usuellement qu’il s’agit de quelques monnaies (trois, cinq, peut être dix) et, au sens générique témoigne en tous cas d’un nombre limité mais, chez PILOT, elle prend une acception toute particulière.

Pour ne s’en tenir qu’à un seul exemple on rappellera qu’il use de la même formule à propos des découvertes, faites avant 1938. Il indique en effet (6) : « (on a mis au jour) plusieurs médailles en argent des 2ème et 3ème siècles » et il ajoute immédiatement « pour un poids d’environ 15 livres ». Même si une telle précision n’existe pas à propos des découvertes de Paquier, on voit que la formulation vague de « plusieurs médailles du règne des Antonins » peut néanmoins signifier, sous la plume de PILOT, qu’il s’agissait en fait d’un trésor (7) : ceci pourrait alors donner un éclairage particulier à la statuette qui nous intéresse ici et qui n’en était peut être que l’une des pièces.    

 

  

(1)   commune actuelle de Saint Martin de la Cluse  (ex commune de la Cluse et Paquier)

(2)   Lieudit de l’actuelle commune de Saint Martin de la Cluse

(3)   Ces pièces ont totalement disparu sans avoir jamais figuré dans la moindre collection publique ou privée

(4)   Bulletin de l’Académie delphinale, 1, 1838-1845, page 65

(5)   Bulletin de la société de statistique de l’Isère, III, 1843, page 122 et 1846, page 196

(6)   Bulletin de l’Académie delphinale, I, 1842-1845, page 66

(7)   Le règne des Antonins recouvre en effet une vaste période allant de Nerva (octobre 96) à Commode (décembre 192) et un trésor local est donc possible.

 

 

L’absence de précisions sur la nature de la découverte se retrouve également dans sa situation géographique : on ne sait en effet si la statuette et les monnaies accompagnaient une sépulture ou si ces éléments avaient été enfouis hâtivement, par suite d’un péril imminent. Mais aucun habitat antique n’est jusqu’alors connu sur Paquier pas davantage qu’une voie de même époque. Un examen sommaire du hameau de Paquier ne révèle, à priori, aucun réemploi antique ni aucune trace de tegulae mais seuls des sondages archéologiques sur le site de la chapelle permettraient d’en avoir une certitude mieux établie.

 

Un luperque ?

 

Les développements possibles seront là, on le comprendra, plus aisés.

 

Dans la Rome ancienne, on sait en effet que le 15 février de chaque année, à l’aube, deux groupes de jeunes gens appartenant respectivement aux gentes des Fabianii et des Quintilli se réunissaient au Lupercal, cette grotte au pied du Palatin où la louve de la légende après avoir allaité les jumeaux fondateurs se serait réfugiée (8). Après avoir sacrifié une chèvre (9) dont ils découpaient la peau en lanières, ces « luperques », vêtus de la seule peau de l’animal, se lançaient alors dans une course folle autour du Palatin et fouettaient de ces lanières tous ceux qu’ils rencontraient, les femmes en particulier. Il suffit de relater aussi brièvement cette étrange fête pour constater qu’elle contrevenait aux règles ordinaires de la gravitas romaine ainsi d’ailleurs qu’aux convenances sociales les plus élémentaires.

Mais, on le sait maintenant, ces « lupercales » reflétaient à l’origine les préoccupations d’une société essentiellement agricole : assumer la fertilité de la terre, la bonne santé des troupeaux, la fécondité des femmes, la bienveillance des esprits des morts et la protection contre les épidémies. Elles remontaient, pour l’essentiel, à l’origine de la république et peut être même à l’époque de la royauté (10).

 

Le nom même des thuriféraires de ces cérémonies – les luperques – est apparenté à celui du loup, lupus, moins sans doute en raison de la louve de la légende que de la sauvagerie dont cet animal était le symbole et découle directement de Lupercus, le dieu tueur de loups et, corrélativement, le protecteur des troupeaux et le symbole de la fertilité (11).

 

Très tôt fut faite l’assimilation de Lupercus, dans son rôle protecteur, avec le dieu grec Pan. Celui-ci, dans la mythologie grecque était le dieu des bergers d’Arcadie. Son nom même, signifiant « tout » serait venu de ce que son aspect grotesque avait diverti tous les dieux de l’Olympe. La croyance populaire, sensible aux mystères des forces naturelles, en fit une divinité agreste, le dieu des champs, des bergers,  

 

 

(8)   grotte dite du Lupercal, au sud ouest du Mont Palatin à Rome

(9)   ou un bouc

(10)              de 753 à 509 avant notre ère

(11)              mais l’étymologie de Lupercus par rapport à Lupus fait difficulté. Lupercalia par contre dérive directement de Lupercus et d’ arcere, écarter d’où lupercales, cérémonies où l’on écarte les loups

des bois, sans lui enlever toutefois cet aspect terrifiant qui déclenchait à son apparition une peur panique. Il avait des cornes, un nez crochu, une queue et des pieds de bouc. Il hantait les cavernes et les sommets, protégeait les troupeaux et s’ébattait avec les nymphes. Il avait inventé, dit-on, la flûte, devenue depuis symbole éponyme.

 

Ainsi donc peut-on noter, que dans la mythologie gréco romaine, Lupercus et Pan étaient devenus interchangeables et polyvalents, Pan se trouvant fréquemment honoré à Rome sous le nom de Lupercus (12).

 

Une légende étiologique permet également d’entrevoir la signification des lupercales : « Après le rapt des Sabines par Romulus, ces femmes se révélèrent stériles au grand désespoir de leurs ravisseurs qui en espéraient précisément une descendance. Alors se fit entendre dans un bois sacré une voix mystérieuse qui proclamait « qu’un bouc pénètre les femmes italiennes ! ». Un habile devin sut interpréter cette injonction divine de façon à sauvegarder la vertu des captives : il fit découper dans la peau d’un bouc des lanières dont on fouetta les Sabines qui, de ce fait, eurent beaucoup d’enfants.

 

Au terme de l’année religieuse, la fête des lupercales célébrée le 15 février, jour néfastus (13) devint peu à peu d’un rite apotropaïque initial contre les loups, un rituel purificatoire destiné à raviver la fécondité de la société humaine en libérant les puissances vitales de la nature de toutes les contraintes de la civilisation. Aussi bien, au fil du temps, la fête devint-elle présidée par Faunus, le maître des forces naturelles et de la fécondité sous leur forme la plus spontanée. Le domaine de cette divinité inquiétante et complexe est, on le sait, proprement rural : son aire d’action englobe terres cultivées, pâturage pour les troupeaux… et on a besoin de lui pour susciter la fécondité du sol et des bêtes. Il n’est donc pas étonnant qu’on le retrouve présider les lupercales. Mais les choses se compliquent encore quand on sait que Faunus est ordinairement associé à Silvanus, génie sylvestre protecteur de l’homme, particulièrement en faveur dans la Gaule Narbonnaise (dont Paquier faisait partie).

 

Ainsi donc, dans un syncrétisme à vrai dire assez inhabituel dans la religion romaine, Pan, Faunus et Silvanus devinrent-ils interchangeables.

 

Si elle peut paraître quelque peu surprenante, cette assimilation consubstantielle n’est pas inopinée ; on sait en effet – et c’est un lieu commun que de le dire – que dans l’antiquité il y eut à peu près autant de religions que de divinités, certaines se superposant ou se confondant entre elles. Lorsqu’on se rappelle qu’à la fin de la république, Denys d’Halicarnasse dénombrait plus de trente mille dieux dans le panthéon romain, on peut comprendre qu’il est souvent difficile de saisir l’importance réelle du fait religieux au sein de la société romaine.    

 

 

(12)              on a aussi émis l’hypothèse que les lupercales tiraient leur nom d’origine des lycacae grecques en souvenir du Mont Lycceacos où la tradition situe le lieu de naissance de Pan

(13)              le calendrier romain comportait des jours « fastus », « nefastus » ou « nefastus publicus » ce qui était le cas des lupercales : certaines activités publiques ne pouvaient pas en effet être célébrées ces jours là

 

De leur origine mythique mal établie – avant ou sous Romulus et Remus (14) – jusqu’à l’empire, les lupercales varièrent quelque peu mais, au milieu du 1er siècle avant notre ère, elles jouissaient encore d’une grande popularité ; ainsi, lorsque César voulut tenter d’instituer à son profit une monarchie en se faisant tendre par Antoine une couronne qu’il dut refuser devant les huées du peuple assemblé, choisit-il la fête des lupercales pour cette mise en scène (15). On peut être surs que ce choix n’était pas fortuit. La tentative d’un personnage aussi avisé que l’était César trouvait tout naturellement place dans le cadre d’une fête encore toute chargée des exigences d’un pouvoir archaïque et mythique. S’il échoua dans sa tentative de récupération du mythe, César sut du moins trouver un habile échappatoire : si, comme on l’a vu, le collège des luperques, ces « prêtres loups », comprenait originellement les Quintilli et les Fabianii recrutés primitivement dans les gentes correspondantes (Quintillia et Fabia), César habillement – peut être dans l’attente d’un moment plus propice pour faire aboutir son dessein – y ajouta les Julianii.

 

Cette prêtrise était temporaire (annuelle ?) et se recrutait par cooptation parmi les personnages de rang élevé (16). Curieuse prêtrise en fait d’un culte qui, peu avant notre ère, devait plus aux bacchanales qu’à la religion, à tel point que Cicéron l’évoquait ainsi : « …la sodalité sauvage, toute pastorale et agreste des frêres luperques a été instituée avant la civilisation humaine et les lois » (17).

 

Auguste maintint largement les lupercales tout en réorganisant leur collège. Sur ces fêtes proprement dites on sait peu de choses en vérité mais il semble qu’elles n’aient jamais fondamentalement varié, le coté licencieux ayant toutefois eu tendance à s’accentuer au fil du temps.

 

Alors qu’à l’origine on se contentait d’immoler des chèvres et des chiens au pied u Palatin devant la grotte consacrée à Lupercus, les débordements scabreux l’emportèrent peu à peu sur le rituel purificatoire : vêtus de peaux de bêtes immolées – quand ils n’étaient pas nus – arrosés de sang de chèvre, les luperques se livraient dans toute la ville à une course au cours de laquelle ils frappaient avec des lanières de peau tous ceux qu’ils rencontraient et, de préférence, les femmes notamment celles voulant être mère, réminiscence possible de l’origine mythique liée à l’enlèvement des Sabines : « … et l’on sait ce qu’étaient les lupercales : le 15 des calendes de Mars une procession des prêtres de Pan –les luperci – rigoureusement nus, dansant dans les rues de la capitale, fouettaient la foule au passage » (18).

 

Les lupercales se maintinrent jusqu’au 5ème siècle de notre ère, bien après la christianisation officielle de l’empire romain : le pape Gelase 1er condamna définitivement ces fêtes en 494.  

 

 

(14)              on a dit aussi que la création d’un collège de douze luperques passait pour une date antérieure même aux jumeaux

(15)              En 45 avant notre ère

(16)              De rang équestre essentiellement

(17)              CICERON : Pro Caelio, 26

(18)              F. de Miomadre : danse, page 16  

 

 

Bien que le collège des luperci soit, on l’a vu, l’un des plus anciens de Rome et qu’il ait survécu à tous les autres, les luperques et la fête des lupercales, qui perdurèrent sans doute plus d’un millénaire, ne sont connus que par les textes. L’archéologie, et c’est très étonnant, ne fournit aucune donnée à leur sujet. On ne connaît pas en effet en Gaule de représentation du dieu Lupercus ou de luperque autre que la trouvaille de Paquier (19).

 

Alors ? S’agissait-il bien d’un luperque ? La disparition de la statuette ne permet malheureusement pas de répondre à cette interrogation.

 

PILOT, dont l’érudition et la probité ne peuvent être mises en doute, aurait-il pu confondre Pan, Faunus ou Silvanus ?

 

On connaît quelques représentations de ces dieux ; assez rares en ce qui concerne Pan (20) et Faunus (21), beaucoup plus répandues en ce qui concerne Silvanus (22) mais aucune de celles-ci ne saurait être assimilée spécifiquement à un luperque.

 

Il en va de même des représentations connues de loup (23) qui évoquent uniquemet l’animal et, en aucun cas, le dieu lupercus lui-même.

 

Il y a donc tout lieu de penser que PILOT a vu juste et qu’il s’agissait bien, à Paquier, de la représentation d’un luperque. Ceci pose de fait des questions considérables :

 

-       pourquoi est-ce le seul exemplaire connu ? (24)

-       qu’est devenue la trouvaille ?

-       que signifiait-elle à Paquier ?

 

Seule cette dernière question est susceptible de recevoir un début de réponse. On sait, en effet, que dans l’immense empire romain existait un brassage prermanent et continuel de soldats, fonctionnaires, dignitaires, chargés de son administration et de son contrôle. Ceci pourrait démontrer que, dans des contrées aussi éloignées d’une grande métropole que pouvait l’être Paquier, un  hiérarque civil ou militaire du 2ème siècle de notre ère aurait pu transporter avec lui la représentation d’un culte spécifiquement lié à la ville de Rome : on n’a pas connaissance, en effet, de lupercales qui se soient déroulées ailleurs que dans la capitale de l’empire. Passait-il fortuitement à Paquier ?

 

(19)              ceci m’a été confirmé en mai 1995 par le Conservateur des antiquités nationales (voir lettre en annexe)

(20)              notamment à Chalon sur Saône et à Bourbon l’Archimbault (71), à Beaune (21), à Pouillé (41) où le dieu est représenté avec sa flûte

(21)              Fontaine (71), Vienne (38)

(22)              De nombreuses représentations sont connues : dans le nord de la Gaule, il est chaudement vêtu mais en Narbonnaise il reste en petite tenue portant seulement un court manteau ou une peau de loup jetée à l’épaule comme à Orpierre (05)

(23)              Grozon (39), Frière Faillouël (02), Sooyuile (11)

(24)              Même à Rome, semble t-il, aucune statuette de luperque n’est répertoriée  

 

Y séjournait-il de manière permanente ? La présence simultanée de la statuette et de monnaies exclut, en effet, toute perte fortuite telle que celle qui aurait pu survenir à un objet isolé.

 

En l’absence de structures connues ou de sépulture, l’hypothèse d’un enfouissement hâtif reste plausible. Néanmoins, la chronologie extrême envisageable à partir des monnaies (96 à 192 de notre ère) ne correspond pas à une période de troubles politiques ou militaires, sauf à supposer toutefois l’existence de troubles locaux spécifiques et non connus.

 

On ne saurait pas davantage conjecturer qu’il pouvait y avoir à Paquier un site cultuel à Lupercus (25) : deus éléments fondamentaux s’y opposent : d’une part il ne semble pas que ce dieu ait jamais été invoqué en Gaule et, d’autre part, PILOT parle bien d’une statuette de luperque et nom de lupercus lui-même. En outre, Paquier ne semble pas avoir été situé sur un ace antique de communication, les voies romaines attestées passant nettement plus à l’ouest selon toutes probabilités (26). Mais ceci n’exclut pas définitivement la possibilité d’une voie annexe non perçue à ce jour.

 

L’hypothèse d’un habitat permanent n’est pas envisageable en l’état actuel des connaissances du site et seules, ai-je déjà indiqué, des fouilles sous la chapelle et dans son environnement immédiat pourraient infirmer ou confirmer cet état de fait. Mais, quand bien même une villa aurait existé à Paquier, on imagine mal un établissement luxueux, retraite d’un dignitaire ou d’un militaire enrichi, originaire de Rome, qui seule pourrait expliquer la présence du luperque.

 

Tout ceci nous a entraînés fort loin et l’on ne connaîtra probablement jamais quel lien a pu exister entre les luperques et leur démonstration de grossière indécence et le lieu de Paquier.

 

Il s’agit là de l’un des mystères de la vallée de la Gresse qui rejoint en cela d’autres énigmes de même époque telles que l’inscription de Placidianus à Vif ou le marteau votif de Rochefort dont j’ai parlé en d’autres circonstances.

 

L’on me pardonnera, le l’espère, d’avoir une nouvelle fois soulevé une problématique sans être en mesure de pouvoir formuler l’explication définitive et irréfutable qui s’imposerait et c’est, j’en conviens, pour le moins frustrant. Mais tous les mystères ne sont pas faits pour être percés et, somme toute, il est bon qu’il puisse en subsister certains pour permettre, à qui le souhaite, de suppléer le rêve et l’imagination à une réalité historique parfois insondable.

 

 

(25)              un proche lieudit nommé « les Sylvains » aurait pu laisser accroire un lien avec Silvanus :il n’en est cependant rien, la graphie originelle « Silvens » (au 18ème siècle) écartant vraisemblablement toute assimilation éventuelle

(26)              les voies romaines du Dauphiné dans le même site Internet

 

 

 

 

 

ANNEXE :

 

Lettre du conservateur du Musée des Antiquités Nationales à l’auteur :

 

Saint Germain en Laye, Musée des Antiquités Nationales, le 17 mai 1995

 

« Monsieur,

 

En réponse à votre courrier du 3 mai, notre musée ne semble pas conserver d’objets provenant de Saint Martin de la Cluse.

Il m’est difficile de vous fournier des objets de comparaison, car le terme de « luperque », peut être utilisé autrefois, aux 18ème et 19ème siècles ( ?) n’est plus utilisé. Les luperques étaient des personnes appartenant à un « collège » religieux romain et , lors de certaines fêtes, ils apparaissaient nus, seulement revêtus d’une peau de chèvre, comme le dieu Faunus. La statuette à laquelle vous faites allusion  serait-elle une représentation de ce type ?

Le plus simple serait que vous nous adressiez une représentation, ou si elle n’existe pas, une photocopie de la mention de l’objet, peut être la description évoquera t-elle quelque chose pour moi.

Dans l’attente de vous lire, je vous prie d’agréer, mes salutations distinguées ».

 

Signé : Hélène Chow, conservateur   

 

Bibliographie complémentaire indicative :

 

Outre les ouvrages mentionnés ci avant, on pourra se référer à titre complémentaire à :

 

-       BOUILLER : dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1855

-       R. CAGNAT : manuel d’archéologie romaine, T 2, 1920, page 167

-       J. P. CLEBERT : Provence antique, T 2, 1967, page 255

-       X. LORIOT et B. REMY : corpus des trésors monétaires antiques de la France, T V, Rhône Alpes, 2ème partie, 1968, n° 58, page 61

-       J. C. FREDOUILLE : dictionnaire de la civilisation romaine, 1968

-       A. PELLETIER : les religions païennes en Savoie à m’époque romaine, Archéologia n° 107, février 1977, page 24

-       R. CORNELL et J. MATTHEWS : atlas du monde romain 1982, pages 94 et 95

-       Encyclopédia Universalis, édition 1990, « lupercales », page 2101

-       S. DEYTS : images des dieux de la Gaule, 1992, pages 88 à 90

-       J. F. GARDNER : mythes romains, 1995

-       Ainsi que les cartes archéologiques de la Gaule, départements 03, 07, 38/1, 41 et 71/3