MAS NON LOCALISES

 

Au-delà des mas précédemment évoqués, d’autres sont connus par quelques rares textes d’archives mais ils n’apparaissent déjà plus sur le parcellaire de 1784. C’est dire combien leur origine peut être haute. Sans que cette énumération ne revête un quelconque caractère d’exhaustivité on citera :

 

-       le mas de Toine qui est évoqué pour la première fois dans les comptes de châtellenie de Jean de Villars en 1371 et qui figure également dans le reconnaissance de 1404 par laquelle Henri Alleman fils déclare tenir du roi dauphin ses biens de Claix (château et mandement d’Allières notamment) mais également la terre de « Teonay » située en Allières.

-     le mas de Charmontières est cité à l’occasion de la révision des feux de juin 1700 : il comprenait alors principalement des terres plantées de vignes.

-     Le mas des Plassard (« in Passardo en 1477) : Jean Morand, notaire à Grenoble, y avait alors 8 fossérées de vignes.

-     Le mas des Giroudes, situé jadis entre Pierre Paris et la Maysonassy : en 1655, François Brun y avait des terres.

-     Le mas de la Côte Barraud cité dans un acte de 1807 : Philippe Rochas, notaire de Claix, y acquiert alors de M. de Fontbelle un tènement de trois hectares dans ce mas (landesn bruyères et rochers).